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[Test] NBA2K14 : Les nouvelles consoles peuvent lui dire MERCI [Xbox One]

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Certains disent que NBA2K14 est visuellement le jeu new-gen le plus impressionnant. Ben, ils ont raison. Absolument raison. Pour varier les plaisirs, nous allons présenter ce…

Certains disent que NBA2K14 est visuellement le jeu new-gen le plus impressionnant. Ben, ils ont raison. Absolument raison.

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Pour varier les plaisirs, nous allons présenter ce test sous forme de questions/réponses. Et parce que je suis un dingue dans ma tête, je vais poser les questions puis répondre à moi-même. Eh oui.

Moi : NBA2K14 est-il vraiment le plus beau jeu sur la nouvelle génération de consoles ou tu es un mytho ?

Moi : Moi mytho ? Non. Et si on parle de technique pure, oui, NBA2K14 est le jeu le plus beau des Xbox One / PS4. Le terme de photoréalisme est ici de rigueur. Les athlètes sont presque vivants, grâce à tous ces petits détails qui, tous réunis, donnent à l’écran une simulation plus que crédible : le grain de peau des athlètes, la pilosité, les veines sur les bras, les tatouages, la forme de leurs muscles, leurs déformations dans l’action… Il y a bien quelques visages de joueurs un peu moins ressemblants, mais c’est globalement de l’excellent travail.

1402834_1445334175689320_608234434_oMais plus que la modélisation, c’est l’animation qui impressionne. On sent le poids du ballon, le poids du timing de shoot aussi. On voit le bras se dérouler, le poignet se tordre, clac, on appuie sur le bouton, le joueur tire. La progression passe par la lecture des mouvements de chaque joueur. La physique, c’est aussi ressentir l’inertie des athlètes, leur poids, leur tonicité, les frottements, les chocs, le côté naturel des courses, des reprises d’appui, des chutes. NBA2K14 s’en sort ici aussi avec les honneurs.

Moi : Est-ce que comme tout jeu de sport, c’est quand même un peu chiant tout seul ?

NBA2K14 propose divers modes de jeu solo : du classique match rapide à la carrière en tant que manager général ou en tant que débutant qui a tout à prouver. Je vous conseillerai bien ce dernier. L’idée n’a rien de révolutionnaire – on crée son athlète (un look abominable, le nôtre, parce que nous sommes des gens rigolos), on prie pour décrocher une équipe dans laquelle on aura du temps de jeu lors de la Draft (une équipe de bas de tableau, donc), puis on essaie de progresser et de gagner du temps de jeu tout au long de la saison – on sent la volonté des développeurs de nous impliquer. Bon, au début c’est un peu fastidieux parce qu’il y a BEAUCOUP de dialogues : avec les franchises qui veulent vous recruter, avec votre futur rival, avec votre agent… Mais une fois que la saison est lancée, l’excitation est au rendez-vous. Dans les deux premiers matchs on ne joue que 2 à 3 minutes au départ, puis 4, puis 10, etc.

1486002_1443347212554683_1220208816_oOn aime aussi les objectifs dynamiques en pleine partie. À un moment, un panneau vous indiquera que vous devez marquer trois « 3 points », à un autre, de faire trois passes décisives à votre leader… La réussite de ces objectifs, mais aussi vos performances générales ou encore le résultat du match déterminent le nombre de crédits attribués à votre athlète en fin de partie, crédits que vous convertirez pour augmenter vos caractéristiques (passes, contres, vitesse, etc.).

Deux autres petits trucs sympa entre les matchs : des tweets d’internautes qui vous lanceront des défis pour les prochains matchs (pour gagner plus de points toujours) et des actions relationnelles avec d’autres joueurs : aller faire la teuf, vous allez gagner en cohésion d’équipe, porter le sac de votre leader, etc.

Moi : Et si je veux jouer en ligne ?

Moi : On est obligé de mettre un gros point d’interrogation sur les modes en ligne parce qu’on n’est pas arrivé à disputer un match sans lag. Dans un jeu où le timing compte autant, c’est tout simplement rédhibitoire. Et l’on peut pas vraiment savoir si ça vient de nous (notre connexion ce n’est pas Usain Bolt, en ce moment) ou des serveurs de Crosoft.

Moi : Mamie m’a acheté NBA LIVE 14, dois-je tirer la tronche ?

NBA2K14_PS4_01Moi : Bah oui, clairement. Le NBA de 2K est au-dessus du NBA de EA. Pas tellement pour le contenu, parce qu’on va y trouver sensiblement la même chose, mais pour des questions de sensations, rapport aux animations et à la physique, beaucoup moins abouties dans le jeu d’EA, où l’on dirait qu’on contrôle des marionnettes maigrichonnes et pas très bien articulées.

Moi : Mais il a aucun défaut ce jeu ma parole ?

Moi : Si, sinon ce ne serait pas drôle. À commencer par les menus et sous-menus, tout laids et mal pensés. Si le temps d’installation est déjà long, les temps de chargement sont EXTRÊMEMENT longs. J’ai rarement vu ça (c’est le cas de beaucoup de jeux sur ces consoles ceci dit). Dernière chose, même si c’est la mode du moment, on retrouve ici comme ailleurs des micro-transactions, solution alternative pour récupérer des crédits. Ils sont non obligatoires, mais ils faussent la donne, et me donne l’impression d’être pris pour une vache à lait. Après avoir payé la console et le jeu 570 euros, faut pas trop m’en demander plus.

Moi : Quelle note vaut NBA2K14 ?

Bah, 9/10.

