Pour tout ce que vous ne verrez pas à cet E3 2015, c’est ce guide-là qu’il vous faut : [Anti-Guide] Ce que vous ne verrez pas à l’E3 2015
[nextpage title=”Nintendo : c’est la fête”]
En 2014, Super Smash Bros. occupait tout le stand, Reggie et Satoru se filaient des mandales dans le Nintendo Digital Event et les amiibos n’étaient encore que des figurines en plastoc comme les autres.
On rempile cette année dans la joie et la sueur avec le retour complètement inattendu des Nintendo World Championships après 25 ans d’absence. Nous ne vous ferons pas l’affront de faire semblant de savoir de quoi il s’agit mais on devine déjà dans l’enthousiasme communicatif de Reggie une ambiance électrique autour des fringants Super Smash Bros. et Mario Kart 8. Pour Splatoon, il faudra sûrement attendre l’ouverture du salon, deux jours plus tard, avec un Nintendo Treehouse: Live qui lui sera entièrement dédié. Les hostilités devraient se poursuivre avec la démo des nouveaux combattants sur Smash Bros (Mewtwo, Lucas) et, pourquoi pas, des cours de Mario Kart 8 en 200cc par les plus grands joueurs invités pour l’occasion. Bref, rien à redire sur l’ambiance, c’est du côté des annonces que les fans risquent d’être un poil déçu.
Internet l’espérait très fort mais selon ce filou de Satoru, Nintendo ne communiquera pas du tout sur sa prochaine machine (« NX » de son doux nom de code). Rien non plus du côté des cinq applications pour smartphones en cours de développement. Pas d’infos concrètes avant 2016, tout juste une annonce éclair lors de la conférence de fin d’année fiscale pour rassurer tout le monde. Même traitement pour la franchise la plus attendue du moment : Zelda façon open world sur Wii U dont on sait déjà qu’il a été repoussé en 2016. On continue tout de même d’espérer un maxi trailer pour maintenir la hype à son plus haut niveau. Du coup, l’E3 2015 de Nintendo se concentrera exclusivement sur la Wii U et la 3DS. Heureusement que rien n’est encore plié avec ces deux machines.
Puisque la mode est au relooking des consoles , que diriez-vous d’une « New Wii U » ? Ou bien d’un nouveau Gamepad et de jeux multijoueurs en coopération asymétrique dans cette mouvance ? Plus qu’une lubie personnelle, l’utilisation d’un second gameplay demeure une belle carte à jouer pour se distinguer des consoles new gen qui continuent de se vendre très bien. Et surtout, il ne reste plus beaucoup de licences maison à transposer en HD. On espère donc secrètement que Nintendo nous livrera deux-trois gourmandises de cet acabit même si, on le sait, on se fait toujours un peu de mal à espérer des choses qui n’existent sans doute plus aux yeux du constructeur. Quoique, Project Giant Robot et Project Guard (des projets originaux chapeautés par Miyamoto) font partie de ces jeux qui continuent d’ouvrir la voie à une certaine prise de risque en matière de pur gameplay.
Aucune nouveauté du côté consoles et smartphones mais Nintendo prépare déjà le terrain du côté du tout connecté. Satoru Iwata l’évoquait lors du bilan de la fin d’année fiscale et l’on peut s’attendre à avoir beaucoup plus d’infos concernant cette grosse mise à jour structurelle lors du prochain Nintendo Direct spécial E3. Dans la foulée on en apprendra sûrement un peu plus sur le futur des amiibos versions cartes NFC. On le rappelle, ce sont plus de 10 millions de ces figurines qui se sont écoulées depuis le début de l’année 2015.
