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Test Zelda Tears of the Kingdom : notre avis garanti sans spoil !

Link propulse la Switch vers de nouveaux horizons avec l’épisode le plus parfait de toute la franchise. Test.

Si l’arrivée d’un nouveau chapitre à la franchise Zelda s’annonce toujours comme un événement, voici venu un chapitre des plus mémorables. Il y a six ans, Nintendo réinventait sa formule jusqu’alors inchangée. Avec Breath of the Wild, la linéarité laissait place à un monde ouvert intelligemment construit, allant jusqu’à redéfinir les standards en la matière.

Aujourd’hui, le titre compte 31,5 millions d’exemplaires vendus, soit le plus grand succès pour la licence qui fêtait ses 37 ans cette année. Pour répondre à ce triomphe, la firme de Kyoto dévoilait le développement d’une suite en 2019. Quatre ans plus tard, celui qu’on appelle désormais Tears of the Kingdom fait enfin son entrée en scène.

Mais pourquoi donc poursuivre la première aventure qui a marqué tant de joueurs ? Faire honneur à un tel héritage s’annonce loin d’être une mince affaire. Pourtant, après avoir exploré ce volet de fond en comble, le constat est sans appel : cette décision est source de perfection.

Partez explorer les cieux en compagnie de Link

L’intérêt d’une suite

En voulant rester succinct, Nintendo a longtemps perdu les joueurs dans la communication concernant ce nouvel épisode. Trop de similarité dans les paysages explorés et le gameplay ont eu de quoi refroidir bien des gamers. Pourtant, The Legend of Zelda n’en est pas à sa première suite directe. Zelda 2, Link’s Awakening, Majora’s Mask… Ce sont tant d’épisodes qui ont su trouver leur succès.

Seulement, aucun d’entre eux ne partage un même monde. Dans la peur d’un univers servi réchauffé, certains ont évoqué la fainéantise ou la difficulté de créer une région aussi vaste à nouveau. En réalité, la raison derrière cette réutilisation est tout autre. “Nous avons souhaité donner vie à de nouvelles idées dans une version d’Hyrule déjà réalisée” explique le producteur Eiji Aonuma dans une interview partagée par Nintendo.

C’est toujours aussi beau… Crédits : Nintendo / JDG

Plutôt que de croire monsieur Aonuma sur parole, nous pouvons vous confirmer ses ambitions : poursuivre l’univers de Breath of the Wild s’impose comme une évidence. Manettes en main, ce monde pourtant familier révèle de nouvelles subtilités qui prennent au dépourvu. Après un cataclysme d’origine inexpliqué menant à l’étrange disparition de la princesse Zelda et des changements géographiques dans tout Hyrule, les habitudes du joueur sont chamboulées.

Avec ces nouvelles bases, Nintendo arrive à faire l’impossible. Le sentiment de découverte induit par Breath of the Wild que l’on imaginait inégalable est finalement reproduit, voire même dépassé.

Réinventer Hyrule

Que les inquiétudes d’une exploration redondante s’évaporent, cette version d’Hyrule n’a rien à voir avec la précédente. Alors oui : dans les faits, cette affirmation est fausse. Ce monde qui se dévoile ne nous est pas inconnu et conserve certaines de ses caractéristiques majeures. Loin d’être sens dessus dessous, le continent paraît toutefois méconnaissable par endroits, si bien que nos pérégrinations nous jouent parfois des tours.

Depuis la dernière aventure, la civilisation s’est agrandie et rebâtie. De nouvelles zones viennent donc remplir certaines étendues vierges, tandis que d’autres endroits ont subi le contrecoup du cataclysme. Finalement, Tears of the Kingdom offre un sentiment d’exploration comme aucun autre jeu en monde ouvert. Cet étrange mélange de familiarité et de nouveauté nous place véritablement dans la peau d’un Link secoué par les changements brusques d’un monde qu’il pensait avoir sauvé.

Les vétérans seront tentés d’emprunter des itinéraires qu’ils connaissent par cœur, mais seront vite rattrapés par la réalité de la situation. Hyrule est une contrée hostile où il n’y a pas de calme après la tempête. En plus de réinventer sa structure géographique, le titre chamboule également sa structure narrative. Le contexte d’un monde abandonné n’est plus, et il faut trouver de nouvelles façons d’offrir une histoire qui fait sens.

