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Test : Sony Xperia Tablet Z

Après une Xperia Tablet S qui n’a pas vraiment convaincu, Sony revient à la charge sur ce segment avec la Xperia Tablet Z. Une lettre qui…

Après une Xperia Tablet S qui n’a pas vraiment convaincu, Sony revient à la charge sur ce segment avec la Xperia Tablet Z. Une lettre qui la rattache bien évidemment avec le nouveau smartphone de la marque, le Xperia Z, qui a su séduire la critique avec son écran Full HD et sa résistance à l’eau.

Sony capitalise sur donc sur le succès de son téléphone pour promouvoir sa tablette. Non seulement par le nom, mais aussi par le design ou encore la surcouche et diverses fonctionnalités ou capacités comme justement la résistance à l’eau. Toute la question est donc de savoir si la tablette est tout aussi recommandable que le smartphone.

DSC01978

À en juger par ses caractéristiques, le produit est déjà prometteur puisqu’il intègre un processeur  Qualcomm Snapdragon S4 (ARM Cortex-A15) à quatre cœurs et cadencé à 1,5 GHz avec une Adreno 320 pour la partie graphique avec 2 Go de RAM, exactement comme le Xperia Z. L’écran affiche 1920 x 1200 pixels sur 10,1 pouces. Un format 16 : 10 qui offre une résolution d’environ 224 ppi. Le capteur arrière se compose de 8,1 mpx, capable de filmer en 1080p, tout comme la caméra frontale qui offre 2,2 mpx en revanche. Sony a prévu 16 ou 32 Go pour le stockage, extensible via carte SD (64 Go max), la batterie (non amovible) affiche une capacité de 6000 mAh.

La tablette sera vendue à partir la mi-mai pour 499 en version 16 Go, 549 en 32 Go et 629 euros pour le modèle 16 Go/4G LTE. C’est ce dernier modèle que Sony nous a fait parvenir.

N. B. Le modèle que nous avons entre les mains est un prototype, il est donc possible que le modèle final subisse quelques légers remaniements  notamment au niveau de l’OS.

Design

Comme nous le disions en préambule, le japonais a choisi de bâtir une véritable gamme Z unis. Cette unification passe bien évidemment par le design. On retrouve donc sur la tablette les codes esthétiques initiés avec le smartphone. On retrouve ici une façade en verre, avec des bordures noires (il existera une version blanche), les tranches sont elles aussi en verre, et séparées de l’écran par de fins liserés de plastiques “soft-touch”. L’apparence globale est très satisfaisante, elle présente donc bien, du moins en façade.

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Car la face arrière est un peu moins glorieuse. À la différence du Z cette fois, le dos de la tablette n’est pas en verre, mais fabriquée à partir du même revêtement en plastique “peau de pêche” que les liserés. Le sentiment “premium” donné par la façade passe vite à la trappe et on touche dès lors une tablette très classique. Rien de dramatique, le revêtement a fait ses preuves, mais comme toujours, les traces de doigts sont légion et le matériau facilite la sudation.

Sur les tranches on retrouve le triumvirat habituel : boutons de volume +/-, veille/allumage et prise jack. Petite nouveauté, la tablette embarque quatre petits haut-parleurs sur les tranches, 2 en bas et un de chaque côté. Pour garantir la résistance à l’eau, Sony a recouvert les entrées/sortie de petits caches, cela permet de les camoufler, mais ce n’est pas des plus pratique.

La Z brille en revanche par son poids qui n’est que de 495 grammes, c’est un record dans sa catégorie. Avec ses 172 x 266 x 6.9 mm elle est également parmi les plus fines ardoises du marché, c’est fort appréciable quand il s’agit de la transporter.

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Plus fine que l’iPhone 5

Globalement la tablette Z est une réussite en termes de design, même si l’on regrette vraiment de ne pas avoir une face arrière en verres.

