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Test Roborock S8 MaxV Ultra, le plus complet et intelligent de l’excellente gamme S8

Le flagship Roborock S8 MaxV Ultra est un robot aspirateur et laveur bardé de technologies.

Au programme de ce nouvel aspirateur robot : base multifonction encore plus complète, aspiration puissante et lavage des sols intelligent en fonction de leur état de saleté. Roborock a soigné le nettoyage des angles et des bordures grâce à une brossette latérale extensible et une mini serpillère rotative qui complète la large serpillère vibrante. De nombreuses automatisations sont également de la partie, en matière de ménage et d’autonettoyage.

Découvrir le Roborock S8 MaxV Ultra

Le S8 MaxV Ultra est une évolution de la série S8 et à ce jour, le modèle le plus haut de gamme du catalogue de Roborock. Comme le Qrevo MaxV plus abordable, il est équipé d’une brossette latérale installée sur un bras motorisé (FlexiArm Design) qui se déploie pour mieux atteindre les coins et les angles. Contrairement à ce dernier, pour laver les sols, il n’est pas équipé de deux patins rotatifs – qui ne nous avaient d’ailleurs pas pleinement convaincus – mais d’une large serpillère vibrante, caractéristique de la série S8. Alors pour améliorer aussi le lavage le long des bordures, Roborock l’a doté d’un mini patin rotatif lavant, placé sur le côté du châssis, pour longer les meubles et les plinthes au plus près.

Le S8 MaxV Ultra est un concurrent direct du Dreame X40 Ultra Complete, avec lequel il a d’ailleurs un certain nombre de technologies en commun (comme la brossette latérale extensible, la capacité à utiliser sa caméra pour repérer des zones sales, à relaver les sols tant qu’ils sont sales, à adapter le lavage de serpillère à leur degré de saleté…). Les fonctions de la base sont également semblables. Ces deux robots sont vendus à un tarif identique mais quand celui de Dreame est fourni avec de nombreux accessoires et consommables (notamment 1 litre de détergent), le S8 MaxV Ultra n’est vendu qu’avec un sac à poussière supplémentaire.

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Une base multifonction agréable à l’œil

Le S8 Pro Ultra était déjà très complet. Le S8 MaxV Ultra évolue encore. C’est notamment le cas de sa base multifonction, qui profite d’améliorations substantielles et bienvenues. Celle-ci est toujours un peu volumineuse ; elle est notamment moins haute mais plus large que celle du Dreame X40, ce qui lui donne un aspect relativement massif. Le design a également été retravaillé. Avec son filet lumineux coloré central (bleu quand rien n’est à signaler et rouge lorsqu’une opération doit être réalisée comme remplir le réservoir par exemple), elle a un aspect moderne qui nous a bien plu. Assortie au robot, la base se décline en blanc et en noir. Notons tout de même que la partie centrale brillante de la version noire a tendance à accrocher les poussières et poils d’animaux, qui y sont alors très visibles. Idem pour le robot (dont le capot assorti associe deux textures, mate et brillante). La base est livrée déjà montée, il faut juste y ajouter la plateforme.

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Les fonctions ont été étoffées et « réorganisées » depuis le S8 Pro Ultra. Le sac à poussière (2,7 L) n’est plus accessible par le dessus mais à l’avant, sous les deux réservoirs d’eau. Ce qui permet à ces deux bacs de gagner en capacité (4 L pour l’eau propre et 3,5 L pour l’eau sale) par rapport à la station du S8 Pro Ultra (respectivement 3,5 L et 2,9 L). Avec leur large ouverture, les réservoirs sont faciles à remplir et on apprécie que la poignée permette de les tenir pendant le remplissage.
À droite du sac à poussière, un réservoir de détergent fait également son apparition. Il assure un mélange automatique de l’eau et du produit de lavage, hélas non fourni. Cette fonction nouvelle est toutefois vraiment appréciable. Ledit réservoir contient 580 ml, ce qui permet selon la marque de tenir trois mois.

