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Test : Tony Hawk’s Project 8 (Xbox 360)

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Cela fait maintenant sept ans que la série Tony Hawk règne en maà®tre dans son domaine. Souvenez-vous, c’était en septembre 1999 que débarquait sur Playstation Tony Hawk’s Pro Skater. Mais avec le passage, à  la n’importe NaWak, de American Wasteland l’année dernière sur notre console NextGen cela à  bien faillit s’arrêter là . Heureusement, les développeurs de Neversoft ont su faire face au manque de renouveau et nous sorte cette fois un titre à  la hauteur des attentes de chacun.

Cela fait maintenant sept ans que la série Tony Hawk règne en maà®tre dans son domaine. Souvenez-vous, c’était en septembre 1999 que débarquait sur Playstation Tony Hawk’s Pro Skater. Mais avec le passage, à  la n’importe NaWak, de American Wasteland l’année dernière sur notre console NextGen cela à  bien faillit s’arrêter là . Heureusement, les développeurs de Neversoft ont su faire face au manque de renouveau et nous sorte cette fois un titre à  la hauteur des attentes de chacun.

Au niveau du contenu, les habitué(e)s ne seront pas dépaysés. En effet le mode Carrière est immense et vous invite dans un premier temps à  créer votre skateur. Certes les options sont limitées mais elles permettent d’obtenir des looks vraiment variés. Une fois votre perso terminé, vous pouvez sortir de chez vous et découvrir ainsi, tout un quartier prêt à  se faire rider.

Le but de votre vie : intégrer le fameux Project 8 de Tony Hawk, regroupant les huit meilleurs représentants de la discipline. Pour cela, de nombreux d’objectifs seront à  réaliser dans l’ordre que vous souhaitez. Au début de la partie, seul un quartier est disponible, les autres se débloqueront au fur et à  de votre progression. Vous débutez à  la 200ème place, vous grimperez en fonction de vos performances et de l’accomplissement des objectifs. En effet, vous allez acquérir de l’expérience en multipliant les figures, et progresserez ainsi dans de nombreux domaines : manual, grind, flip, etc… Vous prenez alors de l’assurance et pourrez accomplir de plus en plus d’objectifs.
Pour participer à  un défi vous pouvez soit parler aux personnages auréolés d’orange flashy (afin de les reconnaà®tre), ou tout simplement, en suivant les défis spot, disséminés un peu partout dans l’environnement et remarquables par des tags.


Au niveau des défis vous aurez droit à  des concours du plus long grind, du plus haut wallpant, relever ceux lancés par les pro, suivre un caméraman filmant les tricks qu’il vous demande de réaliser pour lui, réaliser une figure spécifique dans un lieu donné pour un photographe ou encore les sempiternelles tà¢ches comme récupérer un disque caché, les lettres SKATE, COMBO, atteindre un score prédéfini, etc…
Trois niveaux de difficulté sont à  réaliser à  votre gré ou plutà´t capacité : amateur, pro, dément.

  • Le gameplay est très accessible et propose un nombre de tricks toujours plus conséquent et évolutif à  mesure que l’on progresse dans le jeu. Celui-ci est enrichit par l’ajout de séquences ralenties, ce mode est appelé Nail The Trick et vous permet de créer vos propres figures.
    Par exemple vous dévalez à  fond une rue pour envoyer un gros saut sur un tremplin situé en bas de celle-ci, une fois en l’air vous entrez en en mode création. Le jeu passe alors en « bullet time » et un zoom s’opère sur vos pieds et votre planche. Il suffit alors de jongler avec les sticks analogiques représentant vos dits pieds afin de faire tourner votre skate dans les sens désirés et enfin poser votre trick en douceur. Ce mode révolutionne à  lui seul la série et amène un véritable plus en matière de fun et d’esthétisme.

  • Cà´té graphisme, les décors sont parfaitement modélisés, variés et nombreux. L’environnement est gigantesque, les aires de skate sont vraiment vastes et l’on passe de l’une à  l’autre sans aucun temps de chargements.
    L’affichage ne subit aucun clipping et ce, quels que soient les lieux visités. Les animations sont très réalistes et les skaters et autres passants plutà´t réussi. On peut toutefois noter des ralentissements qui feront chuter d’un coup le framerate par moment.

  • Niveau sonore, à§a colle plutà´t bien à  l’esprit « glisse » avec des musiques qui déchirent bien et des bruitages toujours aussi réalistes.

  • Pour ce qui est du multijoueurs, rien ne change, possibilité d’affronter d’autres skaters sur le live sur différents défis comme le meilleur score avec une durée de temps imparti, le meilleur combo, le mode grafiti, etc… Ca ne rame pas mis à  part quelques lags de temps en temps et cela ajoute une fois de plus du fun, du fun et heu, du fun 🙂

  • En conclusion je dirai que THP8 est plutà´t technique, mais relativement simple à  prendre en main. Il permet ainsi de prendre du plaisir dès les premières minutes de jeu.
    Il rehausse la qualité de la série suite aux déboires de son prédécesseur et possède une durée de vie assez conséquente pour ceux qui s’aventureront dans le monde cruel des défis au niveau dément.

