Les fans de Yakuza/Like a Dragon n’ont pas le temps d’être nostalgique étant donné le rythme de publication effréné des jeux de Ryû Ga Gotoku Studio. À peine plus d’un an après la sortie de Like a Dragon : Infinite Wealth, huitième épisode principal de la série, voici venu un spin-off qu’on peut qualifier d’audacieux.
Like a Dragon : Pirate Yakuza in Hawaii nous embarque dans une épopée à bord du Goromaru du déjanté Goro Majima. Alors, s’agit-il d’un spin-off indispensable à même de vous faire oublier la série Yakuza : Like a Dragon ? L’univers de la saga de RGG est-il un bon écrin pour les codes de la piraterie ? Après 25 heures de jeu sur PS5, on peut dire que le studio japonais relève le défi haut la main.
![Like A Dragon Pirate Yakuza In Hawaii Goro](https://www.journaldugeek.com/app/uploads/2025/02/Like-a-Dragon_-Pirate-Yakuza-in-Hawaii-Goro.jpg)
Goro Majima, figure de proue d’un casting génial
En août 2024, Goro Majima, légende des yakuzas et ancien membre du clan Tojo, se réveille échoué sur l’île de Rich Island. Il fait la connaissance de Noah, un petit garçon de 10 ans qui l’a découvert sur la plage et de son « chat » Goro.
On découvre rapidement que le Chien Fou de Shimano n’a perdu ni son humour, ni son franc-parler. En revanche, la mémoire lui fait défaut. Majima est amnésique, ce qui justifie très bien pourquoi ce membre éminent des yakuzas va se lancer dans une quête pour aider Noah à réaliser son rêve.
Les premières heures de Like a Dragon : Pirate Yakuza in Hawaii prennent le temps de poser les jalons de cette épopée pirate loin de la noirceur habituelle de la série sur son entame. Le début d’aventure un petit peu poussif, le jeu nous prenant par la main pendant un bon moment. Les réels enjeux mettent du temps à se révéler, tout comme les contenus secondaires réellement intéressants (nous y reviendrons).
Majima récupère assez vite son navire, le Goromaru, mais ce n’est pas pour autant qu’on se sent immédiatement comme un capitaine lancé dans une grande aventure à travers les mers. Heureusement, ce sentiment se fait bien ressentir après quelques heures de jeu. L’ancien Yakuza, toujours plein d’optimisme, d’humour et de courage, excelle dans son rôle de capitaine.
Le scénario, bien que comportant des enjeux moins cruciaux que dans la série principale, parvient à nous accrocher à partir du deuxième chapitre. La curiosité et l’ambition véhiculées par Majima, Noah et le reste de l’équipage crèvent l’écran et nous donnent envie d’aller au bout de cette quête de richesse teintée de fantastique (en dire plus vous gâcherait le plaisir de la découverte).
L’histoire principale véhicule de belles valeurs en toile de fond. Les personnages, nouveaux comme anciens, se montrent particulièrement touchants, non seulement grâce à une écriture très juste, mais aussi en raison d’un jeu d’acteur exceptionnel. Noah, Jason ou encore Masaru font très souvent mouche avec des répliques et des réflexions percutantes. Mention spéciale à la localisation française, retranscrivant parfaitement leurs émotions et l’humour typiquement japonais.
Notez que le scénario parvient habilement à raccrocher les wagons avec la trame narrative de la série principale, surtout avec les événements d’Infinite Wealth. Like a Dragon : Pirate Yakuza in Hawaii est donc un spin-off essentiel pour quiconque veut connaître l’histoire de Yakuza dans son intégralité (contrairement au spin-off Like a Dragon : Isshin, par exemple).
Un Yakuza pas vraiment « next-gen », mais absolument charmant
Par ailleurs, il suffit de quelques minutes pour constater que les modèles 3D des personnages principaux sont toujours aussi fins, détaillés et vivants grâce au travail de motion capture des acteurs impliqués. En revanche, on compte toujours trois « niveaux » de cut-scenes : les cinématiques importantes, les scènes doublées (les plus courantes) et celles sans doublage.