Autre nouveauté qui apparaît sur la série S8 (présente sur le Qrevo MaxV) : le lavage automatique des serpillères s’effectue désormais à l’eau chaude à 60°C. L’état de saleté est automatiquement détecté, si bien que la durée de lavage des serpillères et la quantité d’eau utilisée sont ajustées selon les besoins pour que les serpillères restent propres. Si on le souhaite, on peut se contenter de laver les serpillères à température ambiante. Le réglage de la température de l’eau de lavage se modifie dans l’application, il n’est pas automatisé (ce qui le cas sur le Dreame X40). Autre évolution appréciable : la base est désormais autonettoyante et assure un rechargement promis comme 30% plus rapide.

Autonome, rapide et précis

Dès les premiers cycles, on retrouve les qualités de navigation de la série S8. À la première utilisation, le robot crée une cartographie rapide du logement. La carte est vraiment précise et le prédécoupage des pièces réaliste. De plus, grâce à sa capacité à reconnaître des objets, le S8 MaxV Ultra identifie un certain nombre d’éléments de mobilier (table, chaises, fauteuil, meuble TV…), ce qui lui permet de prénommer certaines pièces. Par la suite, on peut naturellement peaufiner la carte en découpant ou en fusionnant les pièces puis en les nommant. De la même manière, il a quasiment reconnu sans faute le type de sol dans chaque pièce de la maison (excepté dans notre salle de bains).

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Le système de navigation (LiDAR PreciSense) crée non seulement des cartes détaillées mais détermine également le parcours le plus pertinent pour assurer un nettoyage à la fois efficace et rapide. On voit en effet que le robot repère les obstacles de loin puis ajuste ses déplacements. Il est aussi capable de reconnaître 73 types d’objets (Reactive AI 2.0). Pour cela, il utilise une lumière structurée 3D et une caméra RGB. On peut d’ailleurs noter qu’il se déplace aussi aisément dans les pièces éclairées que dans celles plongées dans l’obscurité.

Comme ses prédécesseurs de la série S8, le S8 MaxV Ultra impressionne par sa capacité à évoluer dans un environnement domestique rapidement, sans ralentir, sans hésiter et en déjouant la majorité des pièges. Il nettoie méticuleusement le contour des objets comme les pieds de table et de chaises. Dans l’application, on a la possibilité de gérer la « sensibilité » du robot, soit pour qu’il touche les meubles le moins possible et garde ses distances ou bien au contraire qu’il touche les coins des meubles mais veille à les nettoyer plus soigneusement. Même en mode standard, le contour des objets est nettoyé méticuleusement.

Le S8 MaxV Ultra anticipe très bien la présence d’obstacles qui ne figurent pas sur la cartographie, comme un pèse-personne qui n’a pas été rangé, des chaussures laissées dans l’entrée, des vêtements ou tissus ou même les petits jouets de nos chats éparpillés au milieu du séjour. Globalement, le robot reconnaît plutôt bien la plupart des obstacles, malgré quelques ratés. En effet, l’identification n’est pas sans faille (par exemple, il confond nos tongues avec des câbles, une erreur qu’a également faite son concurrent direct X40). Nous avons aussi noté quelques bizarreries sans conséquence, par exemple des objets identifiés (comme notre pèse-personne) mais une mauvaise traduction (« échelle »). Qu’il les reconnaisse ou pas, le S8 MaxV Ultra voit les objets et se débrouille très bien pour les éviter, même lorsqu’ils ne figurent pas sur sa carte.

Il peut lui arriver de ralentir un peu pour éviter les incidents, mais il contourne ces obstacles en s’en approchant de très près (plus près que son concurrent). Notre seul regret : il lui arrive de ne pas voir du tout certains câbles. C’est le cas de notre câble couleur taupe, peu visible sur le parquet gris et qui pose problème à de nombreux robots, mais pas seulement. À plusieurs reprises, le S8 MaxV Ultra n’a pas du tout vu des câbles pourtant bien visibles et n’a même pas posé de « balise » indiquant la présence d’un obstacle sur sa carte. Il nous semble que le S8 Pro Ultra les repérait avec plus de réussite. Attention donc à ranger les fils ou à placer des zones d’interdiction, d’autant que quand il s’y accroche, il poursuit sa route sans les lâcher, quitte à faire tomber un objet et à le traîner derrière lui. Hormis cette gestion décevante des fils, ce dernier-né est très débrouillard, intelligent et autonome.