Utilisation et Hardware

Si sa finesse est certainement un plus quand il s’agit de transport elle lui joue des tours à l’usage. Une fois en main l’impression de solidité n’est plus, et il suffira de forcer légèrement sur l’ardoise pour la voir se tordre et l’entendre craquer d’un peu partout.  Pire encore, sous la torsion l’écran tactile reconnait des “inputs” inexistants. Ce n’est pas systématique, mais ils surgissent parfois sans appuyer particulièrement fort, parfois en la tenant par un coin d’une main…

Bien sûr, on ne s’amuse pas forcément à tordre sa tablette dans tous les sens quand on l’utilise, mais cela procure un sentiment de produit au rabais qui n’est pas franchement digne de Sony et d’une tablette à 499 euros. On se demande donc bien pourquoi Sony a choisi le plastique plutôt que le verre à l’arrière. Surtout que les premiers prototypes de la tablette utilisaient du verre sur les deux faces.

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Beau score sous Quadrant

Au-delà cette franche lacune, la tablette est un quasi-sans-faute au niveau du hardware. La puce de Qualcomm est très performante et permet des scores très honorables sur les principaux outils de benchmark. Notamment 5501 avec le parcours Ice Storm Extrême de 3Dmark.

Ces chiffres sont confirmés en pratique, aucune latence notable, les films en 720 et 1080P s’affichent sans problème et c’est tout aussi convaincant pour les jeux. En dépit de ces tests et de notre utilisation, la batterie de 6000 mAh a réussi à tenir le choc, pas trop de soucis à se faire. Le hardware tient donc largement la route.

De son côté, la surcouche Sony est largement semblable à celle du XPeria et est donc assez discrète. On relève cependant quelques défauts, nous en notons trois principaux. Android oblige, la page d’accueil est largement customisable, mais l’on  se demande bien pourquoi le menu “applications” permettant d’accéder à l’ensemble de ses programmes est positionné en haut à droite de l’écran. Cela force l’utilisateur à déplacer ses mains habituellement positionnées sur le bas de l’appareil.

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En haut à droite, le menu des applis est mal placé

L’impossibilité de “couper” le clavier en deux pour s’en servir avec les pouces en mode paysage. Une possibilité pourtant exploitée depuis maintenant assez longtemps par Apple et Samsung. Enfin, un multitâche limité. Nous n’avons pas de solution similaire au “pop-up play” de Samsung ou au “Q-slide” d’LG qui permet par exemple visionner une vidéo en même temps que l’on navigue sur le web.

Sony fait donc le strict minimum.

Écran, son et… télécommande

Avec ses 10,1 pouces affichant une définition de 1920 x 1200 la tablette Z propose donc une résolution de 224 ppi, c’est un peu moins que l’iPad Retina et ses 264 ppi, mais l’effet y est. Les angles de visions sont suffisamment larges en dépit d’une dalle TFT et le contraste et les couleurs restent bien retranscrits. On l’aurait préféré légèrement plus lumineux, mais globalement, l’écran reste satisfaisant. Rien à redire.

Côté son, le japonais a intégré 4 petits haut-parleurs sur les tranches de son ardoise, le gain en terme de qualité ou de puissance n’est pas foncièrement notable. Comme souvent, pour ne pas dire toujours sur ce genre de produit, le son est assez nasillard et ne remplacera jamais une enceinte traditionnelle.

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Les hauts-parleurs

Petite particularité de tablette Z, elle dispose d’un port infrarouge. Il est utilisé notamment pour transformer sa tablette en télécommande pour votre téléviseur. Bravia bien sur, mais pas seulement, puisqu’elle fonctionne avec la quasi-totalité des marques de télévision. Nous avons testé sur une TV Philips et cela marche étonnamment bien. Après une configuration très rapide, la tablette se transforme en télécommande. C’est un pas en direction des utilisateurs se servant de leur tablette devant la télévision, qui s’avère assez pratique.

