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Test : Super Mario Galaxy 2

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Après avoir cartonné (mais vraiment cartonné…) avec New Super Mario Bros. Wii, le plombier le plus célèbre de la planète abandonne à nouveau la 2D pour…

Après avoir cartonné (mais vraiment cartonné…) avec New Super Mario Bros. Wii, le plombier le plus célèbre de la planète abandonne à nouveau la 2D pour revenir chatouiller la 3D dans la suite de l’une de ses licences les plus en vogue actuellement. Et visiblement, ce n’est pas encore aujourd’hui que le père Mario sera inquiété par la concurrence !

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Nintendo maîtrise le style de la plate-forme comme personne. Depuis plus de 20 ans que la firme fait évoluer le genre, on s’étonne à chaque fois de la manière dont elle arrive à lui redonner un nouvel intérêt, sans jamais tomber dans la redite (si peu). Et bien vous savez quoi ? Rebelote avec ce Super Mario Galaxy 2. L’équipe en charge de développer le titre a réussi à nous offrir une véritable suite, certes inspirée par le volet qui lui aura servi de base, mais apportant au final tellement de nouveautés qu’on a jamais vraiment de sensation de déjà-vu. Et évidemment, cette fois encore, le soft propose un gameplay au poil, qui tire intelligemment parti du combo Wiimote/nunchuck, et qui fait que le plombier se dirige sans mal, que vous soyez ou non à l’aise avec le genre. En plus de ça, la caméra suit le plombier à la trace sans jamais lui faire défaut (lors du test, j’ai dû perdre une vie une ou deux fois “à cause” de la caméra…). Appréciable, n’est-ce pas ? Et justement, pour ce qui est de l’accessibilité, Super Mario Galaxy 2 propose, tout comme l’avait fait New Super Mario Bros. à l’époque, de transporter les plus maladroits directement à la fin d’un niveau, dès lors qu’ils auront perdu trop de vies. Inutile par contre d’espérer débloquer la récompense ultime en tirant parti de cette méthode. Nintendo l’a simplement mise en place pour ne pas décourager les gamers occasionnels, et certainement pas pour vous rendre la vie plus facile. Ainsi, une fois l’aide acceptée, vous devrez vous contenter d’une simple étoile de bronze, vous permettant certes d’avancer dans le jeu, mais certainement pas d’en explorer toutes les facettes. Où comment Nintendo a finalement réussi à doter son jeu de tout un panel d’aides et de didacticiels optionnels qui ne viendront à la fois pas déranger les gamers, tout en prenant par la main les nouveaux arrivants dans le monde de la plate-forme 3D.

A côté de ça, et comme je vous le disais plus haut, Super Mario Galaxy 2 n’est pas avare en nouveautés. S’il serait présomptueux de vouloir toutes les lister ici, on notera tout de même que l’on a cette fois l’occasion de diriger un Yoshi moins fragile, plus intelligent aussi, et pour le coup doté de quelques pouvoirs spéciaux qui vous aideront souvent à vous tirer du pétrin lors de votre périple (le dino changera de couleur suivant le pouvoir dont il dispose, “c’est dans les vieux pots”…). Non vraiment, la petite bestiole verte a toute sa place dans cette aventure. Rayon nouveauté également, on notera que Mario a désormais droit à 2 nouveaux costume : l’un le transformant en pierre, l’autre lui permettant de jouer avec les nuages. Inutile de vous spoiler ici sur leur utilisation, vous vous rendrez compte par vous même que Nintendo n’a pas amené ces nouveautés pour rien, et qu’elles offrent mine de rien des possibilités en terme de gameplay très bien vues. Le jeu fait également honneur à son prédécesseur sur la question de la durée de vie, puisqu’il propose en tout et pour près de 240 étoiles à amasser, des niveaux qui vous demanderont parfois plus de 10 minutes pour être bouclés, des défis à relever à la pelle, une difficulté quelque peu tirée vers le haut, et j’en passe. Et puis, même les réfractaires à la Wii et à sa puissance graphique en deçà de celle offerte par les Xbox 360 et Playstation 3 ne pourront que rendre hommage aux prouesses réalisées sur le sujet par les développeurs. Le jeu se place en effet dans le top 5 des plus beaux jeux Wii. Rajoutez à cela un level-design impeccable, jamais identique, et des musiques qui vous trottent dans la tête après 2 ou 3 écoutes, et vous vous rendez compte qu’une fois de plus, la firme au plombier a frappé un grand, que dis-je, un énorme coup. Mais alors, serions-nous face au jeu de plate-forme parfait ? Presque, si l’on excepte le fait que ce second volet reprend tout de même beaucoup de son prédécesseur, qu’il n’a pas su sublimer son mode 2 joueurs (un joueur controllant Mario, l’autre Luma, on a déjà vu plus palpitant). Mais je chipote…

Super Mario Galaxy 2 se place donc comme l’un des meilleurs jeux de plate-forme 3D toutes consoles confondues. Tout simplement. Aussi bien grâce à son gameplay au poil qu’à sa durée de vie conséquente ou à son accessibilité (parce que mine de rien, ce critère revêt une importance capitale sur Wii). Bref, Nintendo nous a offert là un soft comme on en voit trop rarement, et nous rappele dans le même que le roi de plate-forme, c’est (encore et toujours) lui.

Le verdict ?


Que signifie cette pastille ?