Crédits : Nintendo / JDG

Si les joueurs ne seront pas dépaysés par les mécaniques d’exploration en elles-mêmes (à savoir la découverte de points d’intérêt pour débloquer le visuel de la carte), ceux-ci prendront un malin plaisir à faire progresser l’histoire de différentes façons. La formule Breath of the Wild (donjons et souvenirs) s’accompagne de branches narratives au déroulement inédit. Nous ne nous attarderons pas sur les détails, mais pouvons garantir que le scénario ne fera pas de déçu.

Créativité…

Tears of the Kingdom n’est pas une simple suite : c’est une évolution. Le jeu est restructuré en tous points et ne s’arrête pas seulement à la refonte de son monde. Ce sentiment de fraîcheur que procure l’exploration est également porté par un gameplay perfectionné. Les nouvelles capacités de Link forment le principal atout de ce Zelda. Les premiers instants en jeu permettent d’apprendre les bases et de comprendre l’étendue de ces pouvoirs.

En offrant des outils créatifs aux joueurs, les possibilités sont décuplées et repoussent les limites d’une aventure classique. Chaque instant sera vécu différemment par les joueurs, faisant de cette expérience un moment unique et personnel. On assiste à l’instauration d’un nouveau standard en termes d’immersion. L’évolution prend rapidement des airs de révolution.

L’Emprise permet même de construire des passerelles de fortune. Crédits : Nintendo / JDG

En effet, ces nombreux changements viennent jusqu’à corriger les quelques défauts de Breath of the Wild, comme le système d’armes éphémères qui prend tout son sens dans cet épisode. Le pouvoir d’Amalgame donne un contrôle sur cette variable jusqu’alors indépendante de notre volonté. La durabilité est plus facile à jauger lorsque l’on crée notre propre matériel. Ce qui pouvait être frustrant pour certains devient alors un véritable plaisir.

Toutefois, les pouvoirs ne font pas tout ! De nouveaux objets, ingrédients et recettes permettent eux aussi d’enrichir l’expérience de jeu. Link pourra partir à la recherche de ressources et équipements offrant par exemple la capacité à escalader les surfaces par temps de pluie. Désormais, Tears of the Kingdom propose une solution à chaque problème : il revient cependant au joueur de réfléchir pour la trouver.

Verticalité…

Maintenant que les dernières barrières ont été levées, tout est possible. “Sky is the limit” comme le veut le dicton anglophone. Pourtant, même le ciel n’est pas une limite dans Tears of the Kingdom. La verticalité instaurée dans cet épisode intrigue depuis son annonce. Pourquoi ces îles célestes sont-elles présentes et comment s’expriment-elles dans le gameplay ? Bien que nous ne répondrons pas à la première question pour des raisons évidentes de spoil, la seconde mérite d’être abordée dans ce test.

En plus d’avoir réinventé Hyrule géographiquement et socialement, ce monde s’étend désormais vers d’autres horizons. Un nouveau terrain de jeu s’offre à Link et décuple les opportunités d’exploration. Les petits secrets de la carte ne se cantonnent plus à la terre ferme, il faut dorénavant lever les yeux au ciel pour ne rater aucune surprise. En avançant d’objectif en objectif, le joueur sera amené à naviguer entre les deux niveaux.

On s’envole vers d’autres cieux !… Crédits : Nintendo / JDG

Ce monde par delà les nuages n’est pas aussi simple à arpenter. Les îlots sont éparpillés et la paravoile ne suffit pas à passer de l’un à l’autre. Encore une fois, l’ingéniosité des joueurs sera mise à rude épreuve. Ces moments dans les cieux sont aussi l’occasion de remettre l’échelle du jeu en perspective. Les hauteurs sont vertigineuses, mais cela n’empêche pas à la Switch d’afficher les beaux paysages que l’on peut désormais observer d’un nouveau point de vue. La petite console est poussée jusque dans ses derniers retranchements pour offrir cette expérience à couper le souffle.