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L’interface télécommande, TV éteinte

Photo

Sur tablette la photo est loin d’être aussi importante que sur un smartphone. Heureusement pour Sony. Les performances du capteur sont honorables en extérieur, où le grain n’est pas trop marqué, mais affiche des couleurs pas toujours fidèlement retranscrites. On note également un léger voile blanc sur l’image de temps en temps. En intérieur, et même avec une pièce assez lumineuse, le grain reste marqué et la mise au point est parfois approximative. Nous vous laissons quelques clichés pour vous faire une idée.

DSC_0020

DSC_0014

Conclusion


Au final, la Xperia Tablet Z oscille entre du très bon, du moins bon, et parfois même du mauvais.  Après quelques jours d’utilisation, l’expérience est globalement satisfaisante. Elle est en plus assez bien positionnée en terme de tarif. Le rapport qualité-prix est donc au rendez-vous.

Si l’on envisage l’achat d’une tablette dans les mois à venir, on ne peut que conseiller de jeter un œil à la dernière création de Sony. Si elle n’est pas aussi flamboyante que le téléphone qui l’accompagne, elle reste une alternative crédible face à la Galaxy Tab et l’iPad.

Après une Xperia Tablet S qui n’a pas vraiment convaincu, Sony revient à la charge sur ce segment avec la Xperia Tablet Z. Une lettre qui la rattache bien évidemment avec le nouveau smartphone de la marque, le Xperia Z, qui a su séduire la critique avec son écran Full HD et sa résistance à l’eau.

Sony capitalise sur donc sur le succès de son téléphone pour promouvoir sa tablette. Non seulement par le nom, mais aussi par le design ou encore la surcouche et diverses fonctionnalités ou capacités comme justement la résistance à l’eau. Toute la question est donc de savoir si la tablette est tout aussi recommandable que le smartphone.

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À en juger par ses caractéristiques, le produit est déjà prometteur puisqu’il intègre un processeur  Qualcomm Snapdragon S4 (ARM Cortex-A15) à quatre cœurs et cadencé à 1,5 GHz avec une Adreno 320 pour la partie graphique avec 2 Go de RAM, exactement comme le Xperia Z. L’écran affiche 1920 x 1200 pixels sur 10,1 pouces. Un format 16 : 10 qui offre une résolution d’environ 224 ppi. Le capteur arrière se compose de 8,1 mpx, capable de filmer en 1080p, tout comme la caméra frontale qui offre 2,2 mpx en revanche. Sony a prévu 16 ou 32 Go pour le stockage, extensible via carte SD (64 Go max), la batterie (non amovible) affiche une capacité de 6000 mAh.

La tablette sera vendue à partir la mi-mai pour 499 en version 16 Go, 549 en 32 Go et 629 euros pour le modèle 16 Go/4G LTE. C’est ce dernier modèle que Sony nous a fait parvenir.

N. B. Le modèle que nous avons entre les mains est un prototype, il est donc possible que le modèle final subisse quelques légers remaniements  notamment au niveau de l’OS.

Design

Comme nous le disions en préambule, le japonais a choisi de bâtir une véritable gamme Z unis. Cette unification passe bien évidemment par le design. On retrouve donc sur la tablette les codes esthétiques initiés avec le smartphone. On retrouve ici une façade en verre, avec des bordures noires (il existera une version blanche), les tranches sont elles aussi en verre, et séparées de l’écran par de fins liserés de plastiques “soft-touch”. L’apparence globale est très satisfaisante, elle présente donc bien, du moins en façade.

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Car la face arrière est un peu moins glorieuse. À la différence du Z cette fois, le dos de la tablette n’est pas en verre, mais fabriquée à partir du même revêtement en plastique “peau de pêche” que les liserés. Le sentiment “premium” donné par la façade passe vite à la trappe et on touche dès lors une tablette très classique. Rien de dramatique, le revêtement a fait ses preuves, mais comme toujours, les traces de doigts sont légion et le matériau facilite la sudation.

Sur les tranches on retrouve le triumvirat habituel : boutons de volume +/-, veille/allumage et prise jack. Petite nouveauté, la tablette embarque quatre petits haut-parleurs sur les tranches, 2 en bas et un de chaque côté. Pour garantir la résistance à l’eau, Sony a recouvert les entrées/sortie de petits caches, cela permet de les camoufler, mais ce n’est pas des plus pratique.