De plus, les environnements, comme les bâtiments et essentiellement la végétation, sont plutôt grossiers et datés. Il est tout de même dommage de voir que la réalisation ne franchit pas un cap en raison des limitations techniques imposées par la sortie sur consoles old-gen. Le court de trailer de Project Century dévoilé aux Game Awards 2024 nous donne un aperçu de ce qu’est un jeu RGG Studio libéré des entraves de la PS4 et de la Xbox One. À quand un Like a Dragon uniquement sur PC, PS5 et Xbox Series ?
![Like A Dragon Pirate Yakuza In Hawaii Madlantis](https://www.journaldugeek.com/app/uploads/2025/02/Like-a-Dragon_-Pirate-Yakuza-in-Hawaii-Madlantis.jpg)
Heureusement, la direction artistique nous fait oublier tout cela. Madlantis, un cimetière de bateaux servant de repaires aux pirates sans foi ni lois et toutes sortes de malfrats, nous happe autant qu’il nous intimide par son ambiance poisseuse. On retrouve également Honolulu, introduit par Yakuza : Like a Dragon, ainsi que la petite Nele Island.
Il n’y a rien de surprenant à voir RGG Studio réemployer des zones bien connues. Il s’agit de la recette grâce à laquelle le studio possède un rythme de production de jeux Yakuza si effréné. Peu importe : ces lieux servent de théâtre à des événements inédits et palpitants, c’est bien le plus important. En plus, il ne s’agit « que » du troisième épisode dans lequel on visite Honolulu, ce qui est assez peu pour quelqu’un ayant parcouru les rues de Kamurochō pendant huit opus.
Majima avec son flingue et son couteau
Que serait un Like a Dragon sans de grosses bagarres ? On retrouve ici des affrontements type beat’em all comme dans Like a Dragon Gaiden : The Man Who Erased His Name après le tour par tour des deux derniers volets majeurs. Goro Majima possède deux styles de combat. Lorsqu’il arbore celui du chien enragé (déjà présent dans Yakuza Zero), il peut attaquer avec pieds et poings en effectuant des combos grâce à sa dague légendaire.
Ce style lui permet de réaliser un dash à charger quelques instants ainsi qu’une attaque tournoyante. Grande nouveauté : il est possible de projeter ses ennemis dans les airs pour effectuer des combos aériens. Les actions de ferveur, des attaques dévastatrices à utiliser lorsque la jauge sous la barre de vie est pleine, sont toujours de la partie. L’ancien manager du cabaret Grand doit aussi compter sur l’esquive et la parade pour s’en sortir au combat.
![Like A Dragon Pirate Yakuza In Hawaii Combat](https://www.journaldugeek.com/app/uploads/2025/02/Like-a-Dragon_-Pirate-Yakuza-in-Hawaii-combat.jpg)
Bien sûr, il faut toujours passer par le déblocage d’aptitudes pour obtenir de nouveaux mouvements et actions de ferveur. Les actions les plus efficaces et les plus funs à utiliser s’apprennent de cette façon. Le nouveau style Loup de mer, plus nerveux, permet de se battre avec une épée dans chaque main. Majima fait parler toute la panoplie du pirate avec un pistolet pour attaquer à distance, un grappin pour se projeter vers les ennemis et la possibilité de transformer les coutelas en boomerang.
Ce style de combat se révèle très utile lorsque les ennemis sont nombreux et plutôt fun à utiliser en raison des gadgets à disposition. Là encore, apprendre des aptitudes se révèle essentiel pour maximiser les performances de Majima en Loup de mer. Notez que ce Pirate Yakuza in Hawaii introduit une jauge de rage grâce à laquelle vous pouvez invoquer des doubles de Majima ou utiliser une invocation surpuissante.
On aurait peut-être aimé un tout petit plus de folie dans l’utilisation des gadgets, qui se limite à quelques actions très spécifiques. Le pistolet, notamment, sert assez peu étant donné sa faible puissance. Il fait plus de dégâts lorsqu’on le charge, mais le temps manque souvent pour le faire tant les ennemis sont nombreux et agressifs.
Au final, on dispose d’à peu près tous les mouvements les plus importants après une poignée d’heures. Un autre style de combat avec un ou deux accessoires supplémentaires n’aurait pas été trop. On prend tout de même du plaisir à se confronter aussi bien à des hordes d’ennemis qu’aux nombreux boss de l’aventure. Petit conseil : si vous voulez des combats un peu plus tactiques et grisants, choisissez la difficulté Professionnel.
