Parce qu’au Journal du Gamer, on adore faire les choses à l’envers. En commençant par exemple par tester la version iPhone des Sims 3, avant de s’attaquer aux versions PC et Mac. Enfin, on verra plutôt cette démarche comme le fait de prendre l’apéro avant le plat principal. Ah, logique en fait…
Il aura fallu attendre près de 4 ans pour qu’EA se décide enfin à passer la troisième, et abandonne (façon de parler) les bases posées par ses Sims 2. Forcément, en 4 ans, les mécanismes de ce second volet ont eu le temps de vieillir. Du coup, ce 3ème épisode tend à les rafraîchir un peu. Logique. Mais attardons nous tout d’abord sur les possibilités de personnalisation des Sims désormais très, très étendues (en tout cas, les différences avec les Sims 2 sont notables, et ce n’est rien de le dire…), qui permettent de composer votre avatar comme bon vous semble, aussi bien au niveau de sa morphologie qu’au niveau de sa garde robe. Garde robe qu’on pourra enrichir via la boutique en ligne du jeu, qui, vous vous en doutez n’aura que faire des Simflouzes, et qui s’intéressera au contraire à vos petits euros durement gagnés. Une option inutile pour le joueur lambda, mais qui fera sans doute craquer les fans de la série. Décidément, difficile pour la concurrence de rivaliser avec le business-model rôdé qu’est la série des Sims… Rassurez-vous : il est toutefois possibile de récupérer gratuitement le contenu crée par la communauté… De la même façon, on y voit désormais plus clair dans les traits psychologiques à attribuer à ses Sims. Bien plus “parlants”, ils permettent de façonner de manière très naturelle le caractère désiré pour son (ou ses…) Sims, et donc de choisir plus ou moins les aspirations à long terme de ses avatars. Mais n’allez pas vous imaginer que les développeurs nous ont facilité la tâche, puisqu’en parallèle, la gestion des compétences est plus complexe, et vous demandera cette fois de vous creuser la citrouille pour faire évoluer les capacité de votre Sim. Pas un mal, dans le sens où les objectifs variés empêchent de tomber dans la monotonie.
A côté de ça, on reste en terrain connu pour ce qui est des mécanismes de gameplay, améliorés dans l’ensemble, mais toujours à peu près semblables à ceux proposés par les volets précédents. Par contre, là ou ça se complique, c’est au niveau de l’interface, repensée, et donc assez fastidieuse à assimiler, dans le sens où les heures passées sur les Sims 2 avaient fini par nous conférer des reflexes qu’il faudra ici oublier. Mais à part ça, inutile d’épiloguer 107 ans sur les possibilités offertes par le jeu : créer ses Sims, se créer une vie virtuelle, se faire des amis virtuels, trouver un taf virtuel, assouvri ses envies virtuelles, et devenir si possible polygame millionnaire en simflouzes. Le tout sans se coltiner le moindre temps de chargement. Appréciable… On aime ou on aime pas, mais on ne pourra se plaindre d’avoir été pris en traitre : le jeu ne casse à aucun moment les codes posés par la série et garde son côté sandbox, tout en offrant aux joueurs la possibilité de se lancer dans un petit nombre de quêtes annexes (collections par exemple) très plaisantes. Pas fou, EA… Seule déception en fait : on regrettera qque le modèle économique des Sims 3, à la manière des volets précédents, repose une fois encore sur ses extensions à venir. Comprenez par là que nous disposons certes d’un jeu doté de nouvelles bases très présentes, mais qui demeure tout de même moins complet qu’un Sims 2 couplé à toutes ses extensions. Prévisible, mais décevant…
Impossible d’avoir un jugement tempéré face à ce 3ème volet des Sims, qu’on pourrait très bien voir comme une évolution efficace des Sims 2. C’est simple : on aime ou on déteste le concept. Après, il est certain que le jeu affiche des carences sur quelques points. Mais qui ne choqueront toutefois pas les amateurs de la série, et qui devraient de toute façon logiquement se colmater avec l’apparition, on fera confiance à EA sur ce coup là, d’une pléthore d’extensions.
