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Test : Prey (Xbox360)

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La première fois que j’ai entendu parler de Prey, cela devait être en 1995 ou dans cette zone là  et à  l’époque, j’avais trouvé une vidéo…

La première fois que j’ai entendu parler de Prey, cela devait être en 1995 ou dans cette zone là  et à  l’époque, j’avais trouvé une vidéo qui montrait ce qu’on allait avoir aujourd’hui et il faut avouer que c’était bluffant. Mais comme tous les jeux de 3D Realms depuis cette époque, ils se sont tellement fait attendre qu’on a fini par les oublier (cf Duke Nukem ForNever !). Heureusement que les gars de Human Head Studios ont finalement décidé de s’y mettre en réutilisant le moteur de Doom 3 pour une présentation lors de l’E3 2005 et là , il a fallu avouer que l’équipe s’en était très très bien sorti si bien d’ailleurs, qu’on l’attendait avec une certaine impatience.

Pour l’histoire, vous incarnez Tommy, un Cherokee qui en a un peu marre de sa vie et qui a envie de découvrir le monde. La seule chose ou la plutà´t la seule personne qui le retient, c’est la jeune et jolie Jen, qui, à  son grand désarroi, n’aspire pas spécialement à  quitter la réserve o๠ils se trouvent. Alors qu’un soir, il avait décidé d’essayer de la convaincre encore une fois, sa vie allait être chamboulée du tout au tout. En effet, c’est à  ce moment que les Aliens ont décidé de venir faire mumuse sur la planète Terre et d’enlever tout ce qu’ils verront. Evidemment, Tommy va se faire enlever et comme par hasard, il sera plus chanceux que les autres et parviendra à  s’échapper, mais ne pouvant laisser Jen à  son triste sort, il va essayer de lui porter secours et découvrir petit à  petit qu’il possède des qualités de combattants. Comme quoi, l’amour rend fort !

Bon, c’est clair, il y a eu plus originale comme histoire mais bon, c’est un FPS avant tout alors tout est bon prétexte pour charcuter de l’Alien. L’action se déroulera principalement dans le vaisseau alien en orbite autour de la Terre. Ces aliens ont pris pour habitude de se nourrir d’êtres vivants et il va vous falloir faire votre chemin pour éviter de sauver une planète vide. Mélange de technologie et d’organique, l’environnement n’est pas des plus accueillants et c’est limite glauque et malsain.

Basé sur le moteur de Doom 3, la principale nouveauté est le fait que l’environnement dans lequel on évolue proposera de changer le sens de la gravité, si bien qu’on va se trouver la tête en bas dans bien des situations et que les plus sensibles risqueront d’aller faire un tour rapide dans les toilettes. Mais une fois habitué, il est vrai que c’est très plaisant, cela permet de vous fournir des chemins plus abracadabrants que jamais. A cà´té, vous pourrez aussi quitter votre enveloppe charnelle pour voyager dans le monde de l’esprit afin d’attaquer sournoisement vos adversaires, activer des portails inaccessibles à  un corps physique, etc …

Mais là  o๠le bà¢t blesse, c’est qu’avec toute cette imagination, les développeurs ne sont pas allés plus loin, le jeu est d’une linéarité exemplaire, les armes d’un classique et surtout on est quasi immortel. Oui, quand vous mourrez, vous rejoignez le monde des esprits et de là , vous pourrez vous régénérez grà¢ce aux esprits perdus et qui vous ranimeront là  o๠vous avez laissé vos adversaires. A cà´té, le mode multijoueurs auraient dû proposer une expérience très fun, mais ce ne fut pas le cas, on retrouve le strict minimum avec les modes classiques mais avec le coup de l’apesanteur, il faut avouer que c’est assez injouable et les problèmes des serveurs n’arrangent rien, on se retrouve souvent à  deux dans un niveau d’une immensité sans égale. A éviter parce que vite lassant !

Graphismes : Le moteur de Doom 3 fait toujours effet et c’est beau dans l’ensemble, surtout au niveau des monstres. Dommage par contre que les humains n’aient pas été mieux modélisés, peut-être parce que ce ne sont pas des monstres 😛

Animation : Une animation sans faille, on change de sens, à§a se renverse et le tout sans problème.

Jouabilité : La jouabilité est des plus classiques dans un FPS.

Durée de vie : L’histoire, même si linéaire, est très accrochante, on a envie d’aller sauver Jen, et comme tout se déroule comme dans un film, on continue. Par l’aventure solo se terminera assez rapidement à  cause de votre immortalité, et malheureusement, le mode multijoueurs ne rallongera pas spécialement la durée de vie.

Son : L’ambiance sonore contribue énormément à  l’ambiance général, les musiques sont diverses et variées, j’aurais par aimé des sons d’armes plus percutantes.

Conclusion : Prey a tout pour plaire, et c’est dommage que certains aspect viennent ternir le jeu faisant de Prey un bon FPS mais pas inoubliable. Le mode solo m’a scotché malgré sa linéarité. Voilà , si vous voulez passer un bon moment, Prey sera votre.