Il est possible de passer des cieux à la terre et inversement, de façon fluide, sans temps de chargement supplémentaire. Les performances ne sont néanmoins pas exemptes de tout défaut, notamment lors de la construction de larges structures. Ce ne sont cependant que des exemples isolés, noyés dans un océan de stabilité. La dimension de cet univers vend du rêve. En nous gardant de gâcher les mystères que réserve le monde, nous pouvons au moins confirmer son échelle sans pareille. Personne ne pouvait estimer à quel point Hyrule serait vaste.

Link vous attend dans Tears of the Kingdom

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Notre avis

Ne mâchons pas nos mots. The Legend of Zelda : Tears of the Kingdom s’impose comme le meilleur jeu de Nintendo à ce jour. Cette évolution d’une aventure déjà acclamée arrive à faire passer Breath of the Wild pour une démo technique. Ce nouvel épisode est d’une ampleur sans précédent et marquera l’industrie pour les générations à venir. Nintendo arrive à parfaire la perfection, si bien que l’on voudrait lui attribuer une note hors barème.
Note : 10  /  10

Les plus

  • Les capacités techniques de la Switch repoussées au maximum
  • L'imagination qui devient le plus beau des pouvoirs
  • On s'y perd des heures tant il y a à découvrir
  • Une durée de vie monumentale
  • Même les quêtes secondaires ont leur intérêt (et les PNJ également)

Les moins

  • Un mode construction plus fluide n'aurait pas été de refus
  • On en veut encore ?...
7 commentaires
  1. Le jeu est mauvais et clairement surcoté, il faut être payé par Nintendo pour mettre un 10 a moins que ce soit un 10/20 et la oui il mérite sa note

  2. Visiblement vous êtes le seul sur terre à ne pas aimer étant donné les avis dithyrambiques unanimes de partout. Remarque il existe bien des gens qui détestent le chocolat.

  3. Pas faux 🙂 mais en même si tu as fait des zelda étant petit c’est plus simple de mettre un 10 (ou un petit chèque de nintendo France tu ne crache pas dessus)

  4. ayant poncer BOTW avec plus de 300h de jeu,

    petit avis à chaud après plus de 20h de jeu sans avancer dans la quête principale.

    ce TOTK commençait bien après quelques heures puis viennent des sueurs froides en croyant faire face à un Skyward Sword like,
    puis vient ensuite le coup de grâce quand tu te rends compte que tu joues au même BOTW avec le même bestiaire avec quelques nouveaux monstres en plus placés au pif sur la map,

    avec des iles volantes sans charme placées au pif dans le ciel, de nombreux pnj useless qui font office de pancarte ”aller par là”,

    avec des armes qui se cassent plus rapidement que dans BOTW (tu loot une arme, 3-6 coups plus tard elle explose) on rage facile car ça tue le plaisir de jouer certains styles d’armes,

    le pire étant que vous passez la moitié de votre temps de jeu dans les menus et l’inventaire, ça casse le rythme, c’est insupportable.

    certaines mécaniques n’ont pas changé entre BOTW et TOTK, les couleurs pour custom les tenues sont les mêmes, les armures sont les mêmes, les recettes sont les mêmes,

    certains monstres useless dans BOTW sont dans TOTK des sacs à PV tu casses 5-6 armes et arcs sur eux pour looter 5 flêches, une arme niveau 5 (quand tu en as explosé 3-4 de niveau 10-20), un silex…..

    la conduite des objets roulants et volants est très frustante (aucun fun) le pire étant les volants qui dépopent au bout des quelques secondes même si vous avez masse d’énergie surement dans le but de ne pas traverser la map en un seul vol et d’atteindre les iles volantes trop facilement, bref c’est du bridage de gameplay, du fun. alors pourquoi mettre en place un systême d’évasion sur de longue distance pour au final le brider à quelques mêtres ?

    je trouve les déplacements à cheval horribles, un vrai tank à manipuler, leur temps de réaction fait peur, parfois il tourne parfois pas, parfois il saute un obstacle puis 20m plus loin il se cabre face au même obstacle. pour finir je trouve que Link se déplace comme s’i avait du savon sous les pieds c’est trop bizarre sut BOTW tout est parfait.

    je vais m’êcourter pour ne pas spoil.

    ce TOTK n’est pas un jeu, c’est un simple DLC qui aura mis 6 ans à sortir, une honte quand tu vois ce que peuvent sortir From Software et Ubisoft en terme d’open world en moitié moins de temps.

    ce Zelda est réchauffé avec les restes d’idées de dev dont les plus gradés ne rêvent que d’une chose développer un jeu LEGO aventure ou LEGO kart. tout est fait pour casser le plaisir d’y jouer, tout est fait pour que tu passes la moitié du jeu dans les menus, à t’énerver tel takachi castle sur NES dont je joueur du grenier a fait le test.

    on a le sentiment que des devs qui n’ont pas créer le jeu, jouent avec son cadavr faute de savoir faire du neuf. ce DLC sort avec 4 ans de retard.

