Un greatest hits Guitar Hero, ne proposant en plus que des versions originales compatibles à la fois avec les micros, basses, guitares et batteries, avouez que ça aurait de quoi attiser la curiosité non ?
Les mauvaises langues ne se gêneront certainement pas pour lancer un “Encore un nouveau Guitar Hero ?”. Oui et non serions nous tentés de dire. Oui, dans le sens