Un budget estimé entre 150 et 200 millions de dollars, 200 000 lignes de dialogues enregistrées par langue et ne parlons même pas du nombre probable de pizzas et de bières ingurgitées durant ces 5 années de développement. Ce Star Wars: The Old Republic est clairement le champion incontesté des superlatifs… Du coup, notre petit retard de tout juste 1 mois dans la livraison du test semble tout relatif.
Si-sith la famille
Près de 3500 ans avant la Bataille de Yavin contée dans l’épisode IV, la galaxie est officiellement en paix après le Traité de Coruscant mais suite à la trahison des Sith qui a provoqué ce Traité, de fortes tensions persistent entre la République Galactique et l’Empire des Sith. C’est dans cette situation tendue de retour à la guerre qui semble de plus en plus inévitable que Bioware nous situe son MMO. Vous aurez le choix de votre camp, ainsi que de votre classe (4 par faction). Pour la République on aura au programme le Chevalier Jedi, le Jedi Consulaire, le Contrebandier et le Soldat. L’Empire des Sith aura à sa disposition le Guerrier Sith, l’inquisiteur Sith, le chasseur de primes et l’agent impérial. Pour finir vous pourrez choisir votre espèce parmi un total de 9 disponibles (Humain, Zabrak, Cyborg, Twi’lek, Mirialan, Miraluka, Rattataki, Chiss, Sith au Sang Pur) mais attention, toutes les espèces ne peuvent pas avoir accès à toutes les classes. On n’imagine par exemple par un Sith au Sang Pur devenir Jedi… sic. D’ailleurs, si n’avoir que 4 classes par faction peu sembler peu, ne vous inquiétez pas car à partir du level 10, votre personnage pourra se spécialiser. C’est là que vous choisirez si par exemple vous souhaitez jouer plutôt Tank (qui encaisse beaucoup de dégâts) en choisissant pour le Sith la spécialité Ravageur (1 sabre et armure lourde) ou si vous préférez être le cogneur du groupe (aussi appelé DPS: Dommage par Seconde) en choisissant Maraudeur (2 sabres et armure intermédiaire). Chaque classe possède ainsi ses 2 spécialités qu’il sera en plus possible de diversifier grâce aux points de compétences.
Qui dit 8 classes dit 8 histoires principales et là, il faut avouer qu’on n’est vraiment pas déçu. Chaque classe démarre l’aventure dans sa zone ou planète respective. Le Sith et le Jedi voudront passer du statut d’apprenti à celui de Maître, le Contrebandier devra récupérer son vaisseau volé par des pirates, et ainsi de suite. Pour progresser dans l’aventure vous allez très souvent devoir faire des choix qui orienteront votre alignement. En tant que Jedi, allez-vous venger vos amis retenus prisonniers contre un peu de XP et un sabre laser amélioré au risque de basculer du côté obscur ou allez-vous pardonner à leurs agresseurs afin de rester du côté lumineux de la Force ? En trifouillant dans les options vous aurez même la possibilité d’afficher un signe à côté de chaque choix pour savoir à l’avance quelle sera l’orientation de vos actions. Celles-ci sont proposées lors de cinématiques fonctionnant un peu comme dans Mass Effect, ou plutôt Dragon Age 2 ici, avec sa roue de dialogue. Chaque conversation est doublée et les voix françaises sont, il est assez rare pour le noter, vraiment bonnes. A partir du niveau 10 vous aurez en plus un Partenaire qui évoluera à vos côtés. Son aide ne sera pas superflue durant les combats et vous pourrez bien entendu modifier son inventaire afin qu’il soit plus efficace. Il pourra également servir à aller vendre automatiquement chez un marchand des objets sans grande valeur afin que vous n’ayez pas à abandonner une quête en plein milieu en cas d’inventaire plein. Lors des phases de dialogues, en fonction de vos réponses, vous gagnerez (ou perdrez) des points d’amitié suivant la personnalité de votre Partenaire. Il n’est donc pas rare d’avoir des réponses qui vous fassent gagner des points d’un côté et en perdre d’autres de l’autre mais, sans spoiler, les choix que vous ferez auront un peu d’incidence sur le scénario. En fait, c’est surtout l’équipement disponible qui variera. Jouez-donc plutôt en fonction de votre personnalité sans chercher à gagner sur les 2 tableaux… Mais bon, si ce sabre laser du côté Obscur vous branche bien, n’hésitez pas à massacrer tous les esclaves qui se seraient révoltés. Ça leur apprendra !