C’est moi, le plus grand pirate de l’île
Pirate Yakuza in Hawaii ne porte pas son nom pour rien : vous allez bien pouvoir partir à l’aventure avec votre Goromaru. Malheureusement, n’espérez pas naviguer dans un monde ouvert : les mers du jeu sont décomposées en plusieurs grandes sections séparées par des temps de chargement. Logique, étant donné l’envergure du projet et sa sortie à cheval sur deux générations de consoles.
![Like A Dragon Pirate Yakuza In Hawaii Capitaine](https://www.journaldugeek.com/app/uploads/2025/02/Like-a-Dragon_-Pirate-Yakuza-in-Hawaii-capitaine.jpg)
Au moins, la mer ne manque pas d’îles au trésor à découvrir. Il faudra poser le pied à terre et venir à bout des pirates qui s’y trouvent pour récupérer le coffre à la fin du parcours. À vous de choisir quatre personnes avec qui les conquérir en étant bien attentif à l’équilibre de votre groupe. Les brutes font office de tanks, les toubibs de soigneurs, les tireurs attaquent de loin et les mercenaires utilisent la force brute.
En mer, vous tomberez aussi sur des navires ennemis généralement assez faciles à faire couler. Vous trouverez également des ressources servant au craft, sur des marchands ou des phares permettant le voyage rapide vers une destination déjà connue. La navigation, plutôt agréable grâce à un sound design et une physique du navire réussis, manque un tout petit peu de consistance en raison du manque de surprises à découvrir en mer. Pas d’île secrète sur lesquels on se demande sur quoi on va tomber, pas de rencontres fortuites, pas d’événements aléatoires.
Le plaisir de se procurer un nouveau trésor est bien là, mais les îles sur lesquelles elles se trouvent sont de simples couloirs jonchés d’ennemis. Seuls les affrontements face à 100 ennemis sont originaux. Certes, il s’agit d’un spin-off pour lequel RGG Studio n’a sûrement pas eu un budget conséquent, mais on aurait aimé que les environnements invitent réellement à l’exploration et offrent davantage de folie. Au moins, les nouvelles compositions sont parfaitement dans le ton pour vous accompagner durant vos pérégrinations en mer et à pied. Certains morceaux semblent même tout droit venus de Pirate des Caraïbes.
Des mini-jeux à n’en plus finir adaptés à l’univers des pirates
Sans surprise, Like a Dragon : Pirate Yakuza in Hawaii comptent de nombreux mini-jeux. Le Battling Center Bang Bang s’adapte en monde de la piraterie avec ses tonneaux à détruire pour récupérer un trésor. On retrouve le mini-golf, le jeu de fléchettes et le Dragon Kart.
Prenez au-moins une fois le tramway à Aloha Beach pour débloquer une autre activité bien rigolote. La cuisine, permettant de récupérer des consommables, s’apparente aussi à un mini-jeu simple, mais efficace. Si vous voulez tester vos connaissances, essayez-vous aux QCM de l’école professionnelle d’Ounabara.
Canons, ces batailles navales ?
Les batailles navales de Like a Dragon : Pirate Yakuza in Hawaii, elles, sont assez simples sur le papier. Le Goromaru possède des canons à bâbord, à tribord, et des mitrailleuses à l’avant. Il convient de se positionner au mieux pour détruire les bateaux ennemis grâce à ces armes. Bien sûr, vos adversaires disposent également d’une artillerie lourde pour vous faire couler.
![Like A Dragon Pirate Yakuza In Hawaii Bataille Navale](https://www.journaldugeek.com/app/uploads/2025/02/Like-a-Dragon_-Pirate-Yakuza-in-Hawaii-bataille-navale.jpg)
Heureusement, lorsque vous utilisez le boost, vous pouvez effectuer une sorte de drift pour esquiver les attaques ennemies marquées en rouge. L’accélération permet même d’infliger des dégâts en fonçant à toute vitesse sur le navire adversaire. Durant une bataille navale, vous pouvez lâcher le gouvernail afin d’attaquer avec le lance-roquette de Majima. Attention, il vaut mieux utiliser un écran de fumée afin de perturber la vision adverse avant de le faire, car un Goromaru immobile est un Goromaru vulnérable.