Les +
Un gameplay qui frôle la perfection
Un level-design bluffant
Une durée de vie très conséquente
Une réalisation graphique au top

Les –
Le jeu à 2, toujours aussi peu intéressant

Après avoir cartonné (mais vraiment cartonné…) avec New Super Mario Bros. Wii, le plombier le plus célèbre de la planète abandonne à nouveau la 2D pour revenir chatouiller la 3D dans la suite de l’une de ses licences les plus en vogue actuellement. Et visiblement, ce n’est pas encore aujourd’hui que le père Mario sera inquiété par la concurrence !

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Nintendo maîtrise le style de la plate-forme comme personne. Depuis plus de 20 ans que la firme fait évoluer le genre, on s’étonne à chaque fois de la manière dont elle arrive à lui redonner un nouvel intérêt, sans jamais tomber dans la redite (si peu). Et bien vous savez quoi ? Rebelote avec ce Super Mario Galaxy 2. L’équipe en charge de développer le titre a réussi à nous offrir une véritable suite, certes inspirée par le volet qui lui aura servi de base, mais apportant au final tellement de nouveautés qu’on a jamais vraiment de sensation de déjà-vu. Et évidemment, cette fois encore, le soft propose un gameplay au poil, qui tire intelligemment parti du combo Wiimote/nunchuck, et qui fait que le plombier se dirige sans mal, que vous soyez ou non à l’aise avec le genre. En plus de ça, la caméra suit le plombier à la trace sans jamais lui faire défaut (lors du test, j’ai dû perdre une vie une ou deux fois “à cause” de la caméra…). Appréciable, n’est-ce pas ? Et justement, pour ce qui est de l’accessibilité, Super Mario Galaxy 2 propose, tout comme l’avait fait New Super Mario Bros. à l’époque, de transporter les plus maladroits directement à la fin d’un niveau, dès lors qu’ils auront perdu trop de vies. Inutile par contre d’espérer débloquer la récompense ultime en tirant parti de cette méthode. Nintendo l’a simplement mise en place pour ne pas décourager les gamers occasionnels, et certainement pas pour vous rendre la vie plus facile. Ainsi, une fois l’aide acceptée, vous devrez vous contenter d’une simple étoile de bronze, vous permettant certes d’avancer dans le jeu, mais certainement pas d’en explorer toutes les facettes. Où comment Nintendo a finalement réussi à doter son jeu de tout un panel d’aides et de didacticiels optionnels qui ne viendront à la fois pas déranger les gamers, tout en prenant par la main les nouveaux arrivants dans le monde de la plate-forme 3D.

A côté de ça, et comme je vous le disais plus haut, Super Mario Galaxy 2 n’est pas avare en nouveautés. S’il serait présomptueux de vouloir toutes les lister ici, on notera tout de même que l’on a cette fois l’occasion de diriger un Yoshi moins fragile, plus intelligent aussi, et pour le coup doté de quelques pouvoirs spéciaux qui vous aideront souvent à vous tirer du pétrin lors de votre périple (le dino changera de couleur suivant le pouvoir dont il dispose, “c’est dans les vieux pots”…). Non vraiment, la petite bestiole verte a toute sa place dans cette aventure. Rayon nouveauté également, on notera que Mario a désormais droit à 2 nouveaux costume : l’un le transformant en pierre, l’autre lui permettant de jouer avec les nuages. Inutile de vous spoiler ici sur leur utilisation, vous vous rendrez compte par vous même que Nintendo n’a pas amené ces nouveautés pour rien, et qu’elles offrent mine de rien des possibilités en terme de gameplay très bien vues. Le jeu fait également honneur à son prédécesseur sur la question de la durée de vie, puisqu’il propose en tout et pour près de 240 étoiles à amasser, des niveaux qui vous demanderont parfois plus de 10 minutes pour être bouclés, des défis à relever à la pelle, une difficulté quelque peu tirée vers le haut, et j’en passe. Et puis, même les réfractaires à la Wii et à sa puissance graphique en deçà de celle offerte par les Xbox 360 et Playstation 3 ne pourront que rendre hommage aux prouesses réalisées sur le sujet par les développeurs. Le jeu se place en effet dans le top 5 des plus beaux jeux Wii. Rajoutez à cela un level-design impeccable, jamais identique, et des musiques qui vous trottent dans la tête après 2 ou 3 écoutes, et vous vous rendez compte qu’une fois de plus, la firme au plombier a frappé un grand, que dis-je, un énorme coup. Mais alors, serions-nous face au jeu de plate-forme parfait ? Presque, si l’on excepte le fait que ce second volet reprend tout de même beaucoup de son prédécesseur, qu’il n’a pas su sublimer son mode 2 joueurs (un joueur controllant Mario, l’autre Luma, on a déjà vu plus palpitant). Mais je chipote…

Super Mario Galaxy 2 se place donc comme l’un des meilleurs jeux de plate-forme 3D toutes consoles confondues. Tout simplement. Aussi bien grâce à son gameplay au poil qu’à sa durée de vie conséquente ou à son accessibilité (parce que mine de rien, ce critère revêt une importance capitale sur Wii). Bref, Nintendo nous a offert là un soft comme on en voit trop rarement, et nous rappele dans le même que le roi de plate-forme, c’est (encore et toujours) lui.

Le verdict ?


Que signifie cette pastille ?

Les +
Un gameplay qui frôle la perfection
Un level-design bluffant
Une durée de vie très conséquente
Une réalisation graphique au top

Les –
Le jeu à 2, toujours aussi peu intéressant

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