Alors que le premier volet des aventures d’Alan Wake est sorti il y a peu sur PC, voici que déboule sur le Xbox Live, Alan Wake’s American Nightmare. Presque comme une suite, ce titre n’en pour autant pas une tout à fait. Je vous explique ?
Alan… Wake Up !
Alan Wake avait été une des très bonnes surprises de la Xbox 360. Malheureusement pour lui, un temps de développement trop long, et un univers peut-être un peu complexe avait compliqué sa vie au niveau des ventes. Malgré tout, le titre a connu une vie sympathique par la suite, et le succès de sa version PC semble être réel. Le titre était un vrai clin d’oeil aux séries télés américaines à suspense et aux livres de Stephen King. American Nightmare poursuit donc dans cette veine avec un hommage appuyé à une série bien connue des fans de fantastique, “Twilight Zone” (la Quatrième Dimension chez nous), renommée dans le titre Night Springs. Nous sommes clairement projetés dans un épisode cathodique de cette série, écrit par le héros lui-même. Pour autant, on ne retrouve pas le découpage en chapitre qui nous avait tellement plus dans le premier opus. Tout dans ce titre est orienté vers l’action, du coup, il est fort probable qu’une grande partie du public passe complètement à côté du scénario, qui sans être révolutionnaire apporte son petit lot de nouveauté à la franchise. Et apporte quelques maigres réponses aux interrogations que vous auriez pu avoir à la fin du premier. Ces informations seront donc de nouveau sous la forme de pages de manuscrit, mais également via les télés et les radios disséminées dans les niveaux. Dans cet épisode, Alan Wake devra lutter contre son double maléfique, qui déclenche l’arrivée donc des possédés, et qui semble vouloir s’en prendre à Alice (et oui, encore). Le titre s’articule autour de trois zones assez vastes, dans lesquels vous aurez différents objectifs à remplir. Par exemple récupérer des pièces pour fermer la faille dans la réalité créée dans une zone par notre alter ego maléfique.
Harder, (Better ?), Faster, Stronger
Comme je le mentionnais plus haut, tout est fait pour que le titre soit plus “rapide” à vous amener vers l’action. Du coup, le gameplay à légèrement évolué dans ce sens. Ne vous y trompez pas, on n’est pas face à un gros TPS bien bourrin, Alan Wake American Nightmare reste un titre basé sur une ambiance pesante, même si légèrement moins flippante que dans le premier jeu. Pourquoi ? Déjà parce que notre héros est nettement plus équipé que précédemment. Uzi, mitrailleuse, j’en passe et des meilleurs. La jauge de vie évolue également, elle est à présent coupée en trois parties, qui remonte après un combat. Vous pourrez aussi la recharger en vous plaçant sous une lampe (qui sert d’abri également). Inconvénient majeur, les lampes finissent toujours par s’éteindre lorsque l’on reste trop longtemps en dessous. Autre petit changement également lorsque notre héros court il se fatigue nettement moins vite, ce qui est utile vu le nombre d’ennemis qui vous course parfois. Hormis la “campagne”, un mode arcade (nommé Fight Till Dawn), grandement inspiré d’un certain mode “horde” vous mette aux prises avec des vagues incessantes de possédés. Hélas, ce mode est toujours Solo, on aurait vraiment aimé un dose de multijoueur, qui aurait pu augmenter la rejouabilité du titre.
Ce qui était nouveau dans Alan Wake, l’est nettement moins dans American Nightmare.Et ce, même si les modifications de gameplay rendent la chose agréable et plus “punchy”. Pour autant le titre est bien trop simple, et au bout des cinq heures de la “campagne” solo, on ne reviendra pas vraiment pour le mode Fight Till Dawn malheureusement uniquement solo également. American Nightmare est un bon titre, mais le contenu est un peu chiche malgré tout.
Alan… Wake Up !
Alan Wake avait été une des très bonnes surprises de la Xbox 360. Malheureusement pour lui, un temps de développement trop long, et un univers peut-être un peu complexe avait compliqué sa vie au niveau des ventes. Malgré tout, le titre a connu une vie sympathique par la suite, et le succès de sa version PC semble être réel. Le titre était un vrai clin d’oeil aux séries télés américaines à suspense et aux livres de Stephen King. American Nightmare poursuit donc dans cette veine avec un hommage appuyé à une série bien connue des fans de fantastique, “Twilight Zone” (la Quatrième Dimension chez nous), renommée dans le titre Night Springs. Nous sommes clairement projetés dans un épisode cathodique de cette série, écrit par le héros lui-même. Pour autant, on ne retrouve pas le découpage en chapitre qui nous avait tellement plus dans le premier opus. Tout dans ce titre est orienté vers l’action, du coup, il est fort probable qu’une grande partie du public passe complètement à côté du scénario, qui sans être révolutionnaire apporte son petit lot de nouveauté à la franchise. Et apporte quelques maigres réponses aux interrogations que vous auriez pu avoir à la fin du premier. Ces informations seront donc de nouveau sous la forme de pages de manuscrit, mais également via les télés et les radios disséminées dans les niveaux. Dans cet épisode, Alan Wake devra lutter contre son double maléfique, qui déclenche l’arrivée donc des possédés, et qui semble vouloir s’en prendre à Alice (et oui, encore). Le titre s’articule autour de trois zones assez vastes, dans lesquels vous aurez différents objectifs à remplir. Par exemple récupérer des pièces pour fermer la faille dans la réalité créée dans une zone par notre alter ego maléfique.
Harder, (Better ?), Faster, Stronger
Comme je le mentionnais plus haut, tout est fait pour que le titre soit plus “rapide” à vous amener vers l’action. Du coup, le gameplay à légèrement évolué dans ce sens. Ne vous y trompez pas, on n’est pas face à un gros TPS bien bourrin, Alan Wake American Nightmare reste un titre basé sur une ambiance pesante, même si légèrement moins flippante que dans le premier jeu. Pourquoi ? Déjà parce que notre héros est nettement plus équipé que précédemment. Uzi, mitrailleuse, j’en passe et des meilleurs. La jauge de vie évolue également, elle est à présent coupée en trois parties, qui remonte après un combat. Vous pourrez aussi la recharger en vous plaçant sous une lampe (qui sert d’abri également). Inconvénient majeur, les lampes finissent toujours par s’éteindre lorsque l’on reste trop longtemps en dessous. Autre petit changement également lorsque notre héros court il se fatigue nettement moins vite, ce qui est utile vu le nombre d’ennemis qui vous course parfois. Hormis la “campagne”, un mode arcade (nommé Fight Till Dawn), grandement inspiré d’un certain mode “horde” vous mette aux prises avec des vagues incessantes de possédés. Hélas, ce mode est toujours Solo, on aurait vraiment aimé un dose de multijoueur, qui aurait pu augmenter la rejouabilité du titre.
Ce qui était nouveau dans Alan Wake, l’est nettement moins dans American Nightmare.Et ce, même si les modifications de gameplay rendent la chose agréable et plus “punchy”. Pour autant le titre est bien trop simple, et au bout des cinq heures de la “campagne” solo, on ne reviendra pas vraiment pour le mode Fight Till Dawn malheureusement uniquement solo également. American Nightmare est un bon titre, mais le contenu est un peu chiche malgré tout.
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