Lavage efficace, détection intelligente

Le S8 MaxV Ultra est pourvu d’une serpillère utilisant un double module vibrant (VibraRise 3.0). Celle-ci est complétée par une mini serpillère rotative (qui tourne à une vitesse de 185 tours/min) placée sur le côté du châssis, pour atteindre les bordures.

D’abord, la mini serpillère longe très bien les bords de meubles ou de plinthes, laissant à peine quelques millimètres non lavés, ce qui est donc invisible à l’œil nu. Elle fait un très bon travail également lorsque le robot contourne des objets, par exemple des pieds de meubles ou de chaises car elle les colle de près. Seuls les coins lui échappent puisqu’elle est placée sur le côté du châssis. Elle n’atteint pas non plus le dessous des meubles bas ou le dessous des portes (contrairement au patin du Dreame X40 grâce aux petites rotations du robot sur lui-même).

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Elle complète à merveille la large serpillère vibrante, très efficace. Les trajectoires du robot se chevauchent parfaitement, ne laissant aucune zone mal lavée ou lavée plus succinctement. Le nettoyage est homogène et ne laisse pas de traces sur les sols, même à l’eau pure.

En outre, le S8 MaxV Ultra a gagné en intelligence puisqu’il est capable de reconnaître les zones les plus sales. En fin de cycle, dans l’historique de nettoyage, il fournit une carte des zones sales (zones ou pièces entières). Dans l’application, on peut programmer le robot pour qu’il relave ces zones automatiquement et cela fonctionne plutôt bien. Même lorsque le sol est maculé de traces tenaces, il les rend impeccables.

Autre évolution non négligeable : grâce à sa caméra, le S8 MaxV Ultra effectue un « nettoyage adaptatif ». S’il repère des taches humides comme du café ou de la sauce qui a été renversée, il surélève ses brosses (brosses centrales et brossette latérale) pour les nettoyer seulement avec sa serpillère. Nous avons évidemment fait le test qui s’est avéré très concluant. Comme promis, il soulève ses deux modules et cesse d’aspirer. Il passe alors la serpillère jusqu’à élimination totale de la trace puis rejoint sa station pour un autonettoyage avant de poursuivre sa mission. On peut juste être éventuellement un peu déçu que du fait de sa forme, la brossette latérale, qui continue à tourner, trempe dans la saleté même si le module qui la supporte est relevé.

Aspiration puissante, efficace sur toutes les surfaces

Ce nouveau modèle atteint une puissance d’aspiration de 10 000 Pa, soutenue par une double brosse centrale (DuoRoller Riser), deux rouleaux crantés en caoutchouc qui tournent dans des sens opposés. Quant à la brossette latérale, elle est fixée sur un bras motorisé qui s’étend dans les angles. Cette fonction nous semble bien mieux exploitée que sur le Qrevo. Elle ne s’étend pas systématiquement, notamment le long des bordures, mais le robot tourne un peu sur lui-même de manière à ce que la brossette se positionne face aux bords ou à certains recoins. Dommage qu’elle ne se déploie pas aussi lorsque le S8 longe des portes, pour nettoyer dessous.

Les serpillères et les brosses s’adaptent intelligemment aux surfaces nettoyées et cela fonctionne parfaitement. Quand l’appareil monte sur un tapis, la mini serpillère et le module serpillère se surélèvent (de 20 mm). C’est également le cas en aspiration seule. Si nécessaire, pour éviter de mouiller des tapis épais, dans l’application, on peut choisir de prioriser leur aspiration, si jamais cette élévation n’était pas suffisante. En lavage seul, c’est la brosse centrale et la brossette latérale qui se soulèvent. Et lors du retour à la station, tous les éléments sont relevés.

