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Test : Saints Row 2

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On prend (presque) le même, et recommence (de la même façon ?), tel semble avoir été la ligne de conduite qui a dirigé le développement de…

On prend (presque) le même, et recommence (de la même façon ?), tel semble avoir été la ligne de conduite qui a dirigé le développement de ce Saints Row 2. Alors, sous-GTA IV, ou véritable alternative confirmée ?

Lorsqu’il a débarqué sur Xbox 360 il y a un peu plus de 2 ans, Saints Row a déboussolé. Déboussolé, parce qu’il réussi à imposer (parfois maladroitement, cela va sans dire) des codes différents de ceux attendus dans un GTA-like. Et ce second volet remet le couvert. A tel point que durant la première heure de jeu, on a plutôt l’impression d’avoir un Saints Row 1.5 entre les mains… Des quartiers à conquérir aux missions annexes, difficile de noter des changements radicaux, même si la ville de Stillwater est désormais un peu plus étendue. Et pourtant, en creusant un peu, on s’aperçoit que non seulement la plupart des défauts du premier volet ont été colmatés et qu’il est toujours aussi difficile de décrocher une fois le pad en main. Le jeu regorge d’un nombre impressionnant de pans à explorer : une fois votre personnage crée (grâce à un éditeur franchement bluffant), vous pourrez aussi bien vous attaquer à la reconstruction et à la personnalisation de votre gang ou à la quête au respect, et passer des heures à fouiller du côté des objectifs secondaires. A titre d’exemple, il faudra toujours veiller à éteindre les conflits qui se réveillent dans les quartiers que vous contrôlez, et refaire quelques missions annexes déjà présentes dans le premier volet. Qu’importe, le tout est toujours aussi jouissif à réaliser !

Le plus étonnant au final, c’est qu’on arrive très facilement à se détacher de la trame principale. Une trame principale au passage toujours aussi fade, se résumant une fois de plus à la mise à mort des gangs adverses à coups de missions finalement assez classiques. Alors certes, ce Saints Row 2 ne paye pas de mine au premier abord, peut sembler largué question technique, et peut être même inspirer de la pitié lorsque l’on se penche sur son scénario insipide et ses répliques toujours aussi borderline (et le respect de la femme, bande de petits salopard ?)

Pour résumer : on s’éclate de A à Z à débouler dans les rues de Stillwater. A contrario d’un GTA IV qui lui se focalisait sur un background rôdé et des à côté très restreints.

Le verdict ?


Que signifie cette pastille ?

Les +

  • Un véritable concentré de fun
  • Le nombre d’à côté impressionnant
  • Une personnalisation très poussée
  • Les –

  • L’I.A. un peu bancale
  • Le moteur graphique date un peu…
  • Scénario à la ramasse
  • On prend (presque) le même, et recommence (de la même façon ?), tel semble avoir été la ligne de conduite qui a dirigé le développement de ce Saints Row 2. Alors, sous-GTA IV, ou véritable alternative confirmée ?

    Lorsqu’il a débarqué sur Xbox 360 il y a un peu plus de 2 ans, Saints Row a déboussolé. Déboussolé, parce qu’il réussi à imposer (parfois maladroitement, cela va sans dire) des codes différents de ceux attendus dans un GTA-like. Et ce second volet remet le couvert. A tel point que durant la première heure de jeu, on a plutôt l’impression d’avoir un Saints Row 1.5 entre les mains… Des quartiers à conquérir aux missions annexes, difficile de noter des changements radicaux, même si la ville de Stillwater est désormais un peu plus étendue. Et pourtant, en creusant un peu, on s’aperçoit que non seulement la plupart des défauts du premier volet ont été colmatés et qu’il est toujours aussi difficile de décrocher une fois le pad en main. Le jeu regorge d’un nombre impressionnant de pans à explorer : une fois votre personnage crée (grâce à un éditeur franchement bluffant), vous pourrez aussi bien vous attaquer à la reconstruction et à la personnalisation de votre gang ou à la quête au respect, et passer des heures à fouiller du côté des objectifs secondaires. A titre d’exemple, il faudra toujours veiller à éteindre les conflits qui se réveillent dans les quartiers que vous contrôlez, et refaire quelques missions annexes déjà présentes dans le premier volet. Qu’importe, le tout est toujours aussi jouissif à réaliser !

    Le plus étonnant au final, c’est qu’on arrive très facilement à se détacher de la trame principale. Une trame principale au passage toujours aussi fade, se résumant une fois de plus à la mise à mort des gangs adverses à coups de missions finalement assez classiques. Alors certes, ce Saints Row 2 ne paye pas de mine au premier abord, peut sembler largué question technique, et peut être même inspirer de la pitié lorsque l’on se penche sur son scénario insipide et ses répliques toujours aussi borderline (et le respect de la femme, bande de petits salopard ?)

    Pour résumer : on s’éclate de A à Z à débouler dans les rues de Stillwater. A contrario d’un GTA IV qui lui se focalisait sur un background rôdé et des à côté très restreints.

    Le verdict ?


    Que signifie cette pastille ?

    Les +

  • Un véritable concentré de fun
  • Le nombre d’à côté impressionnant
  • Une personnalisation très poussée
  • Les –

  • L’I.A. un peu bancale
  • Le moteur graphique date un peu…
  • Scénario à la ramasse
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