Afin de sauvegarder l’espèce humaine, l’homme tente de coloniser la planète EDN III. Un léger problème se pose tout de même : la planète n’est pas inoccupée et ses habitants, les Akrid, ne sont pas d’une hospitalité irréprochable.
Dans ce contexte quelque peu belliqueux, vous jouerez le rà´le de Wayne, un jeune casse-cou qui perd une partie de la mémoire suite à un affrontement un peu trop rude avec l’une des plus grosses bestioles du scénario , le « green eye ».
L’aventure va donc consister à éliminer de la surface de cette planète toutes ces bestioles en manque d’amour, à affronter d’autres factions humaines et à regagner cette parcelle de mémoire qui lui fait défaut.
On se rend vite compte que le jeu de Capcom est un savant mélange de clichés tout droit sortis du cinéma et de la littérature d’action/aventure comme The Thing de John Carpenter, Alien évidemment, mais aussi et surtout Starship Troopers de Paul Verhoeven, film qui sert de base au jeu tout entier.
Lost Planet est un pur jeu d’action, simple, efficace et bourré de qualités et c’est évidemment comme cela qu’il faut l’aborder. Le principe est simple : avancer droit devant sans se poser de questions, récupérer un maximum de munitions, choisir les deux armes dont on se servira le plus souvent, et shooter tout ce qui vous pose problèmes.
On ne peut pas reprocher à Lost Planet d’être avare en séquences d’action. En effet l’aventure n’est qu’un vaste prétexte à des affrontements contre des hordes d’insectes gigantesques, et les rares temps morts ne sont là que pour recharger ses armes ou reprendre de l’énergie thermique (he oui, ici pas de medikit, on reprend de la vie en récupérant l’énergie des monstres tués et des véhicules détruits).
Les Akrid ne bénéficient pas d’une IA très poussée si bien qu’en mode normal, on shoot sans se poser de question jusqu’au boss de la mission qui est bien souvent d’une taille démesurée mais qui possède son point faible. Une fois celui-ci trouvé, devinez quoi : ON SHOOOOOT et on esquive ses attaques.
La possibilité de piloter des VS (Vital Suit), sorte de mechas permettant de se déplacer en sécurité et de shooter les Aliens avec une puissance accrue donne un gros avantage à la dynamique du jeu d’autant que le pilotage est très simple et intuitif. Les sensations sont excellentes et la variété des engins permet d’en découvrir de nouvelles régulièrement.
Je n’ai pas rencontré de problème pour la connexion aux serveurs et le jeu ne souffre pas de lag venant perturber l’ensemble.
En conclusion, Lost Planet est indéniablement une réussite, même si le manque de renouveau est bien présent. On sait que lorsque Capcom s’attaque au registre de l’action pure, c’est souvent de bons moments en perspective.
Par contre il faut surtout avoir à l’esprit que c’est bien plus proche du « Shoot them up » que du jeu ou il faut élaborer un minimum de tactiques. Sinon c’est la déception assurée.
Note : 8,5/10
Afin de sauvegarder l’espèce humaine, l’homme tente de coloniser la planète EDN III. Un léger problème se pose tout de même : la planète n’est pas inoccupée et ses habitants, les Akrid, ne sont pas d’une hospitalité irréprochable.
Dans ce contexte quelque peu belliqueux, vous jouerez le rà´le de Wayne, un jeune casse-cou qui perd une partie de la mémoire suite à un affrontement un peu trop rude avec l’une des plus grosses bestioles du scénario , le « green eye ».
L’aventure va donc consister à éliminer de la surface de cette planète toutes ces bestioles en manque d’amour, à affronter d’autres factions humaines et à regagner cette parcelle de mémoire qui lui fait défaut.
On se rend vite compte que le jeu de Capcom est un savant mélange de clichés tout droit sortis du cinéma et de la littérature d’action/aventure comme The Thing de John Carpenter, Alien évidemment, mais aussi et surtout Starship Troopers de Paul Verhoeven, film qui sert de base au jeu tout entier.
Lost Planet est un pur jeu d’action, simple, efficace et bourré de qualités et c’est évidemment comme cela qu’il faut l’aborder. Le principe est simple : avancer droit devant sans se poser de questions, récupérer un maximum de munitions, choisir les deux armes dont on se servira le plus souvent, et shooter tout ce qui vous pose problèmes.
On ne peut pas reprocher à Lost Planet d’être avare en séquences d’action. En effet l’aventure n’est qu’un vaste prétexte à des affrontements contre des hordes d’insectes gigantesques, et les rares temps morts ne sont là que pour recharger ses armes ou reprendre de l’énergie thermique (he oui, ici pas de medikit, on reprend de la vie en récupérant l’énergie des monstres tués et des véhicules détruits).
Les Akrid ne bénéficient pas d’une IA très poussée si bien qu’en mode normal, on shoot sans se poser de question jusqu’au boss de la mission qui est bien souvent d’une taille démesurée mais qui possède son point faible. Une fois celui-ci trouvé, devinez quoi : ON SHOOOOOT et on esquive ses attaques.
La possibilité de piloter des VS (Vital Suit), sorte de mechas permettant de se déplacer en sécurité et de shooter les Aliens avec une puissance accrue donne un gros avantage à la dynamique du jeu d’autant que le pilotage est très simple et intuitif. Les sensations sont excellentes et la variété des engins permet d’en découvrir de nouvelles régulièrement.
Je n’ai pas rencontré de problème pour la connexion aux serveurs et le jeu ne souffre pas de lag venant perturber l’ensemble.
En conclusion, Lost Planet est indéniablement une réussite, même si le manque de renouveau est bien présent. On sait que lorsque Capcom s’attaque au registre de l’action pure, c’est souvent de bons moments en perspective.
Par contre il faut surtout avoir à l’esprit que c’est bien plus proche du « Shoot them up » que du jeu ou il faut élaborer un minimum de tactiques. Sinon c’est la déception assurée.
Note : 8,5/10
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