Dans MMORPG il y a MMO
Outre la campagne solo, un MMO c’est l’occasion de se regrouper pour affronter des missions plus délicates. Et là non plus on n’est pas déçu. On trouve des missions héroïques faisant partie du scénario de base mais nécessitant d’être faites à plusieurs. Une indication sera d’ailleurs présente avant chacune de ces missions pour éviter d’aller au casse-pipe seul. Pardon ? Un autre type de gameplay qui mettrait en avant le MMO : les zones litigieuses et les opérations. Ce sont généralement des quêtes annexes devant êtes faites à plusieurs et n’ayant rien à voir avec le scénario principal qu’on peut rejouer une fois par jour maximum. La première arrive environ vers le niveau 10 où, en quittant votre planète, vous aurez le choix entre un vol sans encombre à bord d’une navette ou un voyage mouvementé à bord d’un vaisseau de transport qui devrait vous occuper une petite heure. Ce sera l’occasion de prendre des décisions qui changeront le cours de cette histoire annexe. Le résultat des dialogues est déterminé par le choix du plus grand nombre et des points de sociabilité récompenseront ceux ayant pris la réponse finale. N’essayez pas de faire ces missions en solo car c’est un suicide assuré.
Le seul élément négatif dans ces quêtes est l’impossibilité pour le moment de pouvoir chercher des camarades avec qui faire les instances. On se retrouve donc comme des couillons devant l’entrée de la zone à devoir draguer sur le channel pour trouver des volontaires pour nous accompagner. C’est assez frustrant et il n’est pas rare de devoir attendre 1h le temps de trouver des héros devant faire la même quête que nous. On espère que, comme dans un World of Warcraft, un outil intégré viendra très bientôt faire son apparition afin de réduire au minimum ces temps d’attente qui nuisent grandement au côté immersif.
Qui dit MMO moderne dit aussi PvP, appelé ici “zones de guerre”. Ces combats entre la République et l’Empire se déroulent dans des instances avec des combats à objectifs à 8 Joueurs contre 8 Joueurs, dans un axe résolument orienté Attaque contre Défense. On trouvera également une zone permettant de jouer au huttball, une sorte de football américain où tous les coups sont permis. Autant le côté RPG est terriblement immersif, autant j’avoue être un peu plus réservé sur le PvP car je trouve le gameplay assez brouillon comparé à un Guild Wars par exemple. J’ai aussi l’impression que suivant les classes, le résultat était assez déséquilibre. Peut-être est-ce lié au fait que je n’ai pas joué en guilde mais avec de parfaits inconnus et que nos “stratégies” étaient donc loin d’être optimisées. En même temps j’avoue ne pas être un gros joueur de PvP… sic
Rogue Squadron is back
A partir du niveau 20 environ (ou plutôt 16 si vous ne faites pas toutes les quêtes annexes comme moi) vous aurez accès à un vaisseau et à un équipage qui vous permettrons de parcourir la galaxie grâce à la carte intégrée, un peu comme dans Mass Effect en fait. L’occasion de rejoindre d’autres planètes pour continuer l’aventure. Sur la carte vous pourrez trouver des quêtes vous demandant de prendre part à des combat spatiaux où vous dirigerez votre vaisseau au milieu de la bataille. On change cette fois complètement d’interface et vous vous retrouverez cette fois aux commandes du vaisseau afin de tirer et lancer des missiles sur vos adversaires. Attention toutefois, on n’est pas dans X-Wing ici pour les plus anciens car on ne fait en fait que déplacer légèrement son vaisseau sur un parcours pré-calculé. Un peu comme dans Rogue Squadron sur Nintendo 64. C’est sympa, ça change du RPG classique, mais il faut bien avouer que ça ne casse pas trois pattes à un Tauntaun.