NBA2K14, disponible sur PS4, Xbox One, PS3 et Xbox 360. Les images en marge de ce test sont des images éditeur

Certains disent que NBA2K14 est visuellement le jeu new-gen le plus impressionnant. Ben, ils ont raison. Absolument raison.

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Pour varier les plaisirs, nous allons présenter ce test sous forme de questions/réponses. Et parce que je suis un dingue dans ma tête, je vais poser les questions puis répondre à moi-même. Eh oui.

Moi : NBA2K14 est-il vraiment le plus beau jeu sur la nouvelle génération de consoles ou tu es un mytho ?

Moi : Moi mytho ? Non. Et si on parle de technique pure, oui, NBA2K14 est le jeu le plus beau des Xbox One / PS4. Le terme de photoréalisme est ici de rigueur. Les athlètes sont presque vivants, grâce à tous ces petits détails qui, tous réunis, donnent à l’écran une simulation plus que crédible : le grain de peau des athlètes, la pilosité, les veines sur les bras, les tatouages, la forme de leurs muscles, leurs déformations dans l’action… Il y a bien quelques visages de joueurs un peu moins ressemblants, mais c’est globalement de l’excellent travail.

1402834_1445334175689320_608234434_oMais plus que la modélisation, c’est l’animation qui impressionne. On sent le poids du ballon, le poids du timing de shoot aussi. On voit le bras se dérouler, le poignet se tordre, clac, on appuie sur le bouton, le joueur tire. La progression passe par la lecture des mouvements de chaque joueur. La physique, c’est aussi ressentir l’inertie des athlètes, leur poids, leur tonicité, les frottements, les chocs, le côté naturel des courses, des reprises d’appui, des chutes. NBA2K14 s’en sort ici aussi avec les honneurs.

Moi : Est-ce que comme tout jeu de sport, c’est quand même un peu chiant tout seul ?

NBA2K14 propose divers modes de jeu solo : du classique match rapide à la carrière en tant que manager général ou en tant que débutant qui a tout à prouver. Je vous conseillerai bien ce dernier. L’idée n’a rien de révolutionnaire – on crée son athlète (un look abominable, le nôtre, parce que nous sommes des gens rigolos), on prie pour décrocher une équipe dans laquelle on aura du temps de jeu lors de la Draft (une équipe de bas de tableau, donc), puis on essaie de progresser et de gagner du temps de jeu tout au long de la saison – on sent la volonté des développeurs de nous impliquer. Bon, au début c’est un peu fastidieux parce qu’il y a BEAUCOUP de dialogues : avec les franchises qui veulent vous recruter, avec votre futur rival, avec votre agent… Mais une fois que la saison est lancée, l’excitation est au rendez-vous. Dans les deux premiers matchs on ne joue que 2 à 3 minutes au départ, puis 4, puis 10, etc.

1486002_1443347212554683_1220208816_oOn aime aussi les objectifs dynamiques en pleine partie. À un moment, un panneau vous indiquera que vous devez marquer trois « 3 points », à un autre, de faire trois passes décisives à votre leader… La réussite de ces objectifs, mais aussi vos performances générales ou encore le résultat du match déterminent le nombre de crédits attribués à votre athlète en fin de partie, crédits que vous convertirez pour augmenter vos caractéristiques (passes, contres, vitesse, etc.).

Deux autres petits trucs sympa entre les matchs : des tweets d’internautes qui vous lanceront des défis pour les prochains matchs (pour gagner plus de points toujours) et des actions relationnelles avec d’autres joueurs : aller faire la teuf, vous allez gagner en cohésion d’équipe, porter le sac de votre leader, etc.

Moi : Et si je veux jouer en ligne ?

Moi : On est obligé de mettre un gros point d’interrogation sur les modes en ligne parce qu’on n’est pas arrivé à disputer un match sans lag. Dans un jeu où le timing compte autant, c’est tout simplement rédhibitoire. Et l’on peut pas vraiment savoir si ça vient de nous (notre connexion ce n’est pas Usain Bolt, en ce moment) ou des serveurs de Crosoft.

Moi : Mamie m’a acheté NBA LIVE 14, dois-je tirer la tronche ?

NBA2K14_PS4_01Moi : Bah oui, clairement. Le NBA de 2K est au-dessus du NBA de EA. Pas tellement pour le contenu, parce qu’on va y trouver sensiblement la même chose, mais pour des questions de sensations, rapport aux animations et à la physique, beaucoup moins abouties dans le jeu d’EA, où l’on dirait qu’on contrôle des marionnettes maigrichonnes et pas très bien articulées.

Moi : Mais il a aucun défaut ce jeu ma parole ?

Moi : Si, sinon ce ne serait pas drôle. À commencer par les menus et sous-menus, tout laids et mal pensés. Si le temps d’installation est déjà long, les temps de chargement sont EXTRÊMEMENT longs. J’ai rarement vu ça (c’est le cas de beaucoup de jeux sur ces consoles ceci dit). Dernière chose, même si c’est la mode du moment, on retrouve ici comme ailleurs des micro-transactions, solution alternative pour récupérer des crédits. Ils sont non obligatoires, mais ils faussent la donne, et me donne l’impression d’être pris pour une vache à lait. Après avoir payé la console et le jeu 570 euros, faut pas trop m’en demander plus.

Moi : Quelle note vaut NBA2K14 ?

Bah, 9/10.

NBA2K14, disponible sur PS4, Xbox One, PS3 et Xbox 360. Les images en marge de ce test sont des images éditeur

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Notre avis

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Note : 9  /  10

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