  5. Encore un Zelda à la BOTW qui a l’air pourri mais peu de gens osent le dire à cause de tous ces medias qui mettent un 10/10 à ces jeux débiles sans aucun intérêt. Quand est ce qu’on revient au bons vieix Zelda avec des maps certes moins grandes mais tellement plus interessants au niveau gameplay et reflexion?

  6. Quand je vois certains commentaires avec soi disant autant d’heures de jeu, cela me fait franchement rigoler 😂🤣
    Qu’on le veuille ou non, Nintendo nous sort encore une pépite de jeux vidéo 😎
    Joueur sur ps4 pro, je tiens à le souligner..

  7. Les jeux évoluent avec les générations. Les personnes qui se plaignent du jeu sont soit des anciens des jeux Zelda, soit des personnes n’ayant jamais vu le bon côté du jeu. On peut se demander alors pourquoi Comment est la critique sur Zelda Tears of the kingdom? Pour répondre à cette question, je vais d’abord vous expliquer les points positifs et négatifs du jeu sans spoiler, sauf à la toute fin où il sera marqué ***SPOILER***. Puis je vais vous donner mon avis sur le jeu, je vais vous conseiller ou non de l’acheter.

    Pour commencer, en général les jeux Zelda sont des jeux d’énigmes et de réflexion. Les développeurs des jeux ont toujours pensé comme ça pour les anciens jeux. Dans Zelda Breath of the Wild, les développeurs ont pensé autrement en laissant de côté la réflexion et en ouvrant le jeu à l’aventure et à la découverte. Ce propos peut être accentué par ce qui est écrit sur la boîte de Zelda Breath of the Wild : <>. Ce changement a eu des points positifs et négatifs sur les joueurs car certains cherchaient à développer leur réflexion encore plus et cherchaient à avoir plus d’énigmes. D’autres, les “nouveaux” joueurs, ont aimé la liberté que laisse le jeu, contrairement aux autres jeux comme par exemple Link to the Past qui n’offrait pas. Après ce petit rappel du changement qu’a apporté Zelda Breath of the Wild, parlons de Tears of the Kingdom. Zelda Tears of the Kingdom est un jeu encore plus différent des tout premiers Zelda car ici le jeu a presque le même objectif que celui de Zelda Breath of the Wild. Le but principal de Zelda Tears of the Kingdom est de laisser une liberté aux joueurs de faire ce qu’ils veulent. C’est presque le même objectif que Breath of the Wild car on est dans un monde ouvert où le joueur est libre. Sauf que dans ce Zelda, ce n’est plus le monde qui importe, mais l’imagination. Je sais que ce terme d’imagination revient tout le temps, mais dans ce Zelda, vous pouvez créer des choses hallucinantes. On peut par exemple voir sur la boîte qu’il est écrit “créez”. Pour ce Zelda, les développeurs ont pensé autrement en offrant un plus que seulement la liberté de se déplacer où on le souhaite : ils ont ajouté la liberté de construire, de créer les choses que l’on veut. Si vous avez joué plus de 60h à Zelda Tears of the Kingdom et que vous allez sur Zelda Breath of the Wild, vous verrez des différences. J’ai moi-même testé de jouer à Zelda Breath of the Wild après mes 105h de jeu (j’en ai 550h sur BOTW). Dans Zelda Breath of the Wild, j’ai été coincé, incapable de me déplacer (façon de parler). J’étais libre, oui, mais je ne pouvais pas déplacer n’importe quel objet à terre et le coller. Je n’avais pas le sentiment de liberté de créer. Également, cet avis qui revient tout le temps, c’est que Zelda Tears of the Kingdom est juste un gros DLC de Zelda Breath of the Wild et qu’il a pris 6 ans pour être développé pour “que ça”. Déjà, le temps de développement a varié pendant le covid-19. Puis certaines personnes comparent le jeu Switch à un jeu console. Déjà, si vous prenez le jeu Horizon, mettez-le sur la Switch : le jeu sera de la pure laideur. Même si le jeu est bien sur console, les critères d’un jeu dépendent de sa plateforme, de son accessibilité et de ses mécaniques. Le jeu Zelda n’est pas un simple DLC car quand j’ai commencé à jouer, je n’avais pas l’impression de refaire Zelda BOTW. Dans ce Zelda Tears of the Kingdom, il y a des grandes étapes de jeu :