Si on avait pu prendre peur lors du développement du jeu en se disant qu’on allait encore avoir un MMO qui allait se casser les dents face à la redoutable concurrence que représente Blizzard il faut avouer qu’au final on est vraiment emballés. En relançant WoW j’ai trouvé ce dernier, à bas niveau en tout cas, bien terne et très vite ennuyeux. Même sans être un fan absolu de la saga Star Wars, l’immersion est ici totale et on a vraiment envie de progresser dans les différents scénarios proposés. Même s’il faut reconnaître que les objets les plus rares s’acquièrent lors des instances de groupes, les joueurs plutôt orienté “campagne en solo” ne devraient pas être trop pénalisés dans ce Star Wars: The Old Republic. Maintenant, faut-il craquer pour un abonnement mensuel ? La question est difficile car le jeu est tout jeune mais force est de reconnaître que Bioware ne nous arnaque pas sur la marchandise car dés début janvier sortait déjà gratuitement la mise à jour 1.1 intitulée “Soulèvement des rakgoules” avec une toute nouvelle zone litigieuse “Le siège de Kaon” et une extension de l’opération “Palais de Karagga” venant au final tripler la taille de cette dernière ! Pour les prochains mois on nous promet un système d’héritage, la possibilité de personnaliser l’interface utilisateur, des fonctionnalités des guildes et bien entendu de nouvelles zones de guerre et des zones litigieuses. Pour le moment on vous conseille donc vraiment d’investir dans le jeu. Si on met de côté le PvP, tant que EA et Bioware sauront proposer du nouveau contenu pour vos personnages une fois le level 50 atteint il n’y a pas de raison d’arrêter de jouer à SWTOR. Bref, foncez !
Le verdict ?
Si-sith la famille
Près de 3500 ans avant la Bataille de Yavin contée dans l’épisode IV, la galaxie est officiellement en paix après le Traité de Coruscant mais suite à la trahison des Sith qui a provoqué ce Traité, de fortes tensions persistent entre la République Galactique et l’Empire des Sith. C’est dans cette situation tendue de retour à la guerre qui semble de plus en plus inévitable que Bioware nous situe son MMO. Vous aurez le choix de votre camp, ainsi que de votre classe (4 par faction). Pour la République on aura au programme le Chevalier Jedi, le Jedi Consulaire, le Contrebandier et le Soldat. L’Empire des Sith aura à sa disposition le Guerrier Sith, l’inquisiteur Sith, le chasseur de primes et l’agent impérial. Pour finir vous pourrez choisir votre espèce parmi un total de 9 disponibles (Humain, Zabrak, Cyborg, Twi’lek, Mirialan, Miraluka, Rattataki, Chiss, Sith au Sang Pur) mais attention, toutes les espèces ne peuvent pas avoir accès à toutes les classes. On n’imagine par exemple par un Sith au Sang Pur devenir Jedi… sic. D’ailleurs, si n’avoir que 4 classes par faction peu sembler peu, ne vous inquiétez pas car à partir du level 10, votre personnage pourra se spécialiser. C’est là que vous choisirez si par exemple vous souhaitez jouer plutôt Tank (qui encaisse beaucoup de dégâts) en choisissant pour le Sith la spécialité Ravageur (1 sabre et armure lourde) ou si vous préférez être le cogneur du groupe (aussi appelé DPS: Dommage par Seconde) en choisissant Maraudeur (2 sabres et armure intermédiaire). Chaque classe possède ainsi ses 2 spécialités qu’il sera en plus possible de diversifier grâce aux points de compétences.