    Note : 7/10

    Cela fait maintenant sept ans que la série Tony Hawk règne en maà®tre dans son domaine. Souvenez-vous, c’était en septembre 1999 que débarquait sur Playstation Tony Hawk’s Pro Skater. Mais avec le passage, à  la n’importe NaWak, de American Wasteland l’année dernière sur notre console NextGen cela à  bien faillit s’arrêter là . Heureusement, les développeurs de Neversoft ont su faire face au manque de renouveau et nous sorte cette fois un titre à  la hauteur des attentes de chacun.

    Au niveau du contenu, les habitué(e)s ne seront pas dépaysés. En effet le mode Carrière est immense et vous invite dans un premier temps à  créer votre skateur. Certes les options sont limitées mais elles permettent d’obtenir des looks vraiment variés. Une fois votre perso terminé, vous pouvez sortir de chez vous et découvrir ainsi, tout un quartier prêt à  se faire rider.

    Le but de votre vie : intégrer le fameux Project 8 de Tony Hawk, regroupant les huit meilleurs représentants de la discipline. Pour cela, de nombreux d’objectifs seront à  réaliser dans l’ordre que vous souhaitez. Au début de la partie, seul un quartier est disponible, les autres se débloqueront au fur et à  de votre progression. Vous débutez à  la 200ème place, vous grimperez en fonction de vos performances et de l’accomplissement des objectifs. En effet, vous allez acquérir de l’expérience en multipliant les figures, et progresserez ainsi dans de nombreux domaines : manual, grind, flip, etc… Vous prenez alors de l’assurance et pourrez accomplir de plus en plus d’objectifs.
    Pour participer à  un défi vous pouvez soit parler aux personnages auréolés d’orange flashy (afin de les reconnaà®tre), ou tout simplement, en suivant les défis spot, disséminés un peu partout dans l’environnement et remarquables par des tags.


    Au niveau des défis vous aurez droit à  des concours du plus long grind, du plus haut wallpant, relever ceux lancés par les pro, suivre un caméraman filmant les tricks qu’il vous demande de réaliser pour lui, réaliser une figure spécifique dans un lieu donné pour un photographe ou encore les sempiternelles tà¢ches comme récupérer un disque caché, les lettres SKATE, COMBO, atteindre un score prédéfini, etc…
    Trois niveaux de difficulté sont à  réaliser à  votre gré ou plutà´t capacité : amateur, pro, dément.

  • Le gameplay est très accessible et propose un nombre de tricks toujours plus conséquent et évolutif à  mesure que l’on progresse dans le jeu. Celui-ci est enrichit par l’ajout de séquences ralenties, ce mode est appelé Nail The Trick et vous permet de créer vos propres figures.
    Par exemple vous dévalez à  fond une rue pour envoyer un gros saut sur un tremplin situé en bas de celle-ci, une fois en l’air vous entrez en en mode création. Le jeu passe alors en « bullet time » et un zoom s’opère sur vos pieds et votre planche. Il suffit alors de jongler avec les sticks analogiques représentant vos dits pieds afin de faire tourner votre skate dans les sens désirés et enfin poser votre trick en douceur. Ce mode révolutionne à  lui seul la série et amène un véritable plus en matière de fun et d’esthétisme.

  • Cà´té graphisme, les décors sont parfaitement modélisés, variés et nombreux. L’environnement est gigantesque, les aires de skate sont vraiment vastes et l’on passe de l’une à  l’autre sans aucun temps de chargements.
    L’affichage ne subit aucun clipping et ce, quels que soient les lieux visités. Les animations sont très réalistes et les skaters et autres passants plutà´t réussi. On peut toutefois noter des ralentissements qui feront chuter d’un coup le framerate par moment.

  • Niveau sonore, à§a colle plutà´t bien à  l’esprit « glisse » avec des musiques qui déchirent bien et des bruitages toujours aussi réalistes.

  • Pour ce qui est du multijoueurs, rien ne change, possibilité d’affronter d’autres skaters sur le live sur différents défis comme le meilleur score avec une durée de temps imparti, le meilleur combo, le mode grafiti, etc… Ca ne rame pas mis à  part quelques lags de temps en temps et cela ajoute une fois de plus du fun, du fun et heu, du fun 🙂

  • En conclusion je dirai que THP8 est plutà´t technique, mais relativement simple à  prendre en main. Il permet ainsi de prendre du plaisir dès les premières minutes de jeu.
    Il rehausse la qualité de la série suite aux déboires de son prédécesseur et possède une durée de vie assez conséquente pour ceux qui s’aventureront dans le monde cruel des défis au niveau dément.

    Note : 7/10

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