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[Test] TowerFall: Ascension – Pour l’éclate à quatre, suivez les flèches [PS4]

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Réchappé de l’enfer de la OUYA, les créateurs de TowerFall se sont dit que c’était dommage de ne pas faire découvrir à un plus grand nombre…

Réchappé de l’enfer de la OUYA, les créateurs de TowerFall se sont dit que c’était dommage de ne pas faire découvrir à un plus grand nombre ce formidable action plateformer multi.


Il semblerait que les petits jeux d’action multijoueur aient la côte sur PC ces temps-ci. On a déjà pu s’essayer à Samurai Gunn et Nidhogg qui étaient tous deux fort sympathiques. Voilà maintenant que Towerfall débarque, tout de pixel art vêtu, vu de côté, avec une maniabilité immédiate.

Il ne reste plus qu’à réunir 3 autres personnes à la rédaction – en leur expliquant gentiment qu’il n’y a pas que FIFA 14 dans la vie – et nous voilà, tous les 4, devant la PS4 qui arrive enfin à amuser son monde en dehors de la simulation éculée de ballon rond.

Tout le monde cherche au début ses marques dans ce dédale de plateformes en 2D. On découvre vite qu’en plus de pouvoir sauter et courir, on peut aussi sauter contre les murs et s’accrocher aux rebords. La première fois que quelqu’un saute sur quelqu’un d’autre et le tue, on découvre que décocher des flèches dans le mille ne faisait pas tout.

TowerFall-gif-1

Les gens lâchent les manettes, mais d’autres, curieux, les récupèrent au passage pour participer joyeusement à la mêlée. Les provocations fusent, les rires aussi. Les replays en fin de chaque manche font que chacun peut revoir la dernière action victorieuse du fier combattant encore debout. Quoique pas toujours.

Chacun fait ses petites trouvailles qu’il garde jalousement pour lui pour garder l’ascendant sur ses opposants. Quand l’un comprend qu’une esquive avec les gâchettes permet non seulement de parer une flèche, mais également de la récupérer, d’autres se rendent compte que bousculer ses adversaires permet d’en voler une dans son stock. Étant donné que les flèches sont limitées en nombre et qu’il faut aller les chercher sur les cadavres et les murs quand on en manque, tous les moyens sont bons pour se réapprovisionner.

Les coffres qui apparaissent de temps en temps créent de véritables batailles dans la bataille. Celui qui y parvient le premier obtient un bonus : des ailes pour voler, des flèches explosives, un bouclier qui permet d’encaisser un coup, si ce n’est pas une bombe allumée qui explose au visage de celui qui aura eu l’outrecuidance d’ouvrir ce coffre.

TowerFall-gif-2

Peu de choses sont laissées au hasard dans TowerFall: Ascension et les joueurs le découvriront vite à leurs dépens. La maîtrise de l’esquive et du wall jump seront vite primordiales pour quiconque veut sortir victorieux de l’arène. Parlons-en, tiens, des arènes. Très nombreuses, si vous tombez dans un trou de l’une d’entre elles, vous réapparaissez au plafond et vice-versa. Idem si vous sortez de la zone de combat par la gauche, vous réapparaîtrez à droite. Les kills retors seront ainsi nombreux quand une flèche surgira soudainement d’un des côtés de l’écran sans qu’on ait eu le temps de comprendre ce qu’il se passe.

Et pour ceux qui recherchent les variantes, elles sont tellement nombreuses que le fait de les énumérer ici serait bien trop long. Notez qu’il est possible de démarrer par défaut avec chacun des objets activés indépendamment. Il y a également du team deathmatch, donc si vous avez envie de jouer uniquement avec des flèches explosives en équipe avec de la lave sur les bords de l’écran, c’est tout à fait possible.

Matt Thorson, le créateur principal du jeu, a très bien compris l’essence même du fun à quatre joueurs sur canapé : un peu d’investissement contre beaucoup d’amusement. Il est d’ailleurs certainement supérieur à Samurai Gunn sur ce point. Ce dernier possède en effet plus d’immédiateté, mais il n’a pas de vraie profondeur. De plus, le mode mode solo de Samurai Gunn fait vraiment chiche à côté de celui de TowerFall.

TowerFall-gif-3

Devant mon niveau bien trop élevé – je mens évidemment de manière éhontée – mes camarades commençaient à être découragés. Mais le TowerFall: Ascension, qui fait de la convivialité son argument de vente principal, leur a octroyé un bouclier de base au début de chaque manche. Cette simple feature qui permet de remettre en selle les joueurs en difficulté est représentative de la convivialité engendrée par ce jeu. Vous devriez vraiment vous y essayer. Son petit prix, quant à lui, devrait finir de vous convaincre.

