Rhythm Paradise, le fantastique jeu de rythme des créateurs de Wario Touch, est enfin disponible dans les crémeries Françaises. Voici donc une excellente occasion pour revenir sur ce hit afin de compléter le test que nous vous avions proposé à partir de la version japonaise. Quoi ? Vous ne l’aviez pas lu ? Allez donc y jeter un œil avant de lire la suite.
Le jeu ne change heureusement pas d’un iota par rapport à la version Japonaise, même si les plus assidus d’entre vous auront remarqué que cette adaptation occidentale s’accompagne d’un léger changement de titre. En effet, initialement dénommé Rhythm Heaven, le jeu nous est proposé sous le titre Rhythm Paradise, certainement plus parlant pour les joueurs non anglophones (quoi que…) On retrouve ainsi les mêmes mini-jeux rythmiques aux musiques obsédantes et au gameplay ultrasimpliste mais pouvant s’avérer particulièrement démoniaque. En effet, il vous suffit d’avoir le stylet en main, un semblant de rythme dans la peau et vous voilà en train de tapoter des heures sur votre écran tactile afin de faire chanter des grenouilles (entre autre…) En somme, de quoi vous faire passer pour un dingue dans le métro. De plus, cette version européenne est un modèle de localisation. Le jeu est, Nintendo oblige, entièrement traduit en français, des textes (plutôt nombreux dans les menus) aux chansons de certaines épreuves. Effort trop rare pour ne pas être salué (d’un coté vous me direz qu’ils ont largement eut le temps compte tenu du délai de quasi un an entre les sorties japonaise et occidentale).
Voilà donc l’occasion de mieux comprendre certains menus de jeu essentiels que nous avions laissé de côté dans la version Japonaise. Ainsi entre chaque épreuve, il est possible d’aller faire un tour dans un café bien sympathique dans lequel un barman bavard, en plus de vous raconter sa vie et vous donner des conseils, vous permettra, après un certain nombre d’essais infructueux, de sauter des épreuves trop difficiles. Réussir avec brio les minis jeux du mode principale, voir même faire des sans faute, permet de gagner des médailles qui offrent la possibilité de débloquer des dizaines d’autres épreuves toutes aussi délirantes (ça vous dit de lancer des cartes de visites en rythme ?) mais aussi les musiques obsédantes du jeu. Mais voilà, le deuxième effet Kiss Cool de la traduction intégrale risque de provoquer une certaine déception chez ceux ayant touché à la version originale. En effet, les chansons de certaines épreuves s’avèrent d’une niaiserie affligeante en français. Là où le japonais les rendait “kawaï”, le français les rend ridicules…Mais il serait vraiment de mauvais goût d’en tenir rigueur à Nintendo face au travail global de localisation effectué.
Loin d’un Wario Touch ou d’un Lapins Crétins, Rhythm Paradise s’avère difficile et nécessite un bon sens du rythme. Il satisfera cependant autant les casual gamers avec son côté accessible et décalé que les joueurs avertis à la recherche du score parfait. La localisation excellente du titre du titre est à saluer, même si le côté très naïf des paroles de certaines chansons pourra parfois déstabiliser. On aurait plutôt préféré ne rien comprendre avec les voix originales en Japonais. Mais devant cet effort trop rare de nos jours, ne soyons pas trop tatillons. En conclusion, nous voici encore face à un véritable hit sur DS qu’il ne faut absolument pas laisser passer.
Le verdict ?
Les +
Les –
Le jeu ne change heureusement pas d’un iota par rapport à la version Japonaise, même si les plus assidus d’entre vous auront remarqué que cette adaptation occidentale s’accompagne d’un léger changement de titre. En effet, initialement dénommé Rhythm Heaven, le jeu nous est proposé sous le titre Rhythm Paradise, certainement plus parlant pour les joueurs non anglophones (quoi que…) On retrouve ainsi les mêmes mini-jeux rythmiques aux musiques obsédantes et au gameplay ultrasimpliste mais pouvant s’avérer particulièrement démoniaque. En effet, il vous suffit d’avoir le stylet en main, un semblant de rythme dans la peau et vous voilà en train de tapoter des heures sur votre écran tactile afin de faire chanter des grenouilles (entre autre…) En somme, de quoi vous faire passer pour un dingue dans le métro. De plus, cette version européenne est un modèle de localisation. Le jeu est, Nintendo oblige, entièrement traduit en français, des textes (plutôt nombreux dans les menus) aux chansons de certaines épreuves. Effort trop rare pour ne pas être salué (d’un coté vous me direz qu’ils ont largement eut le temps compte tenu du délai de quasi un an entre les sorties japonaise et occidentale).
Voilà donc l’occasion de mieux comprendre certains menus de jeu essentiels que nous avions laissé de côté dans la version Japonaise. Ainsi entre chaque épreuve, il est possible d’aller faire un tour dans un café bien sympathique dans lequel un barman bavard, en plus de vous raconter sa vie et vous donner des conseils, vous permettra, après un certain nombre d’essais infructueux, de sauter des épreuves trop difficiles. Réussir avec brio les minis jeux du mode principale, voir même faire des sans faute, permet de gagner des médailles qui offrent la possibilité de débloquer des dizaines d’autres épreuves toutes aussi délirantes (ça vous dit de lancer des cartes de visites en rythme ?) mais aussi les musiques obsédantes du jeu. Mais voilà, le deuxième effet Kiss Cool de la traduction intégrale risque de provoquer une certaine déception chez ceux ayant touché à la version originale. En effet, les chansons de certaines épreuves s’avèrent d’une niaiserie affligeante en français. Là où le japonais les rendait “kawaï”, le français les rend ridicules…Mais il serait vraiment de mauvais goût d’en tenir rigueur à Nintendo face au travail global de localisation effectué.
Loin d’un Wario Touch ou d’un Lapins Crétins, Rhythm Paradise s’avère difficile et nécessite un bon sens du rythme. Il satisfera cependant autant les casual gamers avec son côté accessible et décalé que les joueurs avertis à la recherche du score parfait. La localisation excellente du titre du titre est à saluer, même si le côté très naïf des paroles de certaines chansons pourra parfois déstabiliser. On aurait plutôt préféré ne rien comprendre avec les voix originales en Japonais. Mais devant cet effort trop rare de nos jours, ne soyons pas trop tatillons. En conclusion, nous voici encore face à un véritable hit sur DS qu’il ne faut absolument pas laisser passer.
Le verdict ?
Les +
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