SEGA a voulu jouer la carte de la sécurité pour le lancement de la 3DS, en lui offrant un nouveau volet de sa série Super Monkey Ball. Si le concept du jeu, déjà bien connu de tous est évidemment au centre de cet épisode, il a pour le coup été accompagné de quelques déclinaisons dont on se serait bien passé…
N’allez pas me faire dire ce que je n’ai pas dit : malgré ses 11 ans, le concept de Super Monkey Ball n’a toujours rien perdu de sa superbe. Diriger un petit singe enfermé dans une boule, dans le but de le faire aller d’un point A à un point B, le tout en prenant garde aux divers pièges juchés sur sa route est une recette qui fonctionne encore à merveille en 2011. Pour autant, inutile de vous attendre à la moindre surprise : si les niveaux sont plutôt réussis au sein de ce Super Monkey Ball 3D (on en dénombre en tout 70, ce qui au final est assez peu…), les développeurs n’ont pas contre pas jugé bon de venir chambouler les codes établis de leur série. Ainsi, le rayon des nouveautés de cet épisode est loin d’être fourni. En tout, on en dénombrera 2 principales : l’arrivée de la 3D, évidemment, et d’un gameplay au gyroscope efficace, mais qui rend, c’est important de le souligner, la-dite 3D inutile. Et oui : diriger la boule de votre singe en remuant la console de droite à gauche à beau être une bonne idée sur le papier, elle n’en demeure pas moins incompatible avec la 3DS et son système de 3D très sensible au moindre décalage de votre champ de vision. Reste alors à se rabattre sur un gameplay au stick analogique, moins fun, mais plus précis, et permettant de jouir de la 3D comme bon vous semble. Aurait-on déjà fait le tour de ce Super Monkey Ball 3D ? Et bien non. Malheureusement, serions-nous tentés de dire. Car SEGA s’est en effet mis dans l’idée d’implanter au jeu des Mario-Kart-like et Super Smash Bros.-like, dont on se serait bien passé. Le premier est en effet handicapé par un gameplay mou du genoux et par des tracés sans saveur, alors que le second arrive à nous ennuyer au bout de quelques minutes seulement, la faute à un rythme décousu qui noie immédiatement toute notion de fun. Et ce malgré les nombreuses épreuves qu’il propose… Bref, sans évoquer une déception, on en viendra tout de même à regretter que les développeurs ne se soient pas centrés sur le noyau du jeu, soit le mode “classique”, plutôt que d’essayer de singer la concurrence à travers 2 modes de jeu, il faut le dire, ratés.
Le verdict ?
Les +
Le mode de jeu classique, toujours aussi réussi
Les –
Les Mario Kart et Super Smash Bros.-like
Le gameplay au gyroscope, incompatible avec l’effet 3D…
Un peu court sur pattes en terme de contenu ?
N’allez pas me faire dire ce que je n’ai pas dit : malgré ses 11 ans, le concept de Super Monkey Ball n’a toujours rien perdu de sa superbe. Diriger un petit singe enfermé dans une boule, dans le but de le faire aller d’un point A à un point B, le tout en prenant garde aux divers pièges juchés sur sa route est une recette qui fonctionne encore à merveille en 2011. Pour autant, inutile de vous attendre à la moindre surprise : si les niveaux sont plutôt réussis au sein de ce Super Monkey Ball 3D (on en dénombre en tout 70, ce qui au final est assez peu…), les développeurs n’ont pas contre pas jugé bon de venir chambouler les codes établis de leur série. Ainsi, le rayon des nouveautés de cet épisode est loin d’être fourni. En tout, on en dénombrera 2 principales : l’arrivée de la 3D, évidemment, et d’un gameplay au gyroscope efficace, mais qui rend, c’est important de le souligner, la-dite 3D inutile. Et oui : diriger la boule de votre singe en remuant la console de droite à gauche à beau être une bonne idée sur le papier, elle n’en demeure pas moins incompatible avec la 3DS et son système de 3D très sensible au moindre décalage de votre champ de vision. Reste alors à se rabattre sur un gameplay au stick analogique, moins fun, mais plus précis, et permettant de jouir de la 3D comme bon vous semble. Aurait-on déjà fait le tour de ce Super Monkey Ball 3D ? Et bien non. Malheureusement, serions-nous tentés de dire. Car SEGA s’est en effet mis dans l’idée d’implanter au jeu des Mario-Kart-like et Super Smash Bros.-like, dont on se serait bien passé. Le premier est en effet handicapé par un gameplay mou du genoux et par des tracés sans saveur, alors que le second arrive à nous ennuyer au bout de quelques minutes seulement, la faute à un rythme décousu qui noie immédiatement toute notion de fun. Et ce malgré les nombreuses épreuves qu’il propose… Bref, sans évoquer une déception, on en viendra tout de même à regretter que les développeurs ne se soient pas centrés sur le noyau du jeu, soit le mode “classique”, plutôt que d’essayer de singer la concurrence à travers 2 modes de jeu, il faut le dire, ratés.
Le verdict ?
Les +
Le mode de jeu classique, toujours aussi réussi
Les –
Les Mario Kart et Super Smash Bros.-like
Le gameplay au gyroscope, incompatible avec l’effet 3D…
Un peu court sur pattes en terme de contenu ?
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