On peut dire qu’il était attendu, ce Doom Resurrection. Et pour cause, le mythique John Carmack n’ayant jamais caché son implication au sein du soft. De quoi émoustiller les bourrins que nous sommes. Mais voilà, débarquer sur l’AppStore avec une étiquette affichant 7.99€, qu’on s’appelle Doom ou pas, ça jette un froid…
Parce qu’on y croyait vraiment à ce Doom Resurrection. Et qu’on était à mille lieux de s’imaginer se retrouver face à un shooter sur rails facturé 7.99€. Car il faut bien le dire : là où le bat blesse, c’est qu’id Software s’est senti obligé de fixer le prix de son jeu à 7.99€, comme si afficher un prix plus raisonnable n’allait plus rendre les choses très crédibles. Reste que l’initiative est risquée, dans le sens ou les jeux facturés à ce prix sur l’AppStore se comptent sur le doigt de la main. Et qu’ils ne peuvent en plus pas se glisser dans la catégorie des « achats coup de cœur », à la manière des jeux proposés 1 ou 2 €… Il aurait donc fallu que FPS shooter sur rails soit au niveau. Et c’est loin d’être le cas. Déjà, même si le backgroud apparaît comme travaillé (on retrouve un bestaire en grande forme), il en est tout autrement du gameplay, rapidement répétitif, puisque se limitant à “je me planque/j’arrose”. Certes, la gestion de l’accéléromètre est bien dosée (il faut incliner l’écran pour diriger le viseur de son flingue), mais on a quand même bien du mal à ressentir du plaisir à appuyer sur la gâchette…
Et que dire de l’ambiance générale du jeu, très terne, puisqu’on évolue sans cesse dans des décors éclairés et finalement assez aseptisés. Pour le côté oppressant, on repasser… La durée de vie ne casse pas non plus des briques, et à moins de fixer le niveau de difficulté au maximum, vous ne mettrez pas de temps à boucler le scénar’. Reste les graphismes assez impressionnants, nous laissant apercevoir des monstres bien modélisés, quelques effets d’explosions sympathiques, le tout sans aucun ralentissement (sur iPhone 3G S, du moins…) Un peu trop juste pour espérer sauver le baraque…
On aurait presque du mal à croire que John Carmack se cache derrière cette adaptation en demi-teinte. Au final, on se retrouve face à un Doom qui n’en est même pas un (un rail shooter n’est pas un FPS…), bouclé en 2 coups de cuillère à pot, et qui se paie en plus le luxe de se vendre au prix fort. Osé !
Le verdict ?
Les +
Les –
Parce qu’on y croyait vraiment à ce Doom Resurrection. Et qu’on était à mille lieux de s’imaginer se retrouver face à un shooter sur rails facturé 7.99€. Car il faut bien le dire : là où le bat blesse, c’est qu’id Software s’est senti obligé de fixer le prix de son jeu à 7.99€, comme si afficher un prix plus raisonnable n’allait plus rendre les choses très crédibles. Reste que l’initiative est risquée, dans le sens ou les jeux facturés à ce prix sur l’AppStore se comptent sur le doigt de la main. Et qu’ils ne peuvent en plus pas se glisser dans la catégorie des « achats coup de cœur », à la manière des jeux proposés 1 ou 2 €… Il aurait donc fallu que FPS shooter sur rails soit au niveau. Et c’est loin d’être le cas. Déjà, même si le backgroud apparaît comme travaillé (on retrouve un bestaire en grande forme), il en est tout autrement du gameplay, rapidement répétitif, puisque se limitant à “je me planque/j’arrose”. Certes, la gestion de l’accéléromètre est bien dosée (il faut incliner l’écran pour diriger le viseur de son flingue), mais on a quand même bien du mal à ressentir du plaisir à appuyer sur la gâchette…
Et que dire de l’ambiance générale du jeu, très terne, puisqu’on évolue sans cesse dans des décors éclairés et finalement assez aseptisés. Pour le côté oppressant, on repasser… La durée de vie ne casse pas non plus des briques, et à moins de fixer le niveau de difficulté au maximum, vous ne mettrez pas de temps à boucler le scénar’. Reste les graphismes assez impressionnants, nous laissant apercevoir des monstres bien modélisés, quelques effets d’explosions sympathiques, le tout sans aucun ralentissement (sur iPhone 3G S, du moins…) Un peu trop juste pour espérer sauver le baraque…
On aurait presque du mal à croire que John Carmack se cache derrière cette adaptation en demi-teinte. Au final, on se retrouve face à un Doom qui n’en est même pas un (un rail shooter n’est pas un FPS…), bouclé en 2 coups de cuillère à pot, et qui se paie en plus le luxe de se vendre au prix fort. Osé !
Le verdict ?
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