On a tous joué à ce jeu au moins une fois. Vous savez, lorsqu’il faut associer des mots ensemble. Je vous dit “petit” et vous répondez “ministre d’Etat”, par exemple. Le premier truc qui vous passe par l’esprit quoi. C’est un peu ce qui vient de se passer à Noà«l lorsque des personnes, parfaitement attentionnées, associent “jeu vidéo” à “tomb raider” et savent par le plus grand des hasards que vous avez une DS. Oui, on arrive donc à Tomb Raider DS.
Je trouve ce jeu d’associations de mots totalement nul. Presqu’autant que le résultat malheureux qui m’amène à vous en parler. Voici le test de Tomb Raider DS, l’héroà¯ne-icone du jeu vidéo Lara Croft qui a vu gonfler sa poitrine proportionnellement à sa popularité. Et inversement.
Comme tous les grands de ce monde, je ne vais pas faire un test complet pour tout vous décrire bla bla bla. J’ai changé.
Bon, ok, personne n’y croit. Mais ayant joué à Tomb Raider lorsque j’étais petit sur mon PC, voir une icà´ne autant bafouée pour faire du flouze, à§a m’exaspère. Voici donc une petite liste de ce qu’il faut retenir du jeu.
On aime
- Les roulades de Lara faà§on Robocop
- Le shoot au stylet (non là , c’est pas ironique, j’aime bien)
- Le manoir tellement mystérieux qu’on y découvre rien, pure innovation !
- La 3D relativement bien soignée des cinématiques, dont l’intro qui fait très film hollywoodien
- Les vies infinies
- Les copines de Lara qui rivalisent en Wonderbra
- L’impression d’être super fort parce qu’on perd jamais son chemin
Oui, je parle de moi à la 3ème personne. Je m’aime.
On n’aime pas
- La linéarité du titre : marcher sur une route prédéfinie, une sorte de rail; la faible diversité des actions pour avancer dans le jeu
- La poitrine invisible de Lara (sauf dans les cinématiques)
- Les bugs : tomber dans un trou imaginaire invisible qui nous fait tout droit arriver dans un endroit tout bleu, genre erreur fatal d’un OS bien connu
- La non-conservation des objets d’une partie à une autre
- Les ennemis qui tanguent comme si on avait bu lorsqu’on veut leur tirer dessus
- La maniabilité, elle aussi mystère, puisqu’il faut appuyer sur tous les boutons pour réussir à savoir si on peut faire quelque chose avec un objet.
- L’intelligence artificielle nulle. Vraiment.
- Les voix anglaises, malgré que j’apprécie la langue de Shakespeare, le jeu se contente de sous-titres franà§ais.
Conclusion
Durée de vie : relativement longue vu la jouabilité. Relativement courte si vous avez Meteos pas loin.
Jouabilité : Du niveau de la note que vous avez eu en Philo au Bac (et encore, je suis gentil).
Graphismes : Le premier Tomb Raider sur PC…
Note : 2.5/10
On a le sentiment d’un jeu bà¢clé au possible pour être sur la console qui a le vent en poupe à Noà«l. Au revoir, Lara.
Je trouve ce jeu d’associations de mots totalement nul. Presqu’autant que le résultat malheureux qui m’amène à vous en parler. Voici le test de Tomb Raider DS, l’héroà¯ne-icone du jeu vidéo Lara Croft qui a vu gonfler sa poitrine proportionnellement à sa popularité. Et inversement.
Comme tous les grands de ce monde, je ne vais pas faire un test complet pour tout vous décrire bla bla bla. J’ai changé.
Bon, ok, personne n’y croit. Mais ayant joué à Tomb Raider lorsque j’étais petit sur mon PC, voir une icà´ne autant bafouée pour faire du flouze, à§a m’exaspère. Voici donc une petite liste de ce qu’il faut retenir du jeu.
On aime
- Les roulades de Lara faà§on Robocop
- Le shoot au stylet (non là , c’est pas ironique, j’aime bien)
- Le manoir tellement mystérieux qu’on y découvre rien, pure innovation !
- La 3D relativement bien soignée des cinématiques, dont l’intro qui fait très film hollywoodien
- Les vies infinies
- Les copines de Lara qui rivalisent en Wonderbra
- L’impression d’être super fort parce qu’on perd jamais son chemin
Oui, je parle de moi à la 3ème personne. Je m’aime.
On n’aime pas
- La linéarité du titre : marcher sur une route prédéfinie, une sorte de rail; la faible diversité des actions pour avancer dans le jeu
- La poitrine invisible de Lara (sauf dans les cinématiques)
- Les bugs : tomber dans un trou imaginaire invisible qui nous fait tout droit arriver dans un endroit tout bleu, genre erreur fatal d’un OS bien connu
- La non-conservation des objets d’une partie à une autre
- Les ennemis qui tanguent comme si on avait bu lorsqu’on veut leur tirer dessus
- La maniabilité, elle aussi mystère, puisqu’il faut appuyer sur tous les boutons pour réussir à savoir si on peut faire quelque chose avec un objet.
- L’intelligence artificielle nulle. Vraiment.
- Les voix anglaises, malgré que j’apprécie la langue de Shakespeare, le jeu se contente de sous-titres franà§ais.
Conclusion
Durée de vie : relativement longue vu la jouabilité. Relativement courte si vous avez Meteos pas loin.
Jouabilité : Du niveau de la note que vous avez eu en Philo au Bac (et encore, je suis gentil).
Graphismes : Le premier Tomb Raider sur PC…
Note : 2.5/10
On a le sentiment d’un jeu bà¢clé au possible pour être sur la console qui a le vent en poupe à Noà«l. Au revoir, Lara.
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