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Test : Parrot MiniDrones

Après un superbe, mais onéreux AR Drone 2.0, Parrot revient dans le département jouet. Un marché qui avait été un peu délaissé ces derniers temps pour…

Après un superbe, mais onéreux AR Drone 2.0, Parrot revient dans le département jouet. Un marché qui avait été un peu délaissé ces derniers temps pour se concentrer sur le matériel hi-fi, mais la marque française n’a pas oublié qu’elle savait faire des gadgets.

Pour son retour, elle fait d’une pierre, deux coups avec deux nouveaux gadgets à piloter avec son smartphone, le Rolling Spider et le Jumping Sumo. Comme son nom ne l’indique pas, le Rolling Spider est un quadricopter que l’on pourrait résumé en une version mini de l’AR Drone, avec une différence de taille. Comme son nom l’indique à moitié, le Jumping Sumo sera capable d’effectuer des bonds, mais pas de voler.

Que valent ces petites machines sur le terrain ? Réponse dans ce test.

DSC04735

Rolling Spider

Parrot n’a jamais vraiment proposé de produit d’entrée de gamme, et ce n’est pas avec le Rolling Spider qu’on dira le contraire. Si l’objet est plus abordable, on sent que Parrot n’a pas particulièrement voulu créer un quadricopter à peu de frais. Cela se remarque notamment à l’assemblage et aux finitions irréprochables de la petite machine, le plastique utilisé aurait pu être meilleur, mais Parrot s’est sans doute retrouvé face à des contraintes de poids, ce qui explique une coque assez fine, pour arriver à proposer un objet de 55 grammes.

La chose n’en reste pas moins solide et c’est un point primordial sur ce genre d’appareil qui sera amené, quoi qu’il advienne, à subir des chocs. Parrot a prévu le coup avec, d’une part un arrêt automatique en cas de contact au niveau des pâles, et d’autre part avec des moteurs plus larges que sur d’autres gadgets du même genre, mais meilleur marché. Il n’y a pas de secret. La seconde couche de protection est quant à elle un réel élément différenciant, qui vaut son “Rolling” au Spider. Il s’agit de roues amovibles – d’un diamètre supérieur au jouet – elles vont permettre de le protéger, mais aussi de le faire rouler sur les murs et au plafond. Cela donne un petit côté insecte assez sympathique à la chose.

DSC04729

Sans surprise, et on sent là l’expertise de Parrot, la bête est admirablement stable et se comporte parfaitement bien dans les airs. Elle se stabilise grâce à un jeu de capteurs ainsi qu’une caméra VGA (qui ne permettra pas de filmer) ce qui lui permet de rester en vol stationnaire, et de corriger sa position, même lorsque le vent souffle, et de rester à une bonne distance du sol. Le contrôle se fait via l’application FreeFlight de Parrot – qui passe en version 3.0 pour l’occasion – disponible sur iOS Android, et bientôt Windows Phone. L’appairage se fait via Bluetooth, il suffit de l’activer et de lancer l’application pour que tout se connecte, c’est plutôt pratique.

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L’application est d’ailleurs assez bien faite, outre les classiques contrôles de hauteur et de direction (via deux sticks virtuels), on trouve des boutons permettant de réaliser des animations, comme un looping par exemple, ainsi que deux autres pour le décollage/l’atterrissage et l’atterrissage d’urgence. Il est également possible de régler plusieurs paramètres tels que la hauteur ou la vitesse maximale, qui pourra atteindre 18 km/h, oui ça va vite. L’autonomie annoncée est de 8 ou 6 minutes si les roues sont attachées ou non. Cela se vérifie à peu près en pratique. Les sessions de vol seront courtes, et celles de recharge seront longues puisqu’il faudra environ une heure, via la prise USB de votre ordinateur, avant de recommencer à faire joujou.

C’est dommage, car cela vient un peu plomber le plaisir que l’on prend avec le Rolling Spider. Si vous souhaitez investir dans un quadricopter, il n’en reste pas moins l’un des meilleurs rapports robustesse/prix/qualité du marché, même à 99 euros. À ce prix, en revanche, on conseillera quand même de commencer à l’utiliser en extérieur pour éviter les accidents, l’objet est robuste, mais pas incassable.

Jumping Sumo

Si le Rolling Spider est un jouet abouti, il n’est pas fondamentalement nouveau, le Jumping Sumo en revanche est particulièrement novateur, à notre connaissance il n’existe pas d’équivalent. Comme nous le disions en introduction, ce dernier à la particularité de pouvoir sauter grâce à un ressort situé dans son dos. Fort de cette capacité, Parrot a encore plus misé sur la robustesse, avec une qualité de plastique visiblement supérieure à celle de son compère. Sauf à lui faire faire une chute de plusieurs mètres, on voit mal comment on pourrait abîmer ce Jumping Sumo, un nouveau bon point pour Parrot, d’autant plus qu’encore une fois l’assemblage est irréprochable.

