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Test – New Little King’s Story

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Après un passage discret – malgré des qualités indubitables – sur Wii en 2009, Little King’s Story revient cet automne sur PS Vita. Et cette mouture…

Après un passage discret – malgré des qualités indubitables – sur Wii en 2009, Little King’s Story revient cet automne sur PS Vita. Et cette mouture portable s’annonce sous les meilleurs auspices : elle bénéficie en effet d’un joli lifting graphique et de l’implantation de fonctionnalités tactiles. Ce mélange de stratégie, de gestion, d’aventure et même d’un soupçon de drague parviendra-t-il à nous enchanter ?

Le point de départ de New Little King’s Story vous voit fuir votre château ravagé par les flammes alors que votre royaume est soumis au joug d’un ennemi aussi mystérieux que ravageur. Vous vous retrouvez avec quelques fidèles dans une cabane perdue au fond des bois, où vos conseillers vous expliquent qu’il vous appartient de délivrer les princesses capturées et de restaurer la paix dans le royaume.
Pour ce faire, vous devrez recruter des villageois afin de vous aider. Si au début votre garde ne compte que cinq membre, il sera possible de l’agrandir au fil de votre progression jusqu’à en avoir plus d’une vingtaine ! C’est là que repose tout l’intérêt du jeu, puisqu’il vous incombe de choisir leur profession (plus d’une vingtaine au total) et de leur donner des ordres.

Ces gardes ont connu de nombreux combat pour obtenir autant d’endurance

Stratège de guerre

Chaque profession à son utilité : les gardes se battent au corps-à-corps, les bûcherons abattent les souches d’arbres géantes, vous ouvrant ainsi de nouvelles zones à explorer, les paysans creusent le sol pour déterrer des trésors… à vous de choisir comment vous souhaitez organiser votre garde rapprochée afin de parer à toute éventualité lors de vos pérégrinations dans le royaume.
Afin d’obtenir davantage de choix, vous devrez construire les bâtiments qui vous permettront d’entraîner vos sujets. Seules la caserne et la ferme sont disponibles au début, de nouvelles constructions se débloquant lorsque vous éliminez le boss d’une zone.

Les combats sont l’occasion de se rendre compte de la simplicité des commandes : une pression sur carré enverra un membre de votre garde vers l’objet ou l’ennemi que vous visez, et votre sujet réagira en conséquence. Inutile d’envoyer un garde construire un pont par exemple, cette action étant réservée aux charpentiers. Tous les membres de votre garde peuvent néanmoins s’attaquer à l’ennemi, bien que seuls ceux destinés au combat se montrent réellement efficaces. En cas de danger, le bouton rond rappellera immédiatement tous vos sujets derrière vous.

Car oui, le roi que vous êtes n’est pas censé combattre ! A la manière d’Overlord, votre personnage se montre extrêmement faible. Alors que vos sujets gagnent des points de vie à chaque montée de niveau, mais doivent être équipés avec les objets ramassés en chemin pour devenir plus fort ou mieux protégés, votre force augmente mais pas votre vie. A vous de diriger au mieux vos troupes pour vous mettre à l’abri tandis que vos ouailles massacrent les monstres qui ont envahi votre royaume.

Ces hommes-pastèque n’ont qu’à bien se tenir !

Un jeu digne d’un roi ?

Pour autant, le jeu ne se montre pas dénué de défauts. Bien que d’une grande fluidité et doté de couleurs vives, le design revu des personnages peut surprendre. L’ambiance kawaii et les protagonistes à la japonaise peuvent en effet déplaire, les vêtements des protagonistes féminins se montrant un peu trop moulants.
De même, s’il est appréciable de voir à l’écran les changements apportés par les habits et les armes dont la garde est équipée, cela pose problème lorsqu’on souhaite sélectionner une classe précise. Entre les costumes de samba, les chapeaux de ninja et les uniformes de gymnastique, difficiles de distinguer les soldats des mineurs dans le cœur de l’action !
Néanmoins, ces défauts s’effacent vite devant le plaisir qu’on éprouve à reconstruire petit à petit notre royaume en délivrant les princesses prisonnières, et la découverte d’un nouveau métier est toujours un moment de plaisir.

Ah, ces japonais et leur amour de la mode…

New Little King’s Story propose donc aux joueurs une aventure enchanteresse. Riche en contenu (je vous laisse découvrir les mariages, l’alchimie et l’utilité de princesses par vous-mêmes), le jeu bénéficie d’un gameplay simple magnifié par la liberté laissée au joueur dans la composition de l’équipe de ses sujets. On prend un réel plaisir à libérer le royaume et à augmenter sa population en bâtissant toujours plus d’habitations et de bâtiments d’entraînement. Et quelle meilleure récompense que les acclamations de vos sujets lorsque vous paradez dans les rues ?

