Après un premier épisode très convaincant, les Mercenaires tentent une intrusion sur consoles « next-gen » (si le terme existe toujours…). Et malheureusement, ce n’est pas toujours dans les vieux pots qu’on… Vous connaissez la suite.
Bourrin, tel semble être le mot d’ordre de ce second volet. La preuve avec un pitch peu inspiré qui ne fait pas vraiment dans la dentelle : parachuté en plein Venezuela, vous devrez faire sa fête à un ancien client qui vous a lâchement trahi (et qui vous a au passage collé une balle dans les fesses, sic…). Sorte de GTA-like épuré au maximum, le jeu vous propose de partir à la chasse aux missions grassement payées, affichant des objectifs toujours très couillus : destruction de bâtiments, de tanks à grands coups d’attaques aériennes… Car oui, pour vous aider, vous aurez à quelques attaques de renforts punitives, qu’il est possible des stocker et de déployer à tout moment. Jouissif ! Quoiqu’il en soit, il vous faudra tout de même réfléchir un peu. Les missions étant en fait proposées par factions, aux motivations divergentes. Ainsi, travailler à la solde de l’une de ces factions fera forcément descendre en flèche votre côte de popularité auprès d’une faction adverse… Tout un programme. Dommage qu’au final, on se retrouve en fait à rester fidèle à un seul et unique employeur, par soucis de praticité…
Ce Mercenaries 2 : L’Enfer des Favelas pourrait paraître alléchant sur papier. Car nous sommes face à un « bon » défouloir, c’est indéniable. Pourtant, on ne pourra pas s’empêcher de pester contre une I.A. très perfectible, et tout bonnement ingérable quant elle concerne vos alliés, souvent ingérables, vous obligeant à recommencer encore et encore la même manipulation. Dommage également que votre barre de vie se régénère automatiquement en quelques secondes. L’idée, certes louable vu la difficulté du jeu par moment, finit en fait par nous pousser à alterner entre phases d’action et de planque. De la même façon, le jeu trahi un manque de finition évide, aussi bien du côté des graphismes que du doublage, ou de la physique, souvent imbuvable…
Reste que ce Mercenaries 2 : L’Enfer des Favelas offre tout de même son quota de fun, qui pourra bien convenir aux moins regardants sur l’emballage. Les autres seront au contraire trop rapidement frustrés par le manque de finition pour avoir envie de mener l’aventure à son terme…
Le verdict ?
Les +
Les –
Bourrin, tel semble être le mot d’ordre de ce second volet. La preuve avec un pitch peu inspiré qui ne fait pas vraiment dans la dentelle : parachuté en plein Venezuela, vous devrez faire sa fête à un ancien client qui vous a lâchement trahi (et qui vous a au passage collé une balle dans les fesses, sic…). Sorte de GTA-like épuré au maximum, le jeu vous propose de partir à la chasse aux missions grassement payées, affichant des objectifs toujours très couillus : destruction de bâtiments, de tanks à grands coups d’attaques aériennes… Car oui, pour vous aider, vous aurez à quelques attaques de renforts punitives, qu’il est possible des stocker et de déployer à tout moment. Jouissif ! Quoiqu’il en soit, il vous faudra tout de même réfléchir un peu. Les missions étant en fait proposées par factions, aux motivations divergentes. Ainsi, travailler à la solde de l’une de ces factions fera forcément descendre en flèche votre côte de popularité auprès d’une faction adverse… Tout un programme. Dommage qu’au final, on se retrouve en fait à rester fidèle à un seul et unique employeur, par soucis de praticité…
Ce Mercenaries 2 : L’Enfer des Favelas pourrait paraître alléchant sur papier. Car nous sommes face à un « bon » défouloir, c’est indéniable. Pourtant, on ne pourra pas s’empêcher de pester contre une I.A. très perfectible, et tout bonnement ingérable quant elle concerne vos alliés, souvent ingérables, vous obligeant à recommencer encore et encore la même manipulation. Dommage également que votre barre de vie se régénère automatiquement en quelques secondes. L’idée, certes louable vu la difficulté du jeu par moment, finit en fait par nous pousser à alterner entre phases d’action et de planque. De la même façon, le jeu trahi un manque de finition évide, aussi bien du côté des graphismes que du doublage, ou de la physique, souvent imbuvable…
Reste que ce Mercenaries 2 : L’Enfer des Favelas offre tout de même son quota de fun, qui pourra bien convenir aux moins regardants sur l’emballage. Les autres seront au contraire trop rapidement frustrés par le manque de finition pour avoir envie de mener l’aventure à son terme…
Le verdict ?
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