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Test : Worms Open Warfare 2 (DS)

9

Haaaaa les worms, que de souvenir : sur amiga puis sur PC ! Ces petits vers de terre m’avaient tant fait aimer la stratégie ! En même temps avec le dernier opus paru sur DS je me devais d’être plus anxieux quand à  l’arrivée du nouveau… Les choses sont réglées car ce dernier est une franche réussite ! !

Merci à  Cortec pour ce test !

Haaaaa les worms, que de souvenir : sur amiga puis sur PC ! Ces petits vers de terre m’avaient tant fait aimer la stratégie ! En même temps avec le dernier opus paru sur DS je me devais d’être plus anxieux quand à  l’arrivée du nouveau… Les choses sont réglées car ce dernier est une franche réussite ! !

Merci à  Cortec pour ce test !

Suite à  la petite introduction tout à  fait « wormesque » puis-je dire, j’accède au menu. Pour commencer, il est bien plus fourni que celui du précédent opus avec, notamment, une boutique, un menu pour jouer en ligne, et la possibilité de personnaliser absolument tous les paramètres.

Je me décide donc à  lancer une partie aléatoire.

Et là , la surprise est de taille. Le jeu est fluide, les vers sont tordants, la maniabilité est impeccable, l’armement, conséquent (plus de 30 armes …ouch…), les voix : hilarantes. C’est un véritable bonheur. J’évolue en terrain connu, avec, en prime, un double saut plus facile à  utiliser que jamais et une intelligence artificielle vraiment bien dosée même si elle lui arrive de nous lancer des coups tout à  fait improbables et, je vous l’accorde, c’est vraiment rageant ! Elle fera fréquemment des erreurs qui pourront vous sauver la mise.

Le mode campagne est relativement long, et découpé en chapitres, séparés par de jolies animations débiles à  souhait (gnaaaa !). On y trouve quelques grandes guerres remises au goût du jour par nos amis lombrics. Au bout de 5 missions aux objectifs suffisamment variés pour ne pas sombrer dans la monotonie. Le mode puzzle nous propose de remplir un objectif bien précis dans des conditions spécifiques, sans limite de tour ou de temps. On doit composer l’armement restreint, un type de terrain particulier, une vie très limitée, la possibilité de se déplacer ou non… Une chose est sûre, il faut vraiment réfléchir (et ce n’est pas si facile que à§a !).

Enfin, je n’oublie pas l’entraà®nement, qui nous permet de tester les nouvelles armes, d’optimiser les déplacements et de s’exercer au tir dans des conditions diverses.

Worms ne serait pas worms s’il ne proposait pas de s’éclater (au sens littéral du terme) dans la joie et la bonne humeur en multijoueur :
la grande nouveauté qui n’est pas pour nous déplaire, on peut dorénavant accéder à  la Nintendo Wifi Connection pour poursuivre son adversaire à  l’autre bout du globe. Il existe même un classement mondial et un classement personnel pour pouvoir se situer et jouer des parties adaptées. Il est inutile de dire quâ€™à  quatre joueurs, chacun avec sa DS, le jeu est ce qu’il se fait de mieux en matière de fun. Du niveau d’un Bomberman, la stratégie en plus.

Je ne sais pas vous, mais j’ai toujours adoré pouvoir créer mes propres terrains avec des éditeurs bien fichus. Et bien avec cet épisode, on est aux anges. L’éditeur de niveaux est vraiment génial, et le stylet vous permettra de laisser libre cours à  votre imagination pour créer les terrains les plus saugrenus mêmes si celui-ci ne se révèle pas très précis. Outre la forme générale, on peut modifier la hauteur de l’eau, les franges sur le terrain, la position des vers au début de la manche, les objets qui parsèment le parcours… Un vrai régal !

Malgré une IA parfois énervante de part son ingéniosité (qu’est-ce qui me prend de mettre le jeu en hard aussi…) et si certaines armes ne sont pas très utiles (il sert a quoi le boomerang ?)…
Et quelques problèmes de caméras (très légers), il n’y a rien qui nuise vraiment au bonheur de retrouver nos cher vers, toujours prêts à  en mettre plein la vue et à  s’entredéchirer sans aucune explication. Une excellente surprise !