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C’est toujours grâce à FreeFlight que l’on contrôle le jouet, mais cette fois en WiFi. Il faudra connecter son smartphone au réseau émis par le véhicule, et comme pour le Rolling Spider, lancer FreeFlight suffira à effectuer l’appairage. L’avantage du WiFi est une plus longue portée (50 mètres annoncés avec le champ libre), mais aussi de meilleurs débits. C’est nécessaire pour récupérer les images prises par la petite caméra (640 x 480, 15 ips) située à l’avant du véhicule. Elle pourra réaliser des petits films si l’on adjoint une clé micro-USB au véhicule, ou permettra de jouer avec l’objet sans l’avoir directement dans son champ de vision. Les apprentis voyeurs pourront s’amuser, même si compte tenu du bruit émis par l’objet, on repassera pour la discrétion.

DSC04724

À propos de contrôle, n’ayez crainte, la prise en main est quasi immédiate. Les virages à droite ou à gauche se font en balançant le smartphone, classique. Mieux encore, des boutons sont prévus pour effectuer des demi ou des quarts de tour, il devient ainsi très simple de passer par une porte pas exemple. Le bond se fait également grâce à un bouton, avec deux sauts possibles en longueur ou en hauteur sur environ 80 cm. Cela suffit pour passer quelques marches ou monter sur une table basse.

À l’instar du Rolling Spider, diverses animations sont prévues, comme la toupie du Vine ci-dessus. Elles s’accompagnent en plus de multiples bruitages. Ces derniers humanisent le Rolling Spider et on a presque l’impression d’avoir son petit Wall-E dans le salon. Ce côté attachant est un plus indéniable que l’on pourra renforcer en posant de petits autocollants livrés dans la boite. Cloué au sol, le Rolling Spider dispose d’une autonomie plus longue que celle du Rolling Spider, vous aurez donc droit à 10-15 minutes de bonheur.

Si les deux gadgets smartphonocommandés de Parrot sont des réussites, notre préférence va au Jumping Sumo. Il est certes plus onéreux, 159 euros, mais nous le conseillons à tous les amateurs de gadgets. Encore une fois, Parrot nous prouve ici sa faculté à faire des gadgets de grande qualité.

Après un superbe, mais onéreux AR Drone 2.0, Parrot revient dans le département jouet. Un marché qui avait été un peu délaissé ces derniers temps pour se concentrer sur le matériel hi-fi, mais la marque française n’a pas oublié qu’elle savait faire des gadgets.

Pour son retour, elle fait d’une pierre, deux coups avec deux nouveaux gadgets à piloter avec son smartphone, le Rolling Spider et le Jumping Sumo. Comme son nom ne l’indique pas, le Rolling Spider est un quadricopter que l’on pourrait résumé en une version mini de l’AR Drone, avec une différence de taille. Comme son nom l’indique à moitié, le Jumping Sumo sera capable d’effectuer des bonds, mais pas de voler.

Que valent ces petites machines sur le terrain ? Réponse dans ce test.

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Rolling Spider

Parrot n’a jamais vraiment proposé de produit d’entrée de gamme, et ce n’est pas avec le Rolling Spider qu’on dira le contraire. Si l’objet est plus abordable, on sent que Parrot n’a pas particulièrement voulu créer un quadricopter à peu de frais. Cela se remarque notamment à l’assemblage et aux finitions irréprochables de la petite machine, le plastique utilisé aurait pu être meilleur, mais Parrot s’est sans doute retrouvé face à des contraintes de poids, ce qui explique une coque assez fine, pour arriver à proposer un objet de 55 grammes.

La chose n’en reste pas moins solide et c’est un point primordial sur ce genre d’appareil qui sera amené, quoi qu’il advienne, à subir des chocs. Parrot a prévu le coup avec, d’une part un arrêt automatique en cas de contact au niveau des pâles, et d’autre part avec des moteurs plus larges que sur d’autres gadgets du même genre, mais meilleur marché. Il n’y a pas de secret. La seconde couche de protection est quant à elle un réel élément différenciant, qui vaut son “Rolling” au Spider. Il s’agit de roues amovibles – d’un diamètre supérieur au jouet – elles vont permettre de le protéger, mais aussi de le faire rouler sur les murs et au plafond. Cela donne un petit côté insecte assez sympathique à la chose.

