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Test : Motorstorm : Pacific Rift

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Exit les pistes désertiques. Pour son retour, MotorStorm a décidé de mixer le feu, l’eau, la terre et l’air, pour un résultat explosif et certainement bien…

Exit les pistes désertiques. Pour son retour, MotorStorm a décidé de mixer le feu, l’eau, la terre et l’air, pour un résultat explosif et certainement bien au dessus de nos espérances !

4 univers donc pour ce nouveau second volet, qui nous emmène tout droit sur une île au large du Pacifique. Sans grande surprise, le tout reste hyper léché, et est la plupart du temps rudement bien modélisés, si l’on excepte quelques textures grossières qui attirent parfois l’œil… Mais ces 4 univers bien distincts ne s’arrêtent pas à une simple diversité graphique. Non, ils obligent en fait à adopter 4 façons différentes d’approcher les tracés, à chaque fois régis par leurs éléments. Pour vous donner un exemple, la barre de boost réagit désormais à l’eau et au feu : passez dans une flaque pour refroidir votre moteur, bondissez au dessus de flamme pour le titiller jusqu’à l’explosion ! L’idée est ingénieuse, et portée par son lot de raccourcis et de bretelles qu’il faudra négocier différemment, selon le véhicule choisi.

Et des véhicules, ce n’est pas ce qui manque ici ! Du quad à la moto, aussi joussive que dangereuse, en passant par le monster truck, nouveau venu dans la danse ou bien encore le camion robuste, vous aurez clairement l’embarras du choix. Un choix obligatoirement réfléchi, tant le moindre choc dans le décor ou face à un concurrent peut vous faire perdre de précieuses secondes. Inutile de chercher la moindre once de réalisme, le titre fait fi des lois de la gravité, et vous aurez tout loisir de voir vos véhicules voler à trente mètres en cas de virage loupé, ou d’obstacle mal anticipé. Et c’est d’ailleurs ce qui fait le charme de ce MotorStorm Pacific Rift : sa capacité à proposer un procédé punitif qui ne fait que renforcer les poussées d’adrénalines ressenties lancés à fond la caisse ! Bien sur, quelques ombres viennent ternir ce tableau, comme les saccades ponctuelles qui font chuter le frame-rate sans vergogne, ou la légère sensation de déjà-joué. Mais ces écueils s’oublient très rapidement tant le challenge est dense (une petite centaine d’épreuves en tout et pour tout) et motivant. Et pour ne rien gâcher, oui, le jeu en ligne est bien évidemment présent, à travers des modes de jeu aussi diversifiés que rôdés, et qui ne manqueront pas d’étendre de façon intéressante la durée de vie.

Plus une évolution qu’une révolution donc que ce second volet, à qui le terme 1.5 pourrait tout à fait convenir. Pourtant, la recette fonctionne toujours aussi bien, et les défauts de MotorStorm premier du nom ayant été corrigé, on ne peut qu’approuver cette invitation musclée au fun à l’état pur !

Le verdict ?

Les +

  • Des environnements variés
  • Les classes de véhicules hétérogènes
  • Les adversaires coriaces
  • Les –

  • Quelques textures baveuses…
  • Des véhicules variés, mais pas assez nombreux
  • Exit les pistes désertiques. Pour son retour, MotorStorm a décidé de mixer le feu, l’eau, la terre et l’air, pour un résultat explosif et certainement bien au dessus de nos espérances !

    4 univers donc pour ce nouveau second volet, qui nous emmène tout droit sur une île au large du Pacifique. Sans grande surprise, le tout reste hyper léché, et est la plupart du temps rudement bien modélisés, si l’on excepte quelques textures grossières qui attirent parfois l’œil… Mais ces 4 univers bien distincts ne s’arrêtent pas à une simple diversité graphique. Non, ils obligent en fait à adopter 4 façons différentes d’approcher les tracés, à chaque fois régis par leurs éléments. Pour vous donner un exemple, la barre de boost réagit désormais à l’eau et au feu : passez dans une flaque pour refroidir votre moteur, bondissez au dessus de flamme pour le titiller jusqu’à l’explosion ! L’idée est ingénieuse, et portée par son lot de raccourcis et de bretelles qu’il faudra négocier différemment, selon le véhicule choisi.

    Et des véhicules, ce n’est pas ce qui manque ici ! Du quad à la moto, aussi joussive que dangereuse, en passant par le monster truck, nouveau venu dans la danse ou bien encore le camion robuste, vous aurez clairement l’embarras du choix. Un choix obligatoirement réfléchi, tant le moindre choc dans le décor ou face à un concurrent peut vous faire perdre de précieuses secondes. Inutile de chercher la moindre once de réalisme, le titre fait fi des lois de la gravité, et vous aurez tout loisir de voir vos véhicules voler à trente mètres en cas de virage loupé, ou d’obstacle mal anticipé. Et c’est d’ailleurs ce qui fait le charme de ce MotorStorm Pacific Rift : sa capacité à proposer un procédé punitif qui ne fait que renforcer les poussées d’adrénalines ressenties lancés à fond la caisse ! Bien sur, quelques ombres viennent ternir ce tableau, comme les saccades ponctuelles qui font chuter le frame-rate sans vergogne, ou la légère sensation de déjà-joué. Mais ces écueils s’oublient très rapidement tant le challenge est dense (une petite centaine d’épreuves en tout et pour tout) et motivant. Et pour ne rien gâcher, oui, le jeu en ligne est bien évidemment présent, à travers des modes de jeu aussi diversifiés que rôdés, et qui ne manqueront pas d’étendre de façon intéressante la durée de vie.

    Plus une évolution qu’une révolution donc que ce second volet, à qui le terme 1.5 pourrait tout à fait convenir. Pourtant, la recette fonctionne toujours aussi bien, et les défauts de MotorStorm premier du nom ayant été corrigé, on ne peut qu’approuver cette invitation musclée au fun à l’état pur !

    Le verdict ?

    Les +

  • Des environnements variés
  • Les classes de véhicules hétérogènes
  • Les adversaires coriaces
  • Les –

  • Quelques textures baveuses…
  • Des véhicules variés, mais pas assez nombreux
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