Bon, soyons honnêtes et mettons de côté le Gamepad : le plus probable reste l’annonce du prochain successeur au trio Mario Kart/Smash Bros/Splatoon. L’engouement autour des licences historiques de Nintendo tournées vers le multijoueur est réel. Et si un ancien challenger en profitait pour faire son grand retour ? Pourquoi pas un nouveau Mario Smash Football ? L’épisode sur Wii reste une sacrée bonne surprise. Pokken Tournament, le jeu de combat Pokémon uniquement prévu sur arcade pour le moment ? Il est peut-être encore un peu tôt pour faire de la concurrence à Smash Bros. On compte sur quelques sensations solos comme Mario Maker et Xenoblade X pour faire leur petit effet, accompagnés d’une fournée de jeux plus ou moins attendus. Mode boule de cristal enclenché : un Starfox, un Metroid en pâte à sel pour accompagner le Yoshi tricot, un nouveau Pokémon serti d’une ribambelle d’amiibos dédiés (dont certains chromatiques, pour achever tout le monde).
Et rien du côté de F-Zero, si ce n’est une skin dans Splatoon et une arène DLC qui s’en inspire très fortement.
[nextpage title=”Sony : c’est le futur”]
L’ambiance sera beaucoup plus futuriste chez Sony. Pour les trois néandertaliens du fond qui se contentent encore d’une manette ou d’un combo clavier/souris, sachez que le futur approche. Un futur fait de visières en réalité virtuelle que Sony présentait pour la première fois au public l’an passé dans des gigantesques stands bleus marine (la couleur du futur). Nous sommes dans la dernière ligne droite avant le lancement officiel début 2016 alors autant vous dire que ça va beaucoup tourner autour de ça. Il se murmure en coulisses que les sacs à vomi seront eux aussi bleus marine. Le futur qu’on vous dit.
Dans cette nouvelle tendance du « tout immergé » qu’une poignée de constructeurs veulent à tout prix nous vendre comme étant le futur (possible) du jeu vidéo, Sony compte bien se démarquer par une tripotée de jeux maisons conçus autour de la bestiole. Des jeux dont on ne sait pour l’instant rien mais que l’on nous promet déjà comme des expériences inédites. Shuhei Yoshida, le grand patron de Sony Computer Entertainment, confiait il y a quelques temps à Gamestop la mise en chantier de jeux dans un studio dédié uniquement à Morpheus. Plus surprenant, Yoshida annonçait placer de grandes attentes sur cet outsider mystérieux « dont on ne soupçonne même pas l’existence et qui débarquerait avec quelque chose d’incroyable ». Un appel du pied un brin fantaisiste mais encourageant pour les développeurs : le futur, c’est un peu vous aussi.
Reste le problème des jeux sur PlayStation 4, la grande question qui taraude le géant japonais depuis son line up de lancement. Certes, nous avons connu les très bons Infamous: Second Son et Bloodborne, mais dans l’idée, la console new gen de Sony souffre d’un manque de diversité. Après un an et demi d’existence, on décide qu’il faut montrer aux joueurs que l’on pense à eux avec le retour d’une ribambelle de grandes licences. Et si on croise assez fort les doigts, ils seront peut-être jouables sur le salon. Le plus attendu d’entre eux reste bien évidemmment Uncharted 4, repoussé en 2016, dont on espère bien une démo jouable dans un coin de l’espace Sony fait de lianes et de coffres poussiéreux. On a juste un peu peur que ça jure avec l’ambiance bleue marine du futur.
Un E3 n’en serait pas un sans ses rumeurs qui tachent, et les bruits de couloir évoquant un nouveau modèle de PS4 résonnent un peu plus fort que les autres. On parle bien sûr de la fameuse « PS Four » aux proportions réduites, bien que d’autres spécialistes en fausses rumeurs fassent l’apologie d’une console embarquant un disque dur plus conséquent. Et la 4k, et le futur du blu-ray dans tout ça ? Ce serait oublier un peu vite que ces consoles sont aussi (et surtout) pensées comme des condensés de technologie multimedia. Rassurez-vous, Sony reste ce constructeur parfois précoce qui s’impose par le matériel avec son format bien à lui. L’annonce d’une mise à jour de la console pour supporter ces nouveaux formats ne serait alors pas impossible.