Note : 9/10

Haaaaa les worms, que de souvenir : sur amiga puis sur PC ! Ces petits vers de terre m’avaient tant fait aimer la stratégie ! En même temps avec le dernier opus paru sur DS je me devais d’être plus anxieux quand à  l’arrivée du nouveau… Les choses sont réglées car ce dernier est une franche réussite ! !

Merci à  Cortec pour ce test !

Suite à  la petite introduction tout à  fait « wormesque » puis-je dire, j’accède au menu. Pour commencer, il est bien plus fourni que celui du précédent opus avec, notamment, une boutique, un menu pour jouer en ligne, et la possibilité de personnaliser absolument tous les paramètres.

Je me décide donc à  lancer une partie aléatoire.

Et là , la surprise est de taille. Le jeu est fluide, les vers sont tordants, la maniabilité est impeccable, l’armement, conséquent (plus de 30 armes …ouch…), les voix : hilarantes. C’est un véritable bonheur. J’évolue en terrain connu, avec, en prime, un double saut plus facile à  utiliser que jamais et une intelligence artificielle vraiment bien dosée même si elle lui arrive de nous lancer des coups tout à  fait improbables et, je vous l’accorde, c’est vraiment rageant ! Elle fera fréquemment des erreurs qui pourront vous sauver la mise.

Le mode campagne est relativement long, et découpé en chapitres, séparés par de jolies animations débiles à  souhait (gnaaaa !). On y trouve quelques grandes guerres remises au goût du jour par nos amis lombrics. Au bout de 5 missions aux objectifs suffisamment variés pour ne pas sombrer dans la monotonie. Le mode puzzle nous propose de remplir un objectif bien précis dans des conditions spécifiques, sans limite de tour ou de temps. On doit composer l’armement restreint, un type de terrain particulier, une vie très limitée, la possibilité de se déplacer ou non… Une chose est sûre, il faut vraiment réfléchir (et ce n’est pas si facile que à§a !).

Enfin, je n’oublie pas l’entraà®nement, qui nous permet de tester les nouvelles armes, d’optimiser les déplacements et de s’exercer au tir dans des conditions diverses.

Worms ne serait pas worms s’il ne proposait pas de s’éclater (au sens littéral du terme) dans la joie et la bonne humeur en multijoueur :
la grande nouveauté qui n’est pas pour nous déplaire, on peut dorénavant accéder à  la Nintendo Wifi Connection pour poursuivre son adversaire à  l’autre bout du globe. Il existe même un classement mondial et un classement personnel pour pouvoir se situer et jouer des parties adaptées. Il est inutile de dire quâ€™à  quatre joueurs, chacun avec sa DS, le jeu est ce qu’il se fait de mieux en matière de fun. Du niveau d’un Bomberman, la stratégie en plus.

Je ne sais pas vous, mais j’ai toujours adoré pouvoir créer mes propres terrains avec des éditeurs bien fichus. Et bien avec cet épisode, on est aux anges. L’éditeur de niveaux est vraiment génial, et le stylet vous permettra de laisser libre cours à  votre imagination pour créer les terrains les plus saugrenus mêmes si celui-ci ne se révèle pas très précis. Outre la forme générale, on peut modifier la hauteur de l’eau, les franges sur le terrain, la position des vers au début de la manche, les objets qui parsèment le parcours… Un vrai régal !

Malgré une IA parfois énervante de part son ingéniosité (qu’est-ce qui me prend de mettre le jeu en hard aussi…) et si certaines armes ne sont pas très utiles (il sert a quoi le boomerang ?)…
Et quelques problèmes de caméras (très légers), il n’y a rien qui nuise vraiment au bonheur de retrouver nos cher vers, toujours prêts à  en mettre plein la vue et à  s’entredéchirer sans aucune explication. Une excellente surprise !

Note : 9/10

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