TowerFall: Ascension est disponible sur PC et PS4 pour 14 euros.

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Réchappé de l’enfer de la OUYA, les créateurs de TowerFall se sont dit que c’était dommage de ne pas faire découvrir à un plus grand nombre ce formidable action plateformer multi.


Il semblerait que les petits jeux d’action multijoueur aient la côte sur PC ces temps-ci. On a déjà pu s’essayer à Samurai Gunn et Nidhogg qui étaient tous deux fort sympathiques. Voilà maintenant que Towerfall débarque, tout de pixel art vêtu, vu de côté, avec une maniabilité immédiate.

Il ne reste plus qu’à réunir 3 autres personnes à la rédaction – en leur expliquant gentiment qu’il n’y a pas que FIFA 14 dans la vie – et nous voilà, tous les 4, devant la PS4 qui arrive enfin à amuser son monde en dehors de la simulation éculée de ballon rond.

Tout le monde cherche au début ses marques dans ce dédale de plateformes en 2D. On découvre vite qu’en plus de pouvoir sauter et courir, on peut aussi sauter contre les murs et s’accrocher aux rebords. La première fois que quelqu’un saute sur quelqu’un d’autre et le tue, on découvre que décocher des flèches dans le mille ne faisait pas tout.

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Les gens lâchent les manettes, mais d’autres, curieux, les récupèrent au passage pour participer joyeusement à la mêlée. Les provocations fusent, les rires aussi. Les replays en fin de chaque manche font que chacun peut revoir la dernière action victorieuse du fier combattant encore debout. Quoique pas toujours.

Chacun fait ses petites trouvailles qu’il garde jalousement pour lui pour garder l’ascendant sur ses opposants. Quand l’un comprend qu’une esquive avec les gâchettes permet non seulement de parer une flèche, mais également de la récupérer, d’autres se rendent compte que bousculer ses adversaires permet d’en voler une dans son stock. Étant donné que les flèches sont limitées en nombre et qu’il faut aller les chercher sur les cadavres et les murs quand on en manque, tous les moyens sont bons pour se réapprovisionner.

Les coffres qui apparaissent de temps en temps créent de véritables batailles dans la bataille. Celui qui y parvient le premier obtient un bonus : des ailes pour voler, des flèches explosives, un bouclier qui permet d’encaisser un coup, si ce n’est pas une bombe allumée qui explose au visage de celui qui aura eu l’outrecuidance d’ouvrir ce coffre.

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Peu de choses sont laissées au hasard dans TowerFall: Ascension et les joueurs le découvriront vite à leurs dépens. La maîtrise de l’esquive et du wall jump seront vite primordiales pour quiconque veut sortir victorieux de l’arène. Parlons-en, tiens, des arènes. Très nombreuses, si vous tombez dans un trou de l’une d’entre elles, vous réapparaissez au plafond et vice-versa. Idem si vous sortez de la zone de combat par la gauche, vous réapparaîtrez à droite. Les kills retors seront ainsi nombreux quand une flèche surgira soudainement d’un des côtés de l’écran sans qu’on ait eu le temps de comprendre ce qu’il se passe.

Et pour ceux qui recherchent les variantes, elles sont tellement nombreuses que le fait de les énumérer ici serait bien trop long. Notez qu’il est possible de démarrer par défaut avec chacun des objets activés indépendamment. Il y a également du team deathmatch, donc si vous avez envie de jouer uniquement avec des flèches explosives en équipe avec de la lave sur les bords de l’écran, c’est tout à fait possible.

Matt Thorson, le créateur principal du jeu, a très bien compris l’essence même du fun à quatre joueurs sur canapé : un peu d’investissement contre beaucoup d’amusement. Il est d’ailleurs certainement supérieur à Samurai Gunn sur ce point. Ce dernier possède en effet plus d’immédiateté, mais il n’a pas de vraie profondeur. De plus, le mode mode solo de Samurai Gunn fait vraiment chiche à côté de celui de TowerFall.

TowerFall-gif-3

Devant mon niveau bien trop élevé – je mens évidemment de manière éhontée – mes camarades commençaient à être découragés. Mais le TowerFall: Ascension, qui fait de la convivialité son argument de vente principal, leur a octroyé un bouclier de base au début de chaque manche. Cette simple feature qui permet de remettre en selle les joueurs en difficulté est représentative de la convivialité engendrée par ce jeu. Vous devriez vraiment vous y essayer. Son petit prix, quant à lui, devrait finir de vous convaincre.

TowerFall: Ascension est disponible sur PC et PS4 pour 14 euros.

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Notre avis

Ultra Convivial
Note : 8  /  10

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