La Z brille en revanche par son poids qui n’est que de 495 grammes, c’est un record dans sa catégorie. Avec ses 172 x 266 x 6.9 mm elle est également parmi les plus fines ardoises du marché, c’est fort appréciable quand il s’agit de la transporter.

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Plus fine que l’iPhone 5

Globalement la tablette Z est une réussite en termes de design, même si l’on regrette vraiment de ne pas avoir une face arrière en verres.

Utilisation et Hardware

Si sa finesse est certainement un plus quand il s’agit de transport elle lui joue des tours à l’usage. Une fois en main l’impression de solidité n’est plus, et il suffira de forcer légèrement sur l’ardoise pour la voir se tordre et l’entendre craquer d’un peu partout.  Pire encore, sous la torsion l’écran tactile reconnait des “inputs” inexistants. Ce n’est pas systématique, mais ils surgissent parfois sans appuyer particulièrement fort, parfois en la tenant par un coin d’une main…

Bien sûr, on ne s’amuse pas forcément à tordre sa tablette dans tous les sens quand on l’utilise, mais cela procure un sentiment de produit au rabais qui n’est pas franchement digne de Sony et d’une tablette à 499 euros. On se demande donc bien pourquoi Sony a choisi le plastique plutôt que le verre à l’arrière. Surtout que les premiers prototypes de la tablette utilisaient du verre sur les deux faces.

Screenshot_2013-04-23-11-06-45
Beau score sous Quadrant

Au-delà cette franche lacune, la tablette est un quasi-sans-faute au niveau du hardware. La puce de Qualcomm est très performante et permet des scores très honorables sur les principaux outils de benchmark. Notamment 5501 avec le parcours Ice Storm Extrême de 3Dmark.

Ces chiffres sont confirmés en pratique, aucune latence notable, les films en 720 et 1080P s’affichent sans problème et c’est tout aussi convaincant pour les jeux. En dépit de ces tests et de notre utilisation, la batterie de 6000 mAh a réussi à tenir le choc, pas trop de soucis à se faire. Le hardware tient donc largement la route.

De son côté, la surcouche Sony est largement semblable à celle du XPeria et est donc assez discrète. On relève cependant quelques défauts, nous en notons trois principaux. Android oblige, la page d’accueil est largement customisable, mais l’on  se demande bien pourquoi le menu “applications” permettant d’accéder à l’ensemble de ses programmes est positionné en haut à droite de l’écran. Cela force l’utilisateur à déplacer ses mains habituellement positionnées sur le bas de l’appareil.

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En haut à droite, le menu des applis est mal placé

L’impossibilité de “couper” le clavier en deux pour s’en servir avec les pouces en mode paysage. Une possibilité pourtant exploitée depuis maintenant assez longtemps par Apple et Samsung. Enfin, un multitâche limité. Nous n’avons pas de solution similaire au “pop-up play” de Samsung ou au “Q-slide” d’LG qui permet par exemple visionner une vidéo en même temps que l’on navigue sur le web.

Sony fait donc le strict minimum.

Écran, son et… télécommande

Avec ses 10,1 pouces affichant une définition de 1920 x 1200 la tablette Z propose donc une résolution de 224 ppi, c’est un peu moins que l’iPad Retina et ses 264 ppi, mais l’effet y est. Les angles de visions sont suffisamment larges en dépit d’une dalle TFT et le contraste et les couleurs restent bien retranscrits. On l’aurait préféré légèrement plus lumineux, mais globalement, l’écran reste satisfaisant. Rien à redire.

Côté son, le japonais a intégré 4 petits haut-parleurs sur les tranches de son ardoise, le gain en terme de qualité ou de puissance n’est pas foncièrement notable. Comme souvent, pour ne pas dire toujours sur ce genre de produit, le son est assez nasillard et ne remplacera jamais une enceinte traditionnelle.

