Impossible de voir débarquer Luigi avec son Ectoblast 5000 sur le dos sans penser à Bill Murray. Aussi froussard que son modèle, le frère de Mario a en effet la lourde tâche de retrouver les fragments de la Lune Noire, sans qui les fantômes de la Vallée des Ombres passent de l’état de joyeux compagnons à celui de monstres capricieux.
La mission est loin d’être une partie de plaisir, puisque chaque habitation de la Vallée devra être visitée afin d’y récupérer les fragments de Lune. La découverte des lieux hantés est un des points forts du titre : découpée en plusieurs missions de 10 à 30 minutes, elle se prête parfaitement à une consommation nomade. Rien de tel qu’une petite chasse au fantôme dans le métro/bus qui nous amène sur notre lieu de travail !
Les différents environnements se montrent variés et rassemblent tous les poncifs du genre : murs en ruine, portes grinçantes, passages secrets, chandelles à la flamme vacillante… l’ambiance “maison hantée” est un modèle du genre, tout comme les musiques qui sont parfois fredonnées par Luigi lorsque celui-ci tente de se donner du courage.
Il s’agit peut-être d’ailleurs là de la plus grande réussite du titre : accorder une vraie personnalité au personnage du plombier. S’il se montre aussi froussard que Tartarin, ses nombreuses mimiques le rendent très attachant et le détache définitivement du statut de simple alternative à Mario.
Heureusement pour lui, notre “héros” dispose de l’ectoblast 5000, sorte de gros aspirateur, pour capturer les fantômes. Il ne suffira cependant pas de l’agiter vaguement dans la direction des fantômes en espérant les enfermer dans le sac à poussière. Vous devrez tout d’abord éblouir les revenants à l’aide du Spectroflash, puis maintenir l’aspiration suffisamment longtemps pour parvenir à vaincre leur résistance.
Les différents types de fantômes rencontrés renouvellent les combats sans aucun mal, et l’alternance entre ceux-ci et les phases d’exploration rendent le jeu tout à fait prenant. Ces dernières sont l’occasion de ramasser de l’argent pour améliorer l’ectoblast, de collectionner des gemmes et de tenter de capturer le Boo caché dans chaque niveau. Capturer l’ensemble des Boos d’une maison donne accès à un niveau bonus, ce qui laisse entrevoir une bonne dose de rejouabilité car ils sont loin d’être aisés à dénicher.
Si vous vous lassez de l’aventure (qui demande une quinzaine d’heures pour être complétée), le mode multijoueur vous accueillera à bras ouverts. Permettant à quatre Luigi de chasser le fantôme ensemble, il s’avère aussi bon enfant que compétitif. Le but de chacun des trois modes de jeux disponibles est bien évidemment de nettoyer les niveaux en coopération, mais la course à l’or et à celui qui aspirera le plus de spectres se montre sans pitié une fois la partie lancée.
Cette chasse aux fantômes rate le sans-faute de peu : Luigi’s Mansion 2 possède les défauts de ses qualités. Le rythme de l’aventure pourra sembler haché à celui qui désire jouer plusieurs missions d’une traite, en raison des retours au laboratoire entre chacune d’elle. De même, si la 3D du titre est extrêmement convaincante, il n’est pas toujours très pratique de jouer avec.
L’orientation de l’aspirateur utilise en effet le gyroscope de la console, or, quand on bouge celle-ci, l’angle du regard devient trop important pour maintenir l’effet 3D. Il ne s’agit cependant là que de problèmes mineurs qui s’effacent avec le temps et qui ne sauraient gâcher le plaisir qu’on prend (pour une fois) à manier l’aspirateur.
Vous l’aurez compris, Luigi’s Mansion 2 se classe sans efforts parmi les meilleurs jeux disponibles sur 3DS. Preuve s’il en était besoin que Nintendo est encore capable de proposer d’excellentes expériences ludiques en sortant de ses sentiers battus.
La mission est loin d’être une partie de plaisir, puisque chaque habitation de la Vallée devra être visitée afin d’y récupérer les fragments de Lune. La découverte des lieux hantés est un des points forts du titre : découpée en plusieurs missions de 10 à 30 minutes, elle se prête parfaitement à une consommation nomade. Rien de tel qu’une petite chasse au fantôme dans le métro/bus qui nous amène sur notre lieu de travail !
Les différents environnements se montrent variés et rassemblent tous les poncifs du genre : murs en ruine, portes grinçantes, passages secrets, chandelles à la flamme vacillante… l’ambiance “maison hantée” est un modèle du genre, tout comme les musiques qui sont parfois fredonnées par Luigi lorsque celui-ci tente de se donner du courage.
Il s’agit peut-être d’ailleurs là de la plus grande réussite du titre : accorder une vraie personnalité au personnage du plombier. S’il se montre aussi froussard que Tartarin, ses nombreuses mimiques le rendent très attachant et le détache définitivement du statut de simple alternative à Mario.
Heureusement pour lui, notre “héros” dispose de l’ectoblast 5000, sorte de gros aspirateur, pour capturer les fantômes. Il ne suffira cependant pas de l’agiter vaguement dans la direction des fantômes en espérant les enfermer dans le sac à poussière. Vous devrez tout d’abord éblouir les revenants à l’aide du Spectroflash, puis maintenir l’aspiration suffisamment longtemps pour parvenir à vaincre leur résistance.
Les différents types de fantômes rencontrés renouvellent les combats sans aucun mal, et l’alternance entre ceux-ci et les phases d’exploration rendent le jeu tout à fait prenant. Ces dernières sont l’occasion de ramasser de l’argent pour améliorer l’ectoblast, de collectionner des gemmes et de tenter de capturer le Boo caché dans chaque niveau. Capturer l’ensemble des Boos d’une maison donne accès à un niveau bonus, ce qui laisse entrevoir une bonne dose de rejouabilité car ils sont loin d’être aisés à dénicher.
Si vous vous lassez de l’aventure (qui demande une quinzaine d’heures pour être complétée), le mode multijoueur vous accueillera à bras ouverts. Permettant à quatre Luigi de chasser le fantôme ensemble, il s’avère aussi bon enfant que compétitif. Le but de chacun des trois modes de jeux disponibles est bien évidemment de nettoyer les niveaux en coopération, mais la course à l’or et à celui qui aspirera le plus de spectres se montre sans pitié une fois la partie lancée.
Cette chasse aux fantômes rate le sans-faute de peu : Luigi’s Mansion 2 possède les défauts de ses qualités. Le rythme de l’aventure pourra sembler haché à celui qui désire jouer plusieurs missions d’une traite, en raison des retours au laboratoire entre chacune d’elle. De même, si la 3D du titre est extrêmement convaincante, il n’est pas toujours très pratique de jouer avec.
L’orientation de l’aspirateur utilise en effet le gyroscope de la console, or, quand on bouge celle-ci, l’angle du regard devient trop important pour maintenir l’effet 3D. Il ne s’agit cependant là que de problèmes mineurs qui s’effacent avec le temps et qui ne sauraient gâcher le plaisir qu’on prend (pour une fois) à manier l’aspirateur.
Vous l’aurez compris, Luigi’s Mansion 2 se classe sans efforts parmi les meilleurs jeux disponibles sur 3DS. Preuve s’il en était besoin que Nintendo est encore capable de proposer d’excellentes expériences ludiques en sortant de ses sentiers battus.
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