    – La découverte : vous passerez la plupart du temps à découvrir la vérité de ce qui s’est passé (les quêtes).
    – Le farm : vous allez chercher des minerais, des armes et des choses pour vous booster. C’est une longue et grande étape.
    – Le boss de fin.

    Ce sont les grandes étapes du jeu et j’insiste sur grande car après il y a des petites et petites étapes. Certaines personnes disent que le jeu est un jeu où l’on passe sa vie à farmer. Ceci n’est pas validé par Nintendo mais les glitchs sont là pour vous les flemmards. Personnellement, je n’utilise pas de glitchs mais vous cherchez sur internet et puis voilà, les glitchs font partie du jeu. D’autres avis reviennent sur les PNJ qui font office de pancarte. Les quêtes dans Zelda Tears of the kingdom sont là pour accentuer l’histoire, l’agrandir, l’approfondir. D’autres sont là juste pour vous donner des objectifs et des sanctuaires. Les sanctuaires sont aussi une critique qui est revenue souvent car dans Zelda Tears of the Kingdom, il y a des sanctuaires plus longs que les donjons. Les sanctuaires sont là pour donner de la réflexion au joueur et l’entraîner à réfléchir comment procéder. C’est une sorte de processus qui permet aux joueurs d’apprendre des compétences qu’ils pourront utiliser en combat. Je ne peux pas donner d’exemple sinon cela ruinerait votre expérience de jeu. Puis certains sanctuaires ont une logique complexe que certains joueurs n’arrivent pas à trouver. Les sanctuaires sont plus ou moins longs selon la façon de penser des joueurs. Certains vont avoir le déclic, d’autres non. C’est pourquoi le développement est dur et long car il faut penser à comment pensera le joueur. C’est comme lire dans les pensées. Pourtant, Nintendo a réussi en faisant 10 millions de ventes en 3 jours. Je crois avoir expliquer tout sur le positif vous pouvez me dire si j’ai oublier certaines choses.

    Points négatifs : Zelda Tears of the Kingdom ressemble trop à son prédécesseur (graphiquement) et a pris trop de temps à être développé. Le jeu est vide et la maniabilité des véhicules est un désastre. Le jeu tourne à 30 fps et n’a pas assez de donjons. J’ai été déçu car Nintendo n’a pas ajouté les montures qu’ils ont montré dans le premier trailer. Sinon, je ne sais pas vous, mais comment fait-on pour avoir des alliés à notre service, chevaliers… Je ne parle pas des Sages, mais bien de personnes vivantes. Sinon, j’ai également été déçu par le début du jeu où l’on doit faire le même objectif que dans Zelda BOTW (Après, dans tous les Zelda, on doit sauver Zelda).

    Après 20h sur le jeu, votre avis n’est pas assez précis. J’ai passé 105h dessus et je peux vous dire que le jeu est superbe, même si sur la version portable il n’est pas très beau. Regardez juste les mécaniques. Pour moi, je note Zelda Tears of the Kingdom 18.5/20 car la seule chose qui m’a frustré, c’est le temps de développement qui a été retardé à cause du covid. J’aurais aimé y jouer plus tôt.

    Je vous conseille donc d’acheter ce Zelda Tears of the Kingdom même si vous voyez les avis négatifs. Ce sont des gens qui n’ont pas d’expérience. Vous allez adorer votre expérience sur le jeu. Jouez sur une Switch OLED ou sur téléviseur pour une meilleure qualité.

    Merci d’avoir pris le temps de lire ce post et bonne journée ou soirée.

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