Le verdict ?
Les +
Les –
Il aura fallu attendre près de 4 ans pour qu’EA se décide enfin à passer la troisième, et abandonne (façon de parler) les bases posées par ses Sims 2. Forcément, en 4 ans, les mécanismes de ce second volet ont eu le temps de vieillir. Du coup, ce 3ème épisode tend à les rafraîchir un peu. Logique. Mais attardons nous tout d’abord sur les possibilités de personnalisation des Sims désormais très, très étendues (en tout cas, les différences avec les Sims 2 sont notables, et ce n’est rien de le dire…), qui permettent de composer votre avatar comme bon vous semble, aussi bien au niveau de sa morphologie qu’au niveau de sa garde robe. Garde robe qu’on pourra enrichir via la boutique en ligne du jeu, qui, vous vous en doutez n’aura que faire des Simflouzes, et qui s’intéressera au contraire à vos petits euros durement gagnés. Une option inutile pour le joueur lambda, mais qui fera sans doute craquer les fans de la série. Décidément, difficile pour la concurrence de rivaliser avec le business-model rôdé qu’est la série des Sims… Rassurez-vous : il est toutefois possibile de récupérer gratuitement le contenu crée par la communauté… De la même façon, on y voit désormais plus clair dans les traits psychologiques à attribuer à ses Sims. Bien plus “parlants”, ils permettent de façonner de manière très naturelle le caractère désiré pour son (ou ses…) Sims, et donc de choisir plus ou moins les aspirations à long terme de ses avatars. Mais n’allez pas vous imaginer que les développeurs nous ont facilité la tâche, puisqu’en parallèle, la gestion des compétences est plus complexe, et vous demandera cette fois de vous creuser la citrouille pour faire évoluer les capacité de votre Sim. Pas un mal, dans le sens où les objectifs variés empêchent de tomber dans la monotonie.
A côté de ça, on reste en terrain connu pour ce qui est des mécanismes de gameplay, améliorés dans l’ensemble, mais toujours à peu près semblables à ceux proposés par les volets précédents. Par contre, là ou ça se complique, c’est au niveau de l’interface, repensée, et donc assez fastidieuse à assimiler, dans le sens où les heures passées sur les Sims 2 avaient fini par nous conférer des reflexes qu’il faudra ici oublier. Mais à part ça, inutile d’épiloguer 107 ans sur les possibilités offertes par le jeu : créer ses Sims, se créer une vie virtuelle, se faire des amis virtuels, trouver un taf virtuel, assouvri ses envies virtuelles, et devenir si possible polygame millionnaire en simflouzes. Le tout sans se coltiner le moindre temps de chargement. Appréciable… On aime ou on aime pas, mais on ne pourra se plaindre d’avoir été pris en traitre : le jeu ne casse à aucun moment les codes posés par la série et garde son côté sandbox, tout en offrant aux joueurs la possibilité de se lancer dans un petit nombre de quêtes annexes (collections par exemple) très plaisantes. Pas fou, EA… Seule déception en fait : on regrettera qque le modèle économique des Sims 3, à la manière des volets précédents, repose une fois encore sur ses extensions à venir. Comprenez par là que nous disposons certes d’un jeu doté de nouvelles bases très présentes, mais qui demeure tout de même moins complet qu’un Sims 2 couplé à toutes ses extensions. Prévisible, mais décevant…
Impossible d’avoir un jugement tempéré face à ce 3ème volet des Sims, qu’on pourrait très bien voir comme une évolution efficace des Sims 2. C’est simple : on aime ou on déteste le concept. Après, il est certain que le jeu affiche des carences sur quelques points. Mais qui ne choqueront toutefois pas les amateurs de la série, et qui devraient de toute façon logiquement se colmater avec l’apparition, on fera confiance à EA sur ce coup là, d’une pléthore d’extensions.
Le verdict ?
Les +
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