Qui dit 8 classes dit 8 histoires principales et là, il faut avouer qu’on n’est vraiment pas déçu. Chaque classe démarre l’aventure dans sa zone ou planète respective. Le Sith et le Jedi voudront passer du statut d’apprenti à celui de Maître, le Contrebandier devra récupérer son vaisseau volé par des pirates, et ainsi de suite. Pour progresser dans l’aventure vous allez très souvent devoir faire des choix qui orienteront votre alignement. En tant que Jedi, allez-vous venger vos amis retenus prisonniers contre un peu de XP et un sabre laser amélioré au risque de basculer du côté obscur ou allez-vous pardonner à leurs agresseurs afin de rester du côté lumineux de la Force ? En trifouillant dans les options vous aurez même la possibilité d’afficher un signe à côté de chaque choix pour savoir à l’avance quelle sera l’orientation de vos actions. Celles-ci sont proposées lors de cinématiques fonctionnant un peu comme dans Mass Effect, ou plutôt Dragon Age 2 ici, avec sa roue de dialogue. Chaque conversation est doublée et les voix françaises sont, il est assez rare pour le noter, vraiment bonnes. A partir du niveau 10 vous aurez en plus un Partenaire qui évoluera à vos côtés. Son aide ne sera pas superflue durant les combats et vous pourrez bien entendu modifier son inventaire afin qu’il soit plus efficace. Il pourra également servir à aller vendre automatiquement chez un marchand des objets sans grande valeur afin que vous n’ayez pas à abandonner une quête en plein milieu en cas d’inventaire plein. Lors des phases de dialogues, en fonction de vos réponses, vous gagnerez (ou perdrez) des points d’amitié suivant la personnalité de votre Partenaire. Il n’est donc pas rare d’avoir des réponses qui vous fassent gagner des points d’un côté et en perdre d’autres de l’autre mais, sans spoiler, les choix que vous ferez auront un peu d’incidence sur le scénario. En fait, c’est surtout l’équipement disponible qui variera. Jouez-donc plutôt en fonction de votre personnalité sans chercher à gagner sur les 2 tableaux… Mais bon, si ce sabre laser du côté Obscur vous branche bien, n’hésitez pas à massacrer tous les esclaves qui se seraient révoltés. Ça leur apprendra !
Dans MMORPG il y a MMO
Outre la campagne solo, un MMO c’est l’occasion de se regrouper pour affronter des missions plus délicates. Et là non plus on n’est pas déçu. On trouve des missions héroïques faisant partie du scénario de base mais nécessitant d’être faites à plusieurs. Une indication sera d’ailleurs présente avant chacune de ces missions pour éviter d’aller au casse-pipe seul. Pardon ? Un autre type de gameplay qui mettrait en avant le MMO : les zones litigieuses et les opérations. Ce sont généralement des quêtes annexes devant êtes faites à plusieurs et n’ayant rien à voir avec le scénario principal qu’on peut rejouer une fois par jour maximum. La première arrive environ vers le niveau 10 où, en quittant votre planète, vous aurez le choix entre un vol sans encombre à bord d’une navette ou un voyage mouvementé à bord d’un vaisseau de transport qui devrait vous occuper une petite heure. Ce sera l’occasion de prendre des décisions qui changeront le cours de cette histoire annexe. Le résultat des dialogues est déterminé par le choix du plus grand nombre et des points de sociabilité récompenseront ceux ayant pris la réponse finale. N’essayez pas de faire ces missions en solo car c’est un suicide assuré.
Le seul élément négatif dans ces quêtes est l’impossibilité pour le moment de pouvoir chercher des camarades avec qui faire les instances. On se retrouve donc comme des couillons devant l’entrée de la zone à devoir draguer sur le channel pour trouver des volontaires pour nous accompagner. C’est assez frustrant et il n’est pas rare de devoir attendre 1h le temps de trouver des héros devant faire la même quête que nous. On espère que, comme dans un World of Warcraft, un outil intégré viendra très bientôt faire son apparition afin de réduire au minimum ces temps d’attente qui nuisent grandement au côté immersif.
