L’année dernière, des cendres de Ensemble Studios naissait Orc Must Die, un tower defense dans l’idée qui incorporait quelques innovations bienvenues. Surprenant, le jeu avait conquis bon nombre de joueurs, par son côté décalé, son univers sympathique et un prix mini. La question était de savoir si ce second épisode offrirait une expérience plus développée, ou une simple addition de nouveaux contenus.
On reprend le concept du premier, on change le sens des attaques, on y ajoute du contenu et un mode coopération. Voilà comment pourrait-on résumer Orc Must Die 2. Parce le jeu ne se laisse pas bercer par les doux chants de la facilité, en proposant quelques simples cartes inédites, il décide de pousser le concept plus loin. Alors que l’on avait un unique personnage, cette fois-ci il est possible, en plus du héros du premier épisode, de jouer une sorcière plus portée sur les attaques à distance. Le schéma tactique reste néanmoins le même, on prépare les vagues d’attaques des orcs et de tous leurs congénères, en posant des pièges où bon nous semble, dans la limite des stocks d’or disponibles. On retrouve sensiblement les mêmes embûches : les murs fléchés, les pieux, les gluants et même les barrages. La nouveauté, c’est l’aspect RPG qui transpire de cet épisode. Que ce soit les pièges, les armes ou les bonus, il est possible de les acheter grâce aux crânes que l’on récolte avec nos scores. Avec le temps, et l’argent, on peut évoluer et s’améliorer pour plus de puissance et de rapidité. L’avantage est double : il permet une plus grande profondeur de jeu et de développer plus facilement et sur le long terme des stratégies.
Au delà du mode histoire, et son scénario plus qu’anecdotique, cette fois-ci apparaît un mode sans fin, qui nous plonge dans les niveaux déjà traversés pour des vagues qui ne s’arrêtent jamais de venir. Jusqu’à ce que mort s’en suivent il faut survivre à l’assaut de ces monstres en tout genre, pour récolter le plus de crânes possibles. La principale nouveauté de Orc Must Die 2 se trouve dans son mode coopération qui transcende l’expérience et la rend logique. Un tower defense avec tant de possibilités de défense mais aussi d’attaques, trouve son apogée lorsque l’on y joue à plusieurs. Le fun y est décuplé, et la stratégie bien plus mise en avant. Ainsi on se partage les vagues et on coupe le niveau en deux. Un plaisir coopératif qui trouve son meilleur aspect lorsque l’on atteint les niveaux qui requiert tactique, précision et rapidité des mouvements. A lui seul, ce mode fait oublier l’épisode précédent et le rend caduque.
Orc Must Die 2 est le jeu du plaisir. On s’amuse dans cet univers, on développe ses stratégies, on tente de battre les records et on s’améliore en tout points. On aimerait voir ce genre de suite plus souvent, celles qui apprennent de leurs erreurs passées et de leurs oublis pour proposer ce toujours plus qui oblige presque à l’achat tant cela en devient indispensable. Il y a bien quelques petits défauts, comme une certaine redondance dans les environnements et un nombre de niveaux plutôt faible au final, mais avec un prix si bas et une jouissance sur tout le long de l’aventure, peu de chance de se tromper.
On reprend le concept du premier, on change le sens des attaques, on y ajoute du contenu et un mode coopération. Voilà comment pourrait-on résumer Orc Must Die 2. Parce le jeu ne se laisse pas bercer par les doux chants de la facilité, en proposant quelques simples cartes inédites, il décide de pousser le concept plus loin. Alors que l’on avait un unique personnage, cette fois-ci il est possible, en plus du héros du premier épisode, de jouer une sorcière plus portée sur les attaques à distance. Le schéma tactique reste néanmoins le même, on prépare les vagues d’attaques des orcs et de tous leurs congénères, en posant des pièges où bon nous semble, dans la limite des stocks d’or disponibles. On retrouve sensiblement les mêmes embûches : les murs fléchés, les pieux, les gluants et même les barrages. La nouveauté, c’est l’aspect RPG qui transpire de cet épisode. Que ce soit les pièges, les armes ou les bonus, il est possible de les acheter grâce aux crânes que l’on récolte avec nos scores. Avec le temps, et l’argent, on peut évoluer et s’améliorer pour plus de puissance et de rapidité. L’avantage est double : il permet une plus grande profondeur de jeu et de développer plus facilement et sur le long terme des stratégies.
Au delà du mode histoire, et son scénario plus qu’anecdotique, cette fois-ci apparaît un mode sans fin, qui nous plonge dans les niveaux déjà traversés pour des vagues qui ne s’arrêtent jamais de venir. Jusqu’à ce que mort s’en suivent il faut survivre à l’assaut de ces monstres en tout genre, pour récolter le plus de crânes possibles. La principale nouveauté de Orc Must Die 2 se trouve dans son mode coopération qui transcende l’expérience et la rend logique. Un tower defense avec tant de possibilités de défense mais aussi d’attaques, trouve son apogée lorsque l’on y joue à plusieurs. Le fun y est décuplé, et la stratégie bien plus mise en avant. Ainsi on se partage les vagues et on coupe le niveau en deux. Un plaisir coopératif qui trouve son meilleur aspect lorsque l’on atteint les niveaux qui requiert tactique, précision et rapidité des mouvements. A lui seul, ce mode fait oublier l’épisode précédent et le rend caduque.
Orc Must Die 2 est le jeu du plaisir. On s’amuse dans cet univers, on développe ses stratégies, on tente de battre les records et on s’améliore en tout points. On aimerait voir ce genre de suite plus souvent, celles qui apprennent de leurs erreurs passées et de leurs oublis pour proposer ce toujours plus qui oblige presque à l’achat tant cela en devient indispensable. Il y a bien quelques petits défauts, comme une certaine redondance dans les environnements et un nombre de niveaux plutôt faible au final, mais avec un prix si bas et une jouissance sur tout le long de l’aventure, peu de chance de se tromper.
🟣 Pour ne manquer aucune news sur le Journal du Geek, abonnez-vous sur Google Actualités. Et si vous nous adorez, on a une newsletter tous les matins.