Il peut arriver que des membres de votre équipage perdent connaissance ou que votre navire subisse une altération d’état (le gel, le poison ou la brûlure), auquel cas, il convient de lâcher le gouvernail pour rétablir la situation. Si vous prenez trop de dégâts, comptez sur votre équipage peut réparer votre bateau. En revanche, la manoeuvre rend votre Goromaru incapable d’attaquer pendant quelques secondes. En outre, le nombre de réparations possible pour faire remonter les PV durant un même affrontement est limité. Les batailles navales sont donc assez classiques, mais plutôt engageantes. Encore une fois, elles révèlent tout leur potentiel en mode de difficulté élevé face aux adversaires redoutables.
Dans certaines circonstances, vous pouvez vous lancer à l’abordage une fois les PV d’un navire arrivés à 0. S’enclenche alors une grande rixe avec des dizaines de pirates sur le pont. On se croirait presque dans Dynasty Warriors tant l’action est survoltée dans ces conditions. Ces affrontements ne diffèrent des combats classiques que par le nombre d’adversaires, mais attention tout de même à ne pas vous laisser surprend par les capitaines ennemis, plus puissants que les autres.
![Like A Dragon Pirate Yakuza In Hawaii Abordage](https://www.journaldugeek.com/app/uploads/2025/02/Like-a-Dragon_-Pirate-Yakuza-in-Hawaii-abordage.jpg)
Petite subtilité, il existe une jauge de voltage qui se remplit progressivement. Une fois pleine, vous pouvez l’activer afin que toute votre escouade bénéficie d’avantages en fonction des soutiens choisis. Méfiance, car l’équipage adverse possède sa propre jauge de voltage. L’activation de ces buffs au bon moment peut véritablement faire basculer une bagarre, apportant une dimension tactique intéressante. Notez bien que vous ne pouvez pas vous soigner avec des objets en passant par le menu durant les rixes. De quoi ajouter une bonne dose de tension à ces combats.
Ne pas mettre la charrue avant les boeufs
Une bataille navale se gagne aussi avec une bonne préparation. Vous allez donc devoir recruter des pirates pour agrandir l’équipage du Goromaru. Le recrutement de pirates peut se faire de nombreuses manières. Le PNJ intéréssé par votre troupe vous demande généralement de remplir une condition, comme lui apporter un objet, lui donner une certaine somme d’argent ou avoir un rang de pirate en particulier (il augmente en fonction des défis réalisés). Certains vous somment même d’obtenir un certain score dans un mini-jeu ou de les affronter en combat singulier.
Bien sûr, les pirates les plus forts sont les plus difficiles à obtenir, comme le Barman d’Aloha Links, qui vous demande de vous faire trente potes sur Aloha Links (oui, le réseau social est de retour). Le recrutement de pirates est un excellent moyen trouvé par RGG Studio de nous pousser à explorer son contenu annexe.
Les alliés enrôlés peuvent être placés à différents postes : aux canons à bâbord, à tribord ou aux mitrailleuses. Vous pouvez également les affecter à l’équipage d’abordage. À vous de voir quel est le meilleur choix en fonction de leurs compétences. Le second capitaine a aussi un rôle déterminant. Il vaut mieux s’assurer qu’il possède bien une capacité spéciale, cela peut faire une grande différence pendant une bataille navale.
![Like A Dragon Pirate Yakuza In Hawaii Pirates De Goro](https://www.journaldugeek.com/app/uploads/2025/02/Like-a-Dragon-Pirate-Yakuza-in-hawaii-pirates-de-goro.jpeg)
Les chefs d’équipe de vos escouades d’abordage doivent aussi être sélectionnés consciencieusement puisqu’ils peuvent augmenter votre attaque, votre défense ou votre récupération de santé. Par ailleurs, veiller au moral des alliés est primordial : s’il descend, leurs performances en pâtissent. Vous pouvez le faire remonter en leur donnant des cadeaux, voire même en organisant une fête à bord du navire.