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Sans surprise, et on sent là l’expertise de Parrot, la bête est admirablement stable et se comporte parfaitement bien dans les airs. Elle se stabilise grâce à un jeu de capteurs ainsi qu’une caméra VGA (qui ne permettra pas de filmer) ce qui lui permet de rester en vol stationnaire, et de corriger sa position, même lorsque le vent souffle, et de rester à une bonne distance du sol. Le contrôle se fait via l’application FreeFlight de Parrot – qui passe en version 3.0 pour l’occasion – disponible sur iOS Android, et bientôt Windows Phone. L’appairage se fait via Bluetooth, il suffit de l’activer et de lancer l’application pour que tout se connecte, c’est plutôt pratique.

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L’application est d’ailleurs assez bien faite, outre les classiques contrôles de hauteur et de direction (via deux sticks virtuels), on trouve des boutons permettant de réaliser des animations, comme un looping par exemple, ainsi que deux autres pour le décollage/l’atterrissage et l’atterrissage d’urgence. Il est également possible de régler plusieurs paramètres tels que la hauteur ou la vitesse maximale, qui pourra atteindre 18 km/h, oui ça va vite. L’autonomie annoncée est de 8 ou 6 minutes si les roues sont attachées ou non. Cela se vérifie à peu près en pratique. Les sessions de vol seront courtes, et celles de recharge seront longues puisqu’il faudra environ une heure, via la prise USB de votre ordinateur, avant de recommencer à faire joujou.

C’est dommage, car cela vient un peu plomber le plaisir que l’on prend avec le Rolling Spider. Si vous souhaitez investir dans un quadricopter, il n’en reste pas moins l’un des meilleurs rapports robustesse/prix/qualité du marché, même à 99 euros. À ce prix, en revanche, on conseillera quand même de commencer à l’utiliser en extérieur pour éviter les accidents, l’objet est robuste, mais pas incassable.

Jumping Sumo

Si le Rolling Spider est un jouet abouti, il n’est pas fondamentalement nouveau, le Jumping Sumo en revanche est particulièrement novateur, à notre connaissance il n’existe pas d’équivalent. Comme nous le disions en introduction, ce dernier à la particularité de pouvoir sauter grâce à un ressort situé dans son dos. Fort de cette capacité, Parrot a encore plus misé sur la robustesse, avec une qualité de plastique visiblement supérieure à celle de son compère. Sauf à lui faire faire une chute de plusieurs mètres, on voit mal comment on pourrait abîmer ce Jumping Sumo, un nouveau bon point pour Parrot, d’autant plus qu’encore une fois l’assemblage est irréprochable.

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C’est toujours grâce à FreeFlight que l’on contrôle le jouet, mais cette fois en WiFi. Il faudra connecter son smartphone au réseau émis par le véhicule, et comme pour le Rolling Spider, lancer FreeFlight suffira à effectuer l’appairage. L’avantage du WiFi est une plus longue portée (50 mètres annoncés avec le champ libre), mais aussi de meilleurs débits. C’est nécessaire pour récupérer les images prises par la petite caméra (640 x 480, 15 ips) située à l’avant du véhicule. Elle pourra réaliser des petits films si l’on adjoint une clé micro-USB au véhicule, ou permettra de jouer avec l’objet sans l’avoir directement dans son champ de vision. Les apprentis voyeurs pourront s’amuser, même si compte tenu du bruit émis par l’objet, on repassera pour la discrétion.

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À propos de contrôle, n’ayez crainte, la prise en main est quasi immédiate. Les virages à droite ou à gauche se font en balançant le smartphone, classique. Mieux encore, des boutons sont prévus pour effectuer des demi ou des quarts de tour, il devient ainsi très simple de passer par une porte pas exemple. Le bond se fait également grâce à un bouton, avec deux sauts possibles en longueur ou en hauteur sur environ 80 cm. Cela suffit pour passer quelques marches ou monter sur une table basse.

À l’instar du Rolling Spider, diverses animations sont prévues, comme la toupie du Vine ci-dessus. Elles s’accompagnent en plus de multiples bruitages. Ces derniers humanisent le Rolling Spider et on a presque l’impression d’avoir son petit Wall-E dans le salon. Ce côté attachant est un plus indéniable que l’on pourra renforcer en posant de petits autocollants livrés dans la boite. Cloué au sol, le Rolling Spider dispose d’une autonomie plus longue que celle du Rolling Spider, vous aurez donc droit à 10-15 minutes de bonheur.

Si les deux gadgets smartphonocommandés de Parrot sont des réussites, notre préférence va au Jumping Sumo. Il est certes plus onéreux, 159 euros, mais nous le conseillons à tous les amateurs de gadgets. Encore une fois, Parrot nous prouve ici sa faculté à faire des gadgets de grande qualité.