Qui dit MMO moderne dit aussi PvP, appelé ici “zones de guerre”. Ces combats entre la République et l’Empire se déroulent dans des instances avec des combats à objectifs à 8 Joueurs contre 8 Joueurs, dans un axe résolument orienté Attaque contre Défense. On trouvera également une zone permettant de jouer au huttball, une sorte de football américain où tous les coups sont permis. Autant le côté RPG est terriblement immersif, autant j’avoue être un peu plus réservé sur le PvP car je trouve le gameplay assez brouillon comparé à un Guild Wars par exemple. J’ai aussi l’impression que suivant les classes, le résultat était assez déséquilibre. Peut-être est-ce lié au fait que je n’ai pas joué en guilde mais avec de parfaits inconnus et que nos “stratégies” étaient donc loin d’être optimisées. En même temps j’avoue ne pas être un gros joueur de PvP… sic
Rogue Squadron is back
A partir du niveau 20 environ (ou plutôt 16 si vous ne faites pas toutes les quêtes annexes comme moi) vous aurez accès à un vaisseau et à un équipage qui vous permettrons de parcourir la galaxie grâce à la carte intégrée, un peu comme dans Mass Effect en fait. L’occasion de rejoindre d’autres planètes pour continuer l’aventure. Sur la carte vous pourrez trouver des quêtes vous demandant de prendre part à des combat spatiaux où vous dirigerez votre vaisseau au milieu de la bataille. On change cette fois complètement d’interface et vous vous retrouverez cette fois aux commandes du vaisseau afin de tirer et lancer des missiles sur vos adversaires. Attention toutefois, on n’est pas dans X-Wing ici pour les plus anciens car on ne fait en fait que déplacer légèrement son vaisseau sur un parcours pré-calculé. Un peu comme dans Rogue Squadron sur Nintendo 64. C’est sympa, ça change du RPG classique, mais il faut bien avouer que ça ne casse pas trois pattes à un Tauntaun.
Si on avait pu prendre peur lors du développement du jeu en se disant qu’on allait encore avoir un MMO qui allait se casser les dents face à la redoutable concurrence que représente Blizzard il faut avouer qu’au final on est vraiment emballés. En relançant WoW j’ai trouvé ce dernier, à bas niveau en tout cas, bien terne et très vite ennuyeux. Même sans être un fan absolu de la saga Star Wars, l’immersion est ici totale et on a vraiment envie de progresser dans les différents scénarios proposés. Même s’il faut reconnaître que les objets les plus rares s’acquièrent lors des instances de groupes, les joueurs plutôt orienté “campagne en solo” ne devraient pas être trop pénalisés dans ce Star Wars: The Old Republic. Maintenant, faut-il craquer pour un abonnement mensuel ? La question est difficile car le jeu est tout jeune mais force est de reconnaître que Bioware ne nous arnaque pas sur la marchandise car dés début janvier sortait déjà gratuitement la mise à jour 1.1 intitulée “Soulèvement des rakgoules” avec une toute nouvelle zone litigieuse “Le siège de Kaon” et une extension de l’opération “Palais de Karagga” venant au final tripler la taille de cette dernière ! Pour les prochains mois on nous promet un système d’héritage, la possibilité de personnaliser l’interface utilisateur, des fonctionnalités des guildes et bien entendu de nouvelles zones de guerre et des zones litigieuses. Pour le moment on vous conseille donc vraiment d’investir dans le jeu. Si on met de côté le PvP, tant que EA et Bioware sauront proposer du nouveau contenu pour vos personnages une fois le level 50 atteint il n’y a pas de raison d’arrêter de jouer à SWTOR. Bref, foncez !
Le verdict ?
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