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Test : Midnight Club : Los Angeles

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C’est toujours meilleur la 3ème fois nous disait le célèbre proverbe (3ème, c’est bien ça ?) En tout cas, une chose est sûre : ce n’est…

C’est toujours meilleur la 3ème fois nous disait le célèbre proverbe (3ème, c’est bien ça ?) En tout cas, une chose est sûre : ce n’est pas aujourd’hui que RockStar le fera mentir…

On l’aurait presque oubliée, et c’est Los Angeles qu’elle a choisi pour renaître. Voici donc que la série Midnight Club réapparaît dans une version HD, qui, il faut le dire, n’apporte rien de très nouveau sous le soleil. Sans grande surprise, les épreuves tapent à chaque fois dans le classique (courses sur “circuits”, d’un point A à un point B…), même s’il faudrait être de mauvaise foi pour ne pas évoquer les quelques missions qui vous permettront de vous faire plaisir en livrant par exemple des voitures de luxe, ou vous attaquer à des Time Attack endiablés. Impossible donc pour les habitués au genre de ne pas ressentir une sensation de déjà joué. Pourtant, le titre de Rockstar maîtrise les codes du genre, c’est indéniable. Aussi bien du côté de la réalisation, qui tient vraiment la route, en nous offrant une ville qui pour une fois semble vivante, que du côté du scénario, classique, mais efficace, et qui vous propose de gagner vos galons en battant tour à tour une horde de pilotes. On pourra également souligner l’évolution générale du jeu, assez bien amenée, dans le sens ou l’accès aux plus gros bolides vous demandera tout de même un certain temps. Et pour ne rien gâcher, sachez que vous pourrez gérer votre avancée comme bon vous semble, en suivant au choix la trame principale, ou en vous focalisant sur les défis annexes, qui pullulent.

Mais ce Midnight Club : Los Angeles n’est pas vraiment une ballade de santé. Loin s’en faut, et la difficulté est très présente. Ainsi, le sans faute sera bien souvent de mise pour espérer franchir la ligne d’arrivée en tête. Plus facile à dire qu’à faire, tant la ville affiche une circulation dense et des raccourcis aussi bénéfiques que dangereux. Sachez tout de même que vous disposerez de quelques cartes dans votre manche pour vous aider : nitro, possibilité de ralentir le temps à la Bullet Time, invincibilité temporaire… Utile, c’est le mot, surtout lorsque l’on se rend compte que l’I.A. ne rencontre pas vraiment les mêmes soucis que nous, dans la mesure où les chocs ne semblent pas vraiment la miner. Ajoutez à cela sa fâcheuse tendance à s’adapter aux améliorations que vous pourrez monter sur votre engin (même avec une moto surgonflée, ça reste un challenge), et vous verrez que le résultat est bien souvent stressant. Et c’est d’ailleurs le plus gros défaut du jeu, qui sans ce malheureux écueil aurait clairement pu crever le plafond.

Reste qu’il ne s’affiche pas moins comme la référence du genre. Du Rockstar tout craché quoi, l’excellence, à un ou deux défaut près…

Le verdict ?


Que signifie cette pastille ?

Les +

  • Des bolides de rêve à customiser
  • Les motos !
  • La ville est très vivante
  • Quelques défis originaux
  • Les –

  • Une I.A. trop agressive
  • Déjà vu ?
  • C’est toujours meilleur la 3ème fois nous disait le célèbre proverbe (3ème, c’est bien ça ?) En tout cas, une chose est sûre : ce n’est pas aujourd’hui que RockStar le fera mentir…

    On l’aurait presque oubliée, et c’est Los Angeles qu’elle a choisi pour renaître. Voici donc que la série Midnight Club réapparaît dans une version HD, qui, il faut le dire, n’apporte rien de très nouveau sous le soleil. Sans grande surprise, les épreuves tapent à chaque fois dans le classique (courses sur “circuits”, d’un point A à un point B…), même s’il faudrait être de mauvaise foi pour ne pas évoquer les quelques missions qui vous permettront de vous faire plaisir en livrant par exemple des voitures de luxe, ou vous attaquer à des Time Attack endiablés. Impossible donc pour les habitués au genre de ne pas ressentir une sensation de déjà joué. Pourtant, le titre de Rockstar maîtrise les codes du genre, c’est indéniable. Aussi bien du côté de la réalisation, qui tient vraiment la route, en nous offrant une ville qui pour une fois semble vivante, que du côté du scénario, classique, mais efficace, et qui vous propose de gagner vos galons en battant tour à tour une horde de pilotes. On pourra également souligner l’évolution générale du jeu, assez bien amenée, dans le sens ou l’accès aux plus gros bolides vous demandera tout de même un certain temps. Et pour ne rien gâcher, sachez que vous pourrez gérer votre avancée comme bon vous semble, en suivant au choix la trame principale, ou en vous focalisant sur les défis annexes, qui pullulent.

    Mais ce Midnight Club : Los Angeles n’est pas vraiment une ballade de santé. Loin s’en faut, et la difficulté est très présente. Ainsi, le sans faute sera bien souvent de mise pour espérer franchir la ligne d’arrivée en tête. Plus facile à dire qu’à faire, tant la ville affiche une circulation dense et des raccourcis aussi bénéfiques que dangereux. Sachez tout de même que vous disposerez de quelques cartes dans votre manche pour vous aider : nitro, possibilité de ralentir le temps à la Bullet Time, invincibilité temporaire… Utile, c’est le mot, surtout lorsque l’on se rend compte que l’I.A. ne rencontre pas vraiment les mêmes soucis que nous, dans la mesure où les chocs ne semblent pas vraiment la miner. Ajoutez à cela sa fâcheuse tendance à s’adapter aux améliorations que vous pourrez monter sur votre engin (même avec une moto surgonflée, ça reste un challenge), et vous verrez que le résultat est bien souvent stressant. Et c’est d’ailleurs le plus gros défaut du jeu, qui sans ce malheureux écueil aurait clairement pu crever le plafond.

    Reste qu’il ne s’affiche pas moins comme la référence du genre. Du Rockstar tout craché quoi, l’excellence, à un ou deux défaut près…

    Le verdict ?


    Que signifie cette pastille ?

    Les +

  • Des bolides de rêve à customiser
  • Les motos !
  • La ville est très vivante
  • Quelques défis originaux
  • Les –

  • Une I.A. trop agressive
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