Abondance de biens ne nuit pas, dit-on. En sus de Far Cry 4 et Might & Magic Heroes VII, Ubisoft nous a également présentés Toy Soldiers : War Chest lors de la dernière gamescom, un Tower Defense au look enfantin et ma foi très sympathique.
J’avoue très humblement que je connaissais que vaguement la série des studios Signal, née en 2010, ni que War Chest en était le troisième épisode. C’est donc avec un regard neuf – enfin, plus très neuf quand même – que j’ai pu découvrir le Tower Defense signé par Ubisoft.
Comme partout ailleurs, il s’agit de repousser des vagues d’ennemis de plus en plus puissantes, où chaque unité qui les compose a ses forces et ses faiblesses. Pour repousser lesdites vagues, on pourra construire diverses structures, à des endroits prédéterminés, qui ont également leurs atouts et leurs inconvénients. Les affrontements sont régis par un schéma classique de pierre/feuille/ciseau (avec quelques variations). Les unités pédestres se font généralement rouler dessus par les véhicules, qui sont sensibles face à l’artillerie et/ou aux unités volantes. Chacune de vos installations pourra bien entendu être améliorée (dégâts, résistance, etc.), au fil de vos succès dans les lignes ennemies. Classique. Très classique.
En sus des tourelles, vous pourrez invoquer directement sur le champ de bataille diverses unités uniques (dont le héros de votre faction, et un véhicule spécial), pour les contrôler en vue à la troisième personne. De la vue de haut, « stratégique », le jeu passe alors en mode TPS, en temps réel, dans le viseur de votre héros, et vous à mitrailler une par une les unités adverses (vos tourelles sont alors contrôlées par l’IA). De ce que j’en ai vu et joué, le plus efficace est d’alterner les deux postures.
Il est également possible de jouer avec le terrain de jeu, cette fois destructible. Par exemple, en cassant un pont pour forcer les troupes ennemies à emprunter un autre chemin.
Pour le moment, seules deux factions (sur 4) ont été présentées, dont les têtes pensantes sont Kaiser et son armada façon Seconde Guerre mondiale, et StarBright, femme-fée fatale, épaulée de ses licornes et de ses bisounours-like. Le design est kikoo mais assumé, CE SONT DES JOUETS QUOI. Mais bon, c’est plutôt joli, coloré tout du moins, et l’action est lisible, c’est peut-être le plus important.
On doit dire qu’on a été agréablement surpris par le titre, qui semble jouir d’une bonne ergonomie (on l’a pris en main en moins de 10 minutes, sur PS4) et sur lequel on ne s’est pas ennuyé le temps de deux niveaux. Reste à voir si le gameplay sera assez profond et les situations assez variées pour convaincre sur la longueur. C’est un peu LE point faible du concept même du TD.
Toy Soldiers : War Chest, de sortie début 2015 (en dématérialisé seulement a priori) sur PC, PS4, Xbox One.
J’avoue très humblement que je connaissais que vaguement la série des studios Signal, née en 2010, ni que War Chest en était le troisième épisode. C’est donc avec un regard neuf – enfin, plus très neuf quand même – que j’ai pu découvrir le Tower Defense signé par Ubisoft.
Comme partout ailleurs, il s’agit de repousser des vagues d’ennemis de plus en plus puissantes, où chaque unité qui les compose a ses forces et ses faiblesses. Pour repousser lesdites vagues, on pourra construire diverses structures, à des endroits prédéterminés, qui ont également leurs atouts et leurs inconvénients. Les affrontements sont régis par un schéma classique de pierre/feuille/ciseau (avec quelques variations). Les unités pédestres se font généralement rouler dessus par les véhicules, qui sont sensibles face à l’artillerie et/ou aux unités volantes. Chacune de vos installations pourra bien entendu être améliorée (dégâts, résistance, etc.), au fil de vos succès dans les lignes ennemies. Classique. Très classique.
En sus des tourelles, vous pourrez invoquer directement sur le champ de bataille diverses unités uniques (dont le héros de votre faction, et un véhicule spécial), pour les contrôler en vue à la troisième personne. De la vue de haut, « stratégique », le jeu passe alors en mode TPS, en temps réel, dans le viseur de votre héros, et vous à mitrailler une par une les unités adverses (vos tourelles sont alors contrôlées par l’IA). De ce que j’en ai vu et joué, le plus efficace est d’alterner les deux postures.
Il est également possible de jouer avec le terrain de jeu, cette fois destructible. Par exemple, en cassant un pont pour forcer les troupes ennemies à emprunter un autre chemin.
Pour le moment, seules deux factions (sur 4) ont été présentées, dont les têtes pensantes sont Kaiser et son armada façon Seconde Guerre mondiale, et StarBright, femme-fée fatale, épaulée de ses licornes et de ses bisounours-like. Le design est kikoo mais assumé, CE SONT DES JOUETS QUOI. Mais bon, c’est plutôt joli, coloré tout du moins, et l’action est lisible, c’est peut-être le plus important.
On doit dire qu’on a été agréablement surpris par le titre, qui semble jouir d’une bonne ergonomie (on l’a pris en main en moins de 10 minutes, sur PS4) et sur lequel on ne s’est pas ennuyé le temps de deux niveaux. Reste à voir si le gameplay sera assez profond et les situations assez variées pour convaincre sur la longueur. C’est un peu LE point faible du concept même du TD.
Toy Soldiers : War Chest, de sortie début 2015 (en dématérialisé seulement a priori) sur PC, PS4, Xbox One.
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