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Test : StarCraft II : Wings of Liberty

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Pourquoi un test aussi tardif ? C’est assez simple… Je voulais avoir le temps de finir la campagne solo, mais également de faire le tour du…

Pourquoi un test aussi tardif ? C’est assez simple… Je voulais avoir le temps de finir la campagne solo, mais également de faire le tour du propriétaire de la partie multijoueur. Pour faire simple : je vous propose un test relativement rapide de la chose, en vous parlant de ce que j’ai aimé, de ce que je n’ai pas aimé, que soit dans le solo, ou le multi !

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Dire que Starcarft II n’est qu’une version 1.5 du premier volet disposant simplement d’une partie graphique remise au goût du jour serait réducteur. Je pense d’ailleurs que ceux arborent l’argument sont à la fois de mauvaise foi, et loin d’être fans de StarCraft premier du nom… D’ailleurs le moteur graphique, s’il est agréable à l’œil, ne révolutionne pas vraiment le genre, et est surtout (et c’est une habitude chez Blizzard) suffisamment léger pour tourner sur un grand nombre de configurations. Donc ce deuxième opus progresse sur tout ce qui pouvait vraiment être amélioré par rapport au premier opus. Mais éloignons-nous de l’aspect graphique pour nous recentrer sur la partie solo du jeu, qui comporte un nombre conséquent de subtilités et de personnalisation de votre force de frappe. Avec par exemple un arbre technologique vous permettant de choisir vos améliorations, et de nouvelles unités. Des choix qui seront d’ailleurs, pour l’arbre technologique de “recherches” (Zerg ou Protoss), définitif pour toute votre campagne. Attention à ne pas se planter, donc. Toujours au niveau du solo, il est à noter que les missions Protoss qui avaient été annoncées sont bien présentes et viennent renforcer le scénario principal. Scénario, qui en plus de suivre la révolution de la bande de Raynor contre l’empereur Mengsk , vous réservera des surprises, car on approfondit dans cette première partie la relation entre Raynor et les différents héros du premier opus (Kerrigan, Zeratul entre autre), mais aussi de nouveaux second rôles plus ou moins croustillants. L’humour est omniprésent, beaucoup plus que dans le premier opus d’ailleurs. Le scénario est vraiment plus complet et beaucoup plus intéressant, et les missions suffisamment variées pour que l’on prenne plaisir à en voir le bout. Bref, rien à redire de ce côté là. Et on a évidemment hâte de découvrir les deux prochains chapitres de cette trilogie qui promet d’être grandiose et qui va certainement redéfinir la manière de raconter une histoire dans un jeu de stratégie. A ce sujet, si au départ j’étais plus que sceptique sur la question d’une trilogie espacée, le contenu solo de ce premier chapitre rend finalement plus que justice à ce découpage en trois morceaux.

Mais évidemment, si le solo a été grandement revu, on s’attendait à beaucoup de changements du côté du multi. Blizzard a fait le choix de rester dans la même veine que dans le premier opus de ce point de vue là. Malgré tout, on peut noter quelques changements, surtout le design de certaines maps de base, mais également un gameplay légèrement plus évolué. L’équilibrage des races semble plus au point que dans le premier volet, et les stratégies permettent toujours autant de rush, mais peuvent aussi générer des parties beaucoup plus longues. Malheureusement, malgré un système de match-making plutôt bien fichu (je vous en reparle plus bas) on a tout de même affaire à un titre dédié à la compétition. Pas de (mauvaise) surprise, le jeu deviendra le fier remplaçant du premier opus dans les championnats d’e-sport. Du coup, les nouveaux venus risquent fort de s’en prendre plein la tête au départ, et il faudra s’accrocher pour reprendre du plaisir par la suite ! Pour poursuivre je vais vous parler rapidement du centre opérationnel de Starcraft II, à savoir Battle.net. Le service a réellement progressé dans ce nouvel opus. Il deviendra d’ailleurs le nouveau hub central pour tous les futurs titres de Blizzard. Il vous permettra de retrouver vos amis (en utilisant par exemple le lien Facebook, qui vous permet de trouver rapidement, dans vos contacts, qui a un compte Battle.net), et cela au travers des différents jeux de Blizzard (Diablo III, Starcraft 2, WOW). Ce hub est une vrai réussite, comme le sont le PSN, le Live de la Xbox 360, mais aussi le client Steam. C’est un atout pour les jeux Blizzard en tout cas !

Starcraft 2 est sans conteste ce que l’on peut appeler un classique instantané. Il remplace parfaitement le précédent opus en alliant un gameplay classique mais d’une efficacité redoutable à un service en ligne impeccable, le tout sublimé par un solo qui donne très envie de connaître la suite d’un univers qui a enfin le scénario qui lui manquait !

Le verdict ?


Que signifie cette pastille ?