DSC01988
Les hauts-parleurs

Petite particularité de tablette Z, elle dispose d’un port infrarouge. Il est utilisé notamment pour transformer sa tablette en télécommande pour votre téléviseur. Bravia bien sur, mais pas seulement, puisqu’elle fonctionne avec la quasi-totalité des marques de télévision. Nous avons testé sur une TV Philips et cela marche étonnamment bien. Après une configuration très rapide, la tablette se transforme en télécommande. C’est un pas en direction des utilisateurs se servant de leur tablette devant la télévision, qui s’avère assez pratique.

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L’interface télécommande, TV éteinte

Photo

Sur tablette la photo est loin d’être aussi importante que sur un smartphone. Heureusement pour Sony. Les performances du capteur sont honorables en extérieur, où le grain n’est pas trop marqué, mais affiche des couleurs pas toujours fidèlement retranscrites. On note également un léger voile blanc sur l’image de temps en temps. En intérieur, et même avec une pièce assez lumineuse, le grain reste marqué et la mise au point est parfois approximative. Nous vous laissons quelques clichés pour vous faire une idée.

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DSC_0014

Conclusion


Au final, la Xperia Tablet Z oscille entre du très bon, du moins bon, et parfois même du mauvais.  Après quelques jours d’utilisation, l’expérience est globalement satisfaisante. Elle est en plus assez bien positionnée en terme de tarif. Le rapport qualité-prix est donc au rendez-vous.

Si l’on envisage l’achat d’une tablette dans les mois à venir, on ne peut que conseiller de jeter un œil à la dernière création de Sony. Si elle n’est pas aussi flamboyante que le téléphone qui l’accompagne, elle reste une alternative crédible face à la Galaxy Tab et l’iPad.

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Notre avis

Crédible
Note : 7  /  10
22 commentaires
  1. je confirme aucun interet à mettre du verre sur la face arrière bien au contraire, la tablette sur les genoux (jeans et autres pantalons) à l’avantage d’etre presque antidérapante contrairement au verre…
    Donc je rejoins Volberg

  2. Petit conseil : Ne jamais acheter du Sony à la veille d’une mise à jour majeure d’Android.

    Ca va encore être la croix et la bannière pour avoir Android 5.0 là dessus (si un jour c’est porté).

    J’aime bien leur produits à Sony mais tant qu’ils seront pas au point sur les MàJ, ce sera sans moi.

  3. @Karim : d’apres ce que j’ai compris, Sony a changé sa politique en 2013 pour les MAJ android donc je ne pense pas qu’il y ai de soucis à ce se faire là dessus

  4. “Nous n’avons pas de solution similaire au « pop-up play » de Samsung ou au « Q-slide » d’LG”

    Il y a bien les Small Apps, qui sont des applications (navigateur web, appareille photo, calculatrice,sms…) qui restent au premier plan !
    Vous n’en avez même pas parlé

  5. Fallait certainement pas s’attendre à un 0 fautes pour une tablette Android sur JDG.
    Pour les critiques sur la finesse et qu’elle se plie..LOL !
    Il y a des applications gratuites du PlayStore pour mettre la vidéo lors d’un surf ou autre, pas grandes explications sur sa bonne autonomie constatée et la 2x moins grosse batterie que l’iPad…. Avez vous sérieusement testé avec plaisir ? Ou juste pour faire un billet dessus ?

  6. A l’heure d’aujourd’hui et qu’on soit fan ou pas il n’y a que 3 tablette de crédible
    1:Ipad 4
    2:Xperia TAB Z
    3:Nexus 10

  7. @karim

    Niveau mises à jour, ça serait véritablement un insulte de la part de SONY envers tous ses utilisateurs si le Xperia Z ,qui il faut le rappeler est un terminal haut de gamme, ne reçoit pas Android 5.0. SONY dit vouloir en effet changer sa politique concernant le suivi de leur produit par rapport au années précédentes ou c’était il faut bien le dire une véritable catastrophe.