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Sur les sols durs, le S8 MaxV Ultra aspire efficacement tout type de saletés (poussière, cheveux, poils d’animaux…). Il n’a pas non plus de difficulté à récolter des déchets plus épais comme de la litière minérale pour chat, qu’il n’envoie pas voltiger partout. Il peine un peu plus à aspirer du sable fin dans les joints de carrelage, ce qu’on peut résoudre en programmant un double passage. L’appareil est supposé repérer la saleté en mode aspiration comme il le fait en lavage mais cela ne fonctionne pas systématiquement.

Dans tous les cas, si les sols sont vraiment sales, mieux vaut enchaîner un cycle d’aspiration suivi du passage de la serpillère plutôt qu’un cycle combiné ; c’est toujours plus efficace. Sur les tapis et moquettes, qu’il reconnaît parfaitement, en plus de soulever ses serpillères, le S8 MaxV Ultra active immédiatement le mode boost. En supplément, un mode nettoyage des tapis en profondeur peut aussi être activé dans l’appli. À l’issue du cycle, le tapis jonché de matières de tests est quasiment impeccable.

Une application complète et intuitive

L’application Roborock est extrêmement complète et permet de régler à peu près tous les paramètres pour assurer un nettoyage à la carte, qu’on le lance ponctuellement ou qu’on le programme. Elle donne aussi la possibilité d’aller très loin dans la personnalisation de la cartographie (pièces, meubles, types de sols, sens des lames de parquet ou du carrelage…). Elle est extrêmement riche et rien ne semble y manquer. Les informations sont globalement organisées de manière assez intuitive. On apprécie aussi d’être guidé dès la première connexion, notamment de pouvoir fournir quelques informations utiles pour paramétrer l’appli : présence d’animaux, de moquettes et de plusieurs étages.

On peut autoriser l’appareil à prendre des photos (des obstacles et également des animaux de compagnie). Si on donne cet accord, lorsque des obstacles ont été repérés, le robot appose des pastilles sur la carte et on peut consulter les photos. Cela permet de vérifier si l’identification est exacte, quels objets pourraient poser problème, de placer des zones d’interdiction si nécessaire et aussi d’aider le robot à progresser en lui intimant d’ignorer certains obstacles. Dommage que l’accès aux photos ne soit disponible qu’à la fin du cycle, quand le robot affiche la carte et son parcours. On ne peut pas y accéder depuis l’historique de nettoyage où on ne voit que les pastilles.

Nous avons relevé la même étrangeté que lors du test du Qrevo : la fonction aspirer puis laver n’est pas groupée avec les autres, en page d’accueil, mais dans l’onglet « usage » qui correspond en quelque sorte à des raccourcis. Si on n’a pas bien en tête les fonctions disponibles, on peut la rater. Sinon, un mode SmartPlan permet de tout déléguer au robot pour le laisser nettoyer le domicile de la manière qu’il estime optimale, en tenant compte des préférences de nettoyage. On y accède depuis la page d’accueil : il est disponible aux côtés des fonctions laver, aspirer, laver et aspirer. Dans ce mode, on peut lui confier tout le logement ou seulement une partie. En l’utilisant pour nettoyer tout notre appartement, nous avons constaté que le robot empruntait un trajet différent. La durée de nettoyage s’est révélée assez proche. Quant au résultat, nous n’avons pas constaté de différence, signe qu’on peut lui faire confiance.

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Lors de notre test du Qrevo, nous avions également fait connaissance avec l’assistant vocal maison Hello Rocky, auquel nous avions reproché de se déclencher souvent sans qu’on l’ait sonné. Nous n’avons pas eu à le déplorer cette fois. En revanche, il faut toujours respecter des formulations précises, qui restent limitées (par exemple, on ne peut pas lui demander de seulement aspirer ou de seulement laver une pièce précise).