Note : 7/10

La première fois que j’ai entendu parler de Prey, cela devait être en 1995 ou dans cette zone là  et à  l’époque, j’avais trouvé une vidéo qui montrait ce qu’on allait avoir aujourd’hui et il faut avouer que c’était bluffant. Mais comme tous les jeux de 3D Realms depuis cette époque, ils se sont tellement fait attendre qu’on a fini par les oublier (cf Duke Nukem ForNever !). Heureusement que les gars de Human Head Studios ont finalement décidé de s’y mettre en réutilisant le moteur de Doom 3 pour une présentation lors de l’E3 2005 et là , il a fallu avouer que l’équipe s’en était très très bien sorti si bien d’ailleurs, qu’on l’attendait avec une certaine impatience.

Pour l’histoire, vous incarnez Tommy, un Cherokee qui en a un peu marre de sa vie et qui a envie de découvrir le monde. La seule chose ou la plutà´t la seule personne qui le retient, c’est la jeune et jolie Jen, qui, à  son grand désarroi, n’aspire pas spécialement à  quitter la réserve o๠ils se trouvent. Alors qu’un soir, il avait décidé d’essayer de la convaincre encore une fois, sa vie allait être chamboulée du tout au tout. En effet, c’est à  ce moment que les Aliens ont décidé de venir faire mumuse sur la planète Terre et d’enlever tout ce qu’ils verront. Evidemment, Tommy va se faire enlever et comme par hasard, il sera plus chanceux que les autres et parviendra à  s’échapper, mais ne pouvant laisser Jen à  son triste sort, il va essayer de lui porter secours et découvrir petit à  petit qu’il possède des qualités de combattants. Comme quoi, l’amour rend fort !

Bon, c’est clair, il y a eu plus originale comme histoire mais bon, c’est un FPS avant tout alors tout est bon prétexte pour charcuter de l’Alien. L’action se déroulera principalement dans le vaisseau alien en orbite autour de la Terre. Ces aliens ont pris pour habitude de se nourrir d’êtres vivants et il va vous falloir faire votre chemin pour éviter de sauver une planète vide. Mélange de technologie et d’organique, l’environnement n’est pas des plus accueillants et c’est limite glauque et malsain.

Basé sur le moteur de Doom 3, la principale nouveauté est le fait que l’environnement dans lequel on évolue proposera de changer le sens de la gravité, si bien qu’on va se trouver la tête en bas dans bien des situations et que les plus sensibles risqueront d’aller faire un tour rapide dans les toilettes. Mais une fois habitué, il est vrai que c’est très plaisant, cela permet de vous fournir des chemins plus abracadabrants que jamais. A cà´té, vous pourrez aussi quitter votre enveloppe charnelle pour voyager dans le monde de l’esprit afin d’attaquer sournoisement vos adversaires, activer des portails inaccessibles à  un corps physique, etc …

Mais là  o๠le bà¢t blesse, c’est qu’avec toute cette imagination, les développeurs ne sont pas allés plus loin, le jeu est d’une linéarité exemplaire, les armes d’un classique et surtout on est quasi immortel. Oui, quand vous mourrez, vous rejoignez le monde des esprits et de là , vous pourrez vous régénérez grà¢ce aux esprits perdus et qui vous ranimeront là  o๠vous avez laissé vos adversaires. A cà´té, le mode multijoueurs auraient dû proposer une expérience très fun, mais ce ne fut pas le cas, on retrouve le strict minimum avec les modes classiques mais avec le coup de l’apesanteur, il faut avouer que c’est assez injouable et les problèmes des serveurs n’arrangent rien, on se retrouve souvent à  deux dans un niveau d’une immensité sans égale. A éviter parce que vite lassant !

Graphismes : Le moteur de Doom 3 fait toujours effet et c’est beau dans l’ensemble, surtout au niveau des monstres. Dommage par contre que les humains n’aient pas été mieux modélisés, peut-être parce que ce ne sont pas des monstres 😛

Animation : Une animation sans faille, on change de sens, à§a se renverse et le tout sans problème.

Jouabilité : La jouabilité est des plus classiques dans un FPS.

Durée de vie : L’histoire, même si linéaire, est très accrochante, on a envie d’aller sauver Jen, et comme tout se déroule comme dans un film, on continue. Par l’aventure solo se terminera assez rapidement à  cause de votre immortalité, et malheureusement, le mode multijoueurs ne rallongera pas spécialement la durée de vie.

Son : L’ambiance sonore contribue énormément à  l’ambiance général, les musiques sont diverses et variées, j’aurais par aimé des sons d’armes plus percutantes.

Conclusion : Prey a tout pour plaire, et c’est dommage que certains aspect viennent ternir le jeu faisant de Prey un bon FPS mais pas inoubliable. Le mode solo m’a scotché malgré sa linéarité. Voilà , si vous voulez passer un bon moment, Prey sera votre.

Note : 7/10

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