Après un passage discret – malgré des qualités indubitables – sur Wii en 2009, Little King’s Story revient cet automne sur PS Vita. Et cette mouture portable s’annonce sous les meilleurs auspices : elle bénéficie en effet d’un joli lifting graphique et de l’implantation de fonctionnalités tactiles. Ce mélange de stratégie, de gestion, d’aventure et même d’un soupçon de drague parviendra-t-il à nous enchanter ?

Le point de départ de New Little King’s Story vous voit fuir votre château ravagé par les flammes alors que votre royaume est soumis au joug d’un ennemi aussi mystérieux que ravageur. Vous vous retrouvez avec quelques fidèles dans une cabane perdue au fond des bois, où vos conseillers vous expliquent qu’il vous appartient de délivrer les princesses capturées et de restaurer la paix dans le royaume.
Pour ce faire, vous devrez recruter des villageois afin de vous aider. Si au début votre garde ne compte que cinq membre, il sera possible de l’agrandir au fil de votre progression jusqu’à en avoir plus d’une vingtaine ! C’est là que repose tout l’intérêt du jeu, puisqu’il vous incombe de choisir leur profession (plus d’une vingtaine au total) et de leur donner des ordres.

Ces gardes ont connu de nombreux combat pour obtenir autant d’endurance

Stratège de guerre

Chaque profession à son utilité : les gardes se battent au corps-à-corps, les bûcherons abattent les souches d’arbres géantes, vous ouvrant ainsi de nouvelles zones à explorer, les paysans creusent le sol pour déterrer des trésors… à vous de choisir comment vous souhaitez organiser votre garde rapprochée afin de parer à toute éventualité lors de vos pérégrinations dans le royaume.
Afin d’obtenir davantage de choix, vous devrez construire les bâtiments qui vous permettront d’entraîner vos sujets. Seules la caserne et la ferme sont disponibles au début, de nouvelles constructions se débloquant lorsque vous éliminez le boss d’une zone.

Les combats sont l’occasion de se rendre compte de la simplicité des commandes : une pression sur carré enverra un membre de votre garde vers l’objet ou l’ennemi que vous visez, et votre sujet réagira en conséquence. Inutile d’envoyer un garde construire un pont par exemple, cette action étant réservée aux charpentiers. Tous les membres de votre garde peuvent néanmoins s’attaquer à l’ennemi, bien que seuls ceux destinés au combat se montrent réellement efficaces. En cas de danger, le bouton rond rappellera immédiatement tous vos sujets derrière vous.

Car oui, le roi que vous êtes n’est pas censé combattre ! A la manière d’Overlord, votre personnage se montre extrêmement faible. Alors que vos sujets gagnent des points de vie à chaque montée de niveau, mais doivent être équipés avec les objets ramassés en chemin pour devenir plus fort ou mieux protégés, votre force augmente mais pas votre vie. A vous de diriger au mieux vos troupes pour vous mettre à l’abri tandis que vos ouailles massacrent les monstres qui ont envahi votre royaume.

Ces hommes-pastèque n’ont qu’à bien se tenir !

Un jeu digne d’un roi ?

Pour autant, le jeu ne se montre pas dénué de défauts. Bien que d’une grande fluidité et doté de couleurs vives, le design revu des personnages peut surprendre. L’ambiance kawaii et les protagonistes à la japonaise peuvent en effet déplaire, les vêtements des protagonistes féminins se montrant un peu trop moulants.
De même, s’il est appréciable de voir à l’écran les changements apportés par les habits et les armes dont la garde est équipée, cela pose problème lorsqu’on souhaite sélectionner une classe précise. Entre les costumes de samba, les chapeaux de ninja et les uniformes de gymnastique, difficiles de distinguer les soldats des mineurs dans le cœur de l’action !
Néanmoins, ces défauts s’effacent vite devant le plaisir qu’on éprouve à reconstruire petit à petit notre royaume en délivrant les princesses prisonnières, et la découverte d’un nouveau métier est toujours un moment de plaisir.

Ah, ces japonais et leur amour de la mode…

New Little King’s Story propose donc aux joueurs une aventure enchanteresse. Riche en contenu (je vous laisse découvrir les mariages, l’alchimie et l’utilité de princesses par vous-mêmes), le jeu bénéficie d’un gameplay simple magnifié par la liberté laissée au joueur dans la composition de l’équipe de ses sujets. On prend un réel plaisir à libérer le royaume et à augmenter sa population en bâtissant toujours plus d’habitations et de bâtiments d’entraînement. Et quelle meilleure récompense que les acclamations de vos sujets lorsque vous paradez dans les rues ?

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Notre avis

Royal
Note : 8  /  10

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