Comme le Qrevo, ce nouveau S8 permet de passer des appels vidéo avec l’audio bidirectionnel, en utilisant sa caméra et son microphone intégré. En plus de pouvoir diriger le robot depuis l’application pour voir ce qui se passe à la maison, on dispose de fonctions « épingler et y aller » pour l’envoyer dans une pièce précise ou « patrouille ». Roborock ayant naturellement pensé aux propriétaires d’animaux domestiques qui pourraient avoir envie de surveiller leur boule de poils à distance, la marque a ajouté une fonction « appuyer pour rechercher votre animal ». Via une future mise à jour, notez que le S8 MaxV Ultra sera également compatible avec Matter.

Un entretien optimisé grâce à la base multifonction

Rappelons une nouvelle fois que la station multifonction ne dispense pas totalement des gestes d’entretien (nettoyage du filtre, des capteurs, des brosses…) mais elle permet de les réaliser beaucoup moins fréquemment. D’autant plus avec les évolutions dont elle bénéficie. Le lavage de la serpillère a bien évolué – ou plutôt des serpillères. La lingette principale est frottée à l’aide d’une large brosse installée dans la station, tandis que la petite serpillère est nettoyée grâce à un petit support rond dédié sur lequel elle tourne. Non seulement, les serpillères sont désormais lavées à l’eau chaude, mais surtout, on peut opter pour leur lavage intelligent, ajusté en fonction de leur état (durée et quantité d’eau). C’est très efficace puisque même après nos tests intensifs, elles restent impeccables.

Si la petite serpillère demeure immaculée, on remarque tout de même qu’elle semble un peu fragile et pourrait se « fatiguer » un peu vite. Après plusieurs heures de nettoyage, elle s’est rapidement déformée sur les côtés. À l’issue de leur lavage, les serpillères sont séchées (fonction déjà présente sur le S8 Pro Ultra), sachant que la durée du séchage peut être modifiée dans l’application (de 2 à 4 h).

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Jusqu’à présent, il restait également à nettoyer le fond de la base. Elle est désormais autonettoyante et c’est plutôt efficace. De temps en temps, il faudra tout de même retirer le filtre au fond à droite pour nettoyer dessous. Quant à la brosse (qui frotte la serpillère), elle se retire simplement en ouvrant un loquet mais il y a peu d’entretien à prévoir. Idem pour le bac de nettoyage de la mini serpillère, qui se salit très peu.

La station et le robot ont tendance à beaucoup attirer la poussière, qui est très visible sur la version noire. Il faut nettoyer souvent les capteurs et même avec un chiffon antistatique, il est difficile de tout éliminer (c’est visible sur les photos que nous avons réalisées). La double brosse principale est prévue pour limiter les enchevêtrements. Nous confirmons qu’à l’issue de nos tests, elle a agrippé très peu de poils d’animaux et de cheveux. La brossette latérale, elle, est vissée. Mais là encore, peu de cheveux ou poils s’y sont emmêlés. Le robot dispose enfin d’un onglet entretien qui évalue la durée d’utilisation de chaque élément avant nettoyage ou changement.

Prix et disponiblité

Proposé à 1499€, le Roborock S8 MaxV Ultra profite de nouvelles fonctions intéressantes, depuis le lavage intelligent des serpillères, en passant par le mélange automatique de détergent jusqu’à l’autonettoyage. Plus d’intelligence au service d’une aspiration plus puissante, d’une brossette qui atteint enfin les coins et d’un meilleur lavage des bordures.

Découvrir le Roborock S8 MaxV Ultra

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Notre avis

Avec la gamme S8, nous avons toujours apprécié la souplesse offerte par l’application, à savoir qu’il est possible d’aller loin dans la personnalisation. Mais à la fois, si on ne le souhaite pas, on peut se contenter de laisser faire le robot. Grâce aux automatisations intelligentes dont ce nouveau S8 MaxV Ultra bénéficie, c’est encore plus le cas (mode SmartPlan, détection intelligente de saleté…). D’autant que même s’il n’identifie pas toujours les objets, il les voit et peut parfaitement se débrouiller dans n’importe quel logement, à condition de laisser les câbles hors de sa portée.
Note : 9  /  10
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