    Le Xperia Z ainsi que sa tablette n’auront peut être pas les 18-24 mois de suivi logiciel théorique mais on peut s’attendre tout de même à au moins une mise à jour majeure du système ainsi que plusieurs mises à jour mineures/correctif interne à SONY pour optimiser l’expérience : c’est je pense à mon humble avis le strict minimum concernant un mobile de cette gamme.

    On verra bien leur réactivité durant cette année 2013. Cette tablette Z m’aurait bien tenter mais le prix reste tout de même assez élevé pour le modèle 4G/LTE. 🙁

  8. @karim: Sony s’est considérablement amélioré sur ce point. La tablette Xperia S a été mise à jour vers Android 4.1.1.
    Personnellement, je regrette d’avoir fait la mise à jour parce que la fenêtre des applications disparaît des applications récentes une fois qu’on en lance une, ce qui oblige à refaire n fois la même opération si on veut lancer n applications.

  9. Je suis ce que l’on pourrait appellé un “sony fanboy” j’ai presque tout de chez eux (Xperia S ; TV bravia ,home cinéma …)mais j’pense et je continue de penser que la meilleur tablette reste l’ipad quoi que l’on dise (mon avis est plus reserver sur les autres Idevices) mais pour moi l’ipad reste n1 car elle offre presque une experience 0 default (peut etre le prix certain diront mais la la Z est afficher a 500€ ;la ou l’ipad 4 est a 509)

  10. @aliasjim2000
    Pour les MAJ, ne tkt donc pas. Sony, contrairement à Samsung, n’a pas faits des pieds à WP en déclarant se séparer petit à petit d’android, car les dividendes reversé à google son pas du gout de la firme coréenne.

    Pour preuve, l’optimisation de leur surcouche, devenu trop présente sur le S4, cette chose insultante qu’est BADA.

    La firme japonaise à fait une seule incartade, car je ne l ai pas vu dans l’article, la tablette est sous androïd mais des modèles existe pour WP

  11. Du verre à l’arrière d’une tablette, aucun intérêt. Ca glisse dès que c’est posé sur du tissu, ça casse facilement, c’est lourd, côté trace de doigt c’est pas top non plus. Tout sauf une bonne idée.
    Sinon test franchement bâclé, heureusement on trouve bien plus détaillé en cherchant un peu sur le net…

  12. Pour les mise à jours pas de soucis à ce faire je pense, la surcouche est volontairement légère pour les faciliter (en plus du fait qu’android 4.xx se suffit à lui même)

  13. Contrairement a votre article je trouve que le plastique “peau de pêche” est un matériel fantastique. L’idée de mettre du verre me semble complètement inappropriée. Vous n’appuyiez pas, peu sur l’autonomie?

    Par contre mauvais son et écran peu lumineux c’est pour moi un no go… sans parler de la marque qui n est pas un plus

    Par contre tout le monde parle du top des tablettes, notamment de l iPad (que je trouve personnellement bien trop lourd, et impossible à recharger dans un délai raisonnable) ou de la Samsung (design douteux) mais pourquoi personne ne parle de la ASUS TF700 qui est pour moi la meilleure actuellement et donc le seul vrai default est le son trop faible?

  14. “Les angles de visions sont suffisamment larges en dépit d’une dalle TFT”
    Pour rappel, les écrans IPS font partie de la famille des TFT. Et il semblerait, même si Sony a pour le coup mal communiqué, qu’il s’agit effectivement d’un écran IPS (après une rapide recherche sur Google), ce qui expliquerait pourquoi les angles de vision sont si bons (au contraires des dalles TN).
    Pour vous faire une idée des angles de vision, voici un test en japonais :
    http://www.the-hikaku.com/mediatablet/sony/xperia-tablet-z.html

  15. on reste en dessous d’un ipad 4 même un 3 avec un gpu toujours à la ramasse, un conseil ATTENDEZ les futures tablettes S600/S800, cette tablette ne vaut pas plus de 350 dans sa version 16go.

Les commentaires sont fermés.

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