Évidemment, l’équipement du Gormaru est personnalisable. Vous pouvez acheter des canons et des mitrailleuses soit depuis le menu de préparation, soit les fabriquer dans l’atelier de Julie à Honolulu. Dommage qu’il n’existe finalement pas tant d’armes différentes que cela, comptez-en une petite dizaine au total.
Il est aussi possible d’augmenter certains attributs du Goromaru depuis le menu de préparation, comme sa résistance ou le nombre d’écrans de fumée disponibles. Autre aspect que vous pouvez personnaliser depuis le bateau (et dans certains lieux de repos) : la tenue de Majima. Vous trouverez de multiples hauts, bas, chaussures, gants ou boucles d’oreilles à équiper pour changer son apparence. Certains sont plus difficiles à obtenir que d’autres, mais globalement, les vêtements s’obtiennent pour pas cher en magasin.
Il existe même des tenues complètes à récupérer, comme celle de zombie, de samouraï ou carrément de personnages iconiques de la licence. Le rendu des vêtements est très réussi et ne jurent pas par rapport aux pièces standards. En plus, votre Majima customisé apparaît dans l’accoutrement que vous avez défini durant les cinématiques. Le retour de cette mécanique déjà présente dans The Man Who Erased His Name, dans lequel Kiryu était hautement personnalisable, est une très bonne chose.
D’ailleurs, Majima peut équiper un anneaux à chaque doigt comme un vrai pirate. Les bagues très stylées une fois portées n’ont pas qu’une utilité cosmétique. Elles servent à augmenter l’attaque, la défense ainsi que la résistance aux balles et aux lames.
La piraterie n’est jamais finie
On se prend au jeu d’améliorer son Goromaru avant tout pour réussir les nombreux défis du Pirate’s Coliseum. Il en existe différents types : les rixes rapides vous mettent aux prises avec un navire principal (souvent accompagné de bateaux de soutien) à détruire. Ensuite, l’équipage du Goromaru se lance à l’abordage.
Les manias vous demandent d’enchaîner plusieurs rixes sur le pont. Dans les tournois des capitaines, il faut enchaîner plusieurs batailles navales et combats à bord des bateaux ennemis : autant dire qu’il s’agit des plus grands challenges du Pirate’s Coliseum. Il faut gérer habilement l’esquive, mais aussi le cooldown des canons et des mitrailleuses pour s’en sortir. Les combats sur le pont comptent plusieurs ennemis redoutables aux capacités bien agaçantes.
La dernière catégorie d’affrontements peut se débloquer uniquement si vous accomplissez la série de quêtes secondaires « Légendes des Pirates de Goro ». En clair, il s’agit d’une épopée vous mettant aux prises avec les Devil’s Flags, des pirates sanguinaires.
![Like A Dragon Pirate Yakuza In Hawaii Honolulu](https://www.journaldugeek.com/app/uploads/2025/02/Like-a-Dragon_-Pirate-Yakuza-in-Hawaii-Honolulu.jpg)
Vous allez devoir parcourir les mers pour affronter leurs navires ainsi que leurs capitaines se trouvant en mer ou sur des îles pour récupérer le trésor qu’ils ont volé. Là encore, RGG Studio parvient avec cette grande mission annexe à nous faire explorer le contenu secondaire de Pirate Yakuza in Hawaii. Notez que les 65 trésors à récupérer dans le jeu ne sont pas tous cachés sur les îles.
Vous pouvez en obtenir en utilisant le grappin, grâce auquel Majima peut se hisser en hauteur à Hawaii. Cet accessoire apporte un petit vent de fraîcheur dans l’exploration d’Honolulu. En outre, certains trésors s’obtiennent après l’accomplissement d’une quête ou encore comme récompenses dans les mini-jeux. En tout cas, ne comptez pas sur Goro, l’animal de compagnie de Noah, pour vous les rapporter. Il se contente de vous amener quelques objets ramassés ça et là de temps en temps.
Les balades à Honolulu sont aussi l’occasion de compléter la trentaine de quêtes secondaires du jeu et d’arrêter les 86 criminels recherchés par la police. De quoi vous faire quelques deniers pour débloquer les compétences de Majima et les équipements du Goromaru. Comptez une quinzaine d’heures pour terminer l’histoire en ligne droite et le double pour tout faire.
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