Théorie inverse : en se basant sur cette fameuse image leakée, on pourrait tout aussi bien imaginer une version appauvrie de la machine, dépourvue de toute connexion multimédia. Une version entrée de gamme entièrement dédiée au jeu dans la veine de la dernière version de la Wii, beaucoup moins chère. Un tacle assassin dans les dents de Microsoft qui ferait rire toute l’industrie.
Côté jeux, on s’attend à goûter à des friandises colorées comme l’ultra mignon Tearaway hérité de la PS Vita (et utilisateur inespéré de la PlayStation Camera), le prometteur Rime et le remake de Ratchet et Clank prévu pour le printemps 2016. En termes de petites victoires sur la vie, l’arrivée en grande pompe de Titanfall 2 et le chapardage de Street Fighter V seront d’intéressantes cartes à jouer pour asseoir la petite suprématie de la console auprès des « vrais » joueurs (ceux à qui ont ne la fait pas). Des messes basses fanboyesques évoquent aussi des suites pas franchement nécessaires comme God of War 4 ou Gran Turismo 7. Le monde entier s’imagine déjà quelles promesses vont être brisées cette année par No Man’s Sky et l’édition PS Plus de Drive Club.
Une poignée de jeux maison, mais surtout, des indépendants de plus en plus présents dans les filets du Japonais. Sony l’avait très bien démontré sur le stand de son édition 2014 en déversant une quantité presque affolante de « petits jeux » plus ou moins jouissifs. Je vous en avais montré un petit bout l’année dernière lors de mes pérégrinations en Terre sainte, Sony est dans un élan semblable à celui de Microsoft aux débuts de son Xbox Live Arcade. Les abonnés du PS Plus le savent très bien (peut-être trop). Cela justifie du coup la présence physique d’une PS Vita toujours aussi moribonde en termes de vente. Au moins pour soutenir des concepts amuse-gueules comme Metrico ou Murasaki Baby, surtout pour la joie de redécouvrir les jeux indépendants de 2011 dans leur version nomade.
Dans tous les cas, PS4 et PS Vita vont continuer de déterrer une flopée de jeux d’antan. Vous vous souvenez du retour de Grim Fandango ? Le jeu a reçu un très bon accueil (8/10 chez nous) et ouvre une voie royale à une série de remakes du catalogue LucasArts, dont Full Throttle, le prochain prétendant au titre de remastered. Le remake prend une place de plus en plus importante, il est évident que Sony va continuer de raviver la flamme d’une poignée de ses licences phares. Les paris sont ouverts : une compil HD Gran Turismo ? Le retour de Syphon Filter ? Celui de Twisted Metal ? Un Parappa the Rapper réalisé par David Cage ? Une version PS4 de Gravity Rush (histoire que le message soit bien clair pour les possesseurs de PS Vita) ? Wait and see comme diraient les journalistes qui ne savent pas conclure.
P.S. Hey, vous avez vu, pas un mot sur The Last Guardian ! #JournalismeTotal
[nextpage title=”Microsoft : c’est maintenant ou jamais”]
Même souci que Sony en termes de jeux exclusifs et de catalogues diversifiés. Pour tout vous dire, on ne comprend plus trop le positionnement de cette nouvelle Xbox. Tantôt précurseur dans le domaine des jeux indépendants, tantôt prometteur avec son nouveau Kinect, Microsoft subit désormais ses propres choix. La Xbox One conserve une petite longueur de retard en termes de machines écoulées par rapport à la PS4, et la vague Bloodborne n’a pas arrangé les choses. Cet E3 se présente comme l’occasion où jamais d’agir, d’assumer la direction prise, et surtout, d’arrêter de se prendre les pieds dans le tapis une bonne fois pour toute.
Ah ça, des jeux, la Xbox One en possède une belle petite collection maintenant. La conférence de l’an passé jouait d’ailleurs la carte du remplissage, en glissant entre deux trailers d’éditeur tiers des annonces maison comme Fable Legends ou Halo 5. Ces jeux n’étant pas encore sortis, Microsoft devrait continuer alors sur sa lancée : une conférence carrée avec Phil Spencer aux commandes, des invités un peu gênés qui ne savent pas trop ce qu’ils font là, pleins de jeux qui appartiennent aussi à la concurrence, certains en exclus temporaires, une poignée en exclus tout court. Autant vous dire que n’est pas le récent retour de Conker version Project Spark qui nous rassure.