Les +
Un scénario solo impeccable
Un gameplay classique mais incontournable
Une réalisation solide

Les –
Les trois chapitres séparés
Un multi parfois trop compétitif

Pourquoi un test aussi tardif ? C’est assez simple… Je voulais avoir le temps de finir la campagne solo, mais également de faire le tour du propriétaire de la partie multijoueur. Pour faire simple : je vous propose un test relativement rapide de la chose, en vous parlant de ce que j’ai aimé, de ce que je n’ai pas aimé, que soit dans le solo, ou le multi !

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Dire que Starcarft II n’est qu’une version 1.5 du premier volet disposant simplement d’une partie graphique remise au goût du jour serait réducteur. Je pense d’ailleurs que ceux arborent l’argument sont à la fois de mauvaise foi, et loin d’être fans de StarCraft premier du nom… D’ailleurs le moteur graphique, s’il est agréable à l’œil, ne révolutionne pas vraiment le genre, et est surtout (et c’est une habitude chez Blizzard) suffisamment léger pour tourner sur un grand nombre de configurations. Donc ce deuxième opus progresse sur tout ce qui pouvait vraiment être amélioré par rapport au premier opus. Mais éloignons-nous de l’aspect graphique pour nous recentrer sur la partie solo du jeu, qui comporte un nombre conséquent de subtilités et de personnalisation de votre force de frappe. Avec par exemple un arbre technologique vous permettant de choisir vos améliorations, et de nouvelles unités. Des choix qui seront d’ailleurs, pour l’arbre technologique de “recherches” (Zerg ou Protoss), définitif pour toute votre campagne. Attention à ne pas se planter, donc. Toujours au niveau du solo, il est à noter que les missions Protoss qui avaient été annoncées sont bien présentes et viennent renforcer le scénario principal. Scénario, qui en plus de suivre la révolution de la bande de Raynor contre l’empereur Mengsk , vous réservera des surprises, car on approfondit dans cette première partie la relation entre Raynor et les différents héros du premier opus (Kerrigan, Zeratul entre autre), mais aussi de nouveaux second rôles plus ou moins croustillants. L’humour est omniprésent, beaucoup plus que dans le premier opus d’ailleurs. Le scénario est vraiment plus complet et beaucoup plus intéressant, et les missions suffisamment variées pour que l’on prenne plaisir à en voir le bout. Bref, rien à redire de ce côté là. Et on a évidemment hâte de découvrir les deux prochains chapitres de cette trilogie qui promet d’être grandiose et qui va certainement redéfinir la manière de raconter une histoire dans un jeu de stratégie. A ce sujet, si au départ j’étais plus que sceptique sur la question d’une trilogie espacée, le contenu solo de ce premier chapitre rend finalement plus que justice à ce découpage en trois morceaux.

Mais évidemment, si le solo a été grandement revu, on s’attendait à beaucoup de changements du côté du multi. Blizzard a fait le choix de rester dans la même veine que dans le premier opus de ce point de vue là. Malgré tout, on peut noter quelques changements, surtout le design de certaines maps de base, mais également un gameplay légèrement plus évolué. L’équilibrage des races semble plus au point que dans le premier volet, et les stratégies permettent toujours autant de rush, mais peuvent aussi générer des parties beaucoup plus longues. Malheureusement, malgré un système de match-making plutôt bien fichu (je vous en reparle plus bas) on a tout de même affaire à un titre dédié à la compétition. Pas de (mauvaise) surprise, le jeu deviendra le fier remplaçant du premier opus dans les championnats d’e-sport. Du coup, les nouveaux venus risquent fort de s’en prendre plein la tête au départ, et il faudra s’accrocher pour reprendre du plaisir par la suite ! Pour poursuivre je vais vous parler rapidement du centre opérationnel de Starcraft II, à savoir Battle.net. Le service a réellement progressé dans ce nouvel opus. Il deviendra d’ailleurs le nouveau hub central pour tous les futurs titres de Blizzard. Il vous permettra de retrouver vos amis (en utilisant par exemple le lien Facebook, qui vous permet de trouver rapidement, dans vos contacts, qui a un compte Battle.net), et cela au travers des différents jeux de Blizzard (Diablo III, Starcraft 2, WOW). Ce hub est une vrai réussite, comme le sont le PSN, le Live de la Xbox 360, mais aussi le client Steam. C’est un atout pour les jeux Blizzard en tout cas !

Starcraft 2 est sans conteste ce que l’on peut appeler un classique instantané. Il remplace parfaitement le précédent opus en alliant un gameplay classique mais d’une efficacité redoutable à un service en ligne impeccable, le tout sublimé par un solo qui donne très envie de connaître la suite d’un univers qui a enfin le scénario qui lui manquait !

Le verdict ?


Que signifie cette pastille ?

Les +
Un scénario solo impeccable
Un gameplay classique mais incontournable
Une réalisation solide

Les –
Les trois chapitres séparés
Un multi parfois trop compétitif

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