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20 commentaires
  1. dans la même gamme mini drone et pour 50 euros, je pencherai pour un Hubsan X4, une référence pour celui qui veut débuter dans le pilotage de drone.

  2. exact. le Hubsan X4. Je me suis bien amusé avec.
    même si c’est difficile, car faire du stationnaire avec ça est pratiquement impossible.

  3. le truc à savoir sur les hubsan X4 c’est qu’il faut pas les faire voler de suite sorti de boîte. Il y a des étapes de calibrage à effectuer et les différentes sensibilités à régler selon ton ressenti. J’avoue, j’ai éclaté mon premier comme ça avant qu’un pote plus connaisseur que moi, me montre les réglages à effectuer et calibre le second et depuis le vol stationnaire en intérieur est un jeu d’enfant avec celui là.

  4. Moi j’ai un truc à dire…j’ai suis allé lire l’autre test et voilà le résultat : http://i.imgur.com/rBsrOht.png

    Vous vivez de la pub c’est bien ça ? Et bien je ne vous ferez plus vivre, dès maintenant le JDG passe sur la blacklist d’AdBlock ! Faut arrêter quoi…

  5. @thomas
    Oui, la pub sur le jdg est devenue bien trop importante ces deniers temps, je n’ai jamais installe adblock, mais “grace” a eux, je pense commencer pour les mettre en blacklist.

  6. Pilote de drones, je confirme que le Hubsan X4 est un très bon appareil pour débuter et se perfectionner (il y a deux modes de vol, Normal et Expert), solide et stable (si bien calibré au départ), avec des pièces de rechange pour pouvoir le réparer (hélices, moteurs, coque, contrôleur de vol, etc..). Pensez à prendre des batteries supplémentaires.

  7. @thomas

    C’est bizarre j’ai pas adblock et j’ai pas autant de pub de merd… sur mon écran. A mon avis avant de critiquer JDG il faudrait peut être voir a metttre à jour ton antivirus, virer les toolbar a gogo dans le navigateur et nettoyer ton PC des spyware et adware…

    Cdlt

  8. Pour info, Parrot vend des batteries et un chargeur séparément, pour ~~9€ et 15€ a peu près…
    j’ai testé le rolling spider, c’est vraiment sympa

  9. moi j’adore le rolling spider , il fait le job ! pour info ont est pas tous des geeks ! et le rolling spider ou le drone 2.0 de Parrot sont suffisants et ils volent très bien , il suffit juste de bien savoir les piloter 😉

  10. Bon je dois etre le “vieux jeu” de service, mais ces 2 trucs servent a quoi ? J’arrive pas a comprendre, et ne voyez pas dans ma question une moquerie ou autre, je ne comprend vraiment pas.
    Ceux qui en ont acheté, combien de fois vous les avez utilisés ? Et après 1 mois en leur possession, vous l’utilisez encore ?

    Ca me fait penser un peu aux drones, 10% des gens en ont une application pro ou plaisir réelle (films,…), mais je pense que 90% ont achetés leur drone, les ont fait volé, on fait mumuse pendant 1 mois a totu cassé et que désormais les drones sont dans les placards. non ?

  11. la seule utilité est l’amusement , pour les grands enfants que nous sommes 😉
    on ne l’utilise pas tous les jours c est sur, mais de temps en temps ça détend .

  12. Utiliseur d’un ardrone depuis quelques mois je vais me permettre quelques commentaires.
    1- tous les mails que je reçois depuis plus d’un an sont en anglais. La prochaine fois j’achèterai chinois, je ne comprendrais pas mieux les mails que je recevrais, mais je saurai pourquoi. J’aurai paye beaucoup moins cher.
    2- ce drone devait me permettre de changer tous les organes déficients sans probleme. Le mien a décidé un jour de ne plus accepter aucun contact wifi. Sans raison. Et il m’est impossible d’avoir la moindre explication technique sur ce problème, et surtout aucune solutions.
    Membre dun club d’aeromodelisme, je vous prie de croire que parrot aura tout…mon soutien…

  13. NUL

    Comme beaucoup d’autres utilisateurs, la batterie se décharge au bout de 20 secondes (après 2 jours d’utilisation et environ 5 cycles de charges). Le vol n’est pas plus stable qu’un jouet hélico à 20 euros. Mon conseil : ne pas achetez !

    1. J’ai eu le même défaut après le premier vol. En fiat c’est la forte chaleur mise par la batterie qui fait que le contact ne se fait plus correctement au bout de quelques minutes.

      Il suffit d’une pette opération de rien du tout avec un tournevis plat pour retrouver une autonomie décente :
      https://www.youtube.com/watch?v=nwDecWKRCPw

Les commentaires sont fermés.

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