Comme chez Sony, cette révolution annoncée chaque année passe par le remake et des suites plus ou moins prometteuses. Fable Legends, Forza Motosport 6 et Halo 5 reviennent pour une ultime présentation avant leur sortie, idem pour l’exclu temporaire The Rise of Tomb Raider et le remake du premier Gears of War qui a fuité assez salement il y a quelques jours. Il ne manque plus qu’une présentation officielle de Crackdown 3 et la boucle est bouclée. Gardons en tête qu’on ne sait pas tout, que Microsoft peut subitement se réveiller. Très présent sur Twitter, Phil Spencer annonçait un E3 davantage focalisé sur les jeux maison. Dans tous les cas, on se doute déjà qu’il ne pourra s’empêcher de lancer les hostilités avec des images EXCLUSIVES du prochain Call of Duty Black Ops III. Parce que l’Amérique avec des aigles et des pistolets qui font piou piou.
L’espoir reste permis du côté de Quantum Break. Le jeu de Remedy cristallise tellement d’enjeux en matière d’exclusivité et d’aventures aux effets spéciaux pharaoniques qu’il ne peut plus se permettre de louper son entrée. Ambiance nettement plus détendue avec le prochain jeu de Platinum Games, Scalebound. On connaît leurs idées folles, leur obsession du jeu millimétré, et on imagine sans peine un jeu plus ambitieux et plus nerveux qu’un Dragon’s Dogma. Dans le coin des « petits jeux qui ne mangent pas de pain », Microsoft continue d’attirer du monde même si la compagnie souffre clairement du sursaut indé de Sony. On retiendra surtout Below de Capybara Games (mélange de Spelunky et de Sword&Scorcery), Inside (l’héritier de Limbo) et pourquoi pas le retour de Battletoads évoqué à demi-mot dans la version Xbox One de Shovel Knight.
Les rumeurs vont bon train sur une nouvelle version de la Xbox One. Une réalité un peu plus tangible du côté Microsoft (on évoque un modèle 1To pour la fin d’année) tant la mise à jour constante et l’uniformisation de tous les appareils s’inscrivent comme une obsession presque maladive chez le constructeur. On nous promet du partage de données toujours plus souple, des interactions plus poussées avec nos amis et nos listes de trophées, aussi bien sur l’application mobile Smartglass que sur l’Xbox App de Windows 10.
Pour finir, sachez que la Xbox 360 fête ses dix ans cette année. Peut-être le moment d’annoncer une Xbox One rétrocompatible et prendre de court la concurrence sur l’un des points sensibles de cette new gen ?
[nextpage title=”Bethesda, Ubisoft, EA, Square Enix et PC Gaming Show : c’est vous qui voyez”]
Aucune pression chez Bethesda cette année : ils ouvrent le bal avec la première conférence de la saison et… ils sont aux commandes de leur propre conférence pour la toute première fois de leur histoire. Celle-ci se déroulera au Dolby Theatre (ou sur Twitch pour le commun des mortels). L’image offre de jolis petits clins d’œil à l’ensemble de leurs licences par le biais des sièges réservés aux noms des protagonistes de Doom, Dishonored, Wolfenstein ou The Evil Within.
Il est évident pour tout le monde que Fallout 4 en profitera pour faire une entrée fracassante sur PC et consoles new gen. Parce qu’on est fou, on se prend à imaginer que Betsheda nous racontera plein de grandes choses : Elder Scrolls VI, Dishonored 2 et Doom 4 (pour ce dernier, c’est à peu près sûr). Et pourquoi pas une nouvelle licence tant qu’on y est ?
De loin la conférence qui nous excite le plus à l’heure actuelle !
Ubisoft (date française de la conférence : le 16 juin à minuit)
Ubisoft doit rassurer depuis la perte de street creed occasionnée par le très buggé Assassin’s Creed Unity. C’est la double tâche de l’épisode Syndicate apparu il y a peu : proposer un vrai jeu new gen, propre et solide, et démontrer que cette licence peut encore nous surprendre.
Si ce n’est toujours pas le cas, Tom Clancy’s The Division devrait suffisamment détourner notre attention avec, on l’espère pour eux, une démo ébouriffante pour nous rassurer après l’annonce du report de la sortie du jeu à 2016. Avec une annonce du second épisode des aventures du hacker de Watch_Dogs ? Pourquoi pas.
Mon envie folle pour sortir de l’habituelle présentation un brin austère : un trailer barré d’un spin off de Far Cry 4. Un truc délirant dans la veine de Blood Dragon avec des vélociraptors et des ninjas armés de lance-roquettes dans les gorges de l’Ardèche.
Electronic Arts (date française de la conférence : le 15 juin à 22h)
On passe poliment sur les Madden, FIFA et autres jeux de sport pour nous intéresser à la moelle épinière de cette présentation : du gameplay de Star Wars: Battlefront. Le premier trailer nous donnait l’eau à la bouche, il est grand temps de nous cueillir avec des phases de jeu aérien à bord d’un X-Wing ou au sol avec des combats avec des sabres couteaux suisses lasers. Dernière ligne droite pour nous impressionner avant la sortie du jeu en novembre, sauf s’il est repoussé en 2016 comme ses petits camarades triple A.
EA a joué la carte de la transparence en nous dévoilant très récemment son planning des futures sorties dans la foulée de ses résultats de l’année fiscale précédente. On y célébrait sans aucune retenue l’arrivée de Mirror’s Edge 2 (à moins qu’il ne s’agisse d’un gros remake ?) pour le début de l’année 2016 et un nouveau Plants vs. Zombies. Un troisième épisode ? Un truc hybride tout pourri dans la veine de Garden Warfare ? Un crossover avec l’univers de Mass Effect 4 ? La grosse surprise serait finalement d’assister à une conférence moins pénible qu’à l’accoutumée. Si c’est la cas, ce serait une grande victoire sur la vie.
Ah, et on ne cracherait pas sur un nouveau Burnout dans la veine de l’épisode Paradise.
Square Enix (date française de la conférence : le 16 juin à 19h)
Square Enix aussi va se livrer à l’exercice de la conférence, chose que l’éditeur n’avait pas reproduit depuis 2006 pour sa première pésentation de l’univers Final Fantasy XIII. À n’en pas douter, le point d’orgue libérateur d’une période assez trouble pour l’éditeur. La suite ? Kingdom Hearts 3, un soupçon de FF XIV et beaucoup trop d’images de FF XV.
On imagine que Square Enix équilibrera sa conférence avec des licences qui parlent un peu plus aux occidentaux comme le prochain Deus EX et Just Cause 3, deux licences qui ont tout à gagner à se dévoiler maintenant sur les nouvelles machines.
Voici déjà le lien Twitch.
PC Gaming Show (date française de la conférence : le 17 juin à 2h)
Un peu comme Bestheda mais pas tout à fait, AMD se lance dans le grand bain en proposant sa conférence surnommée PC Gaming Show. Rien à voir avec Cyprien, il s’agit d’un conglomérat improvisé d’éditeurs qui boxent tous dans la catégorie du PC en tant que race supérieure.
Pas mal de monde présent sur scène avec entre autres nos chouchous de Devolver Digital (Hotline Miami), Blizzard (qui en remettra une couche avec Overwatch et Heroes of the Storm), un peu de DayZ, la nouvelle surprise d’Obsidian (après Alpha Protocol et South Park: Stick of Truth) et beaucoup beaucoup de FPS (parce que nous sommes sur PC). Le site dédié au PC Gaming Show nous certifie qu’un tel regroupement prend son envol parce que nous sommes tout simplement dans l’âge d’or du PC. Ça et le fait de relancer les ventes de cartes graphiques, mais l’initiative a du bon et permettra sûrement de nous extasier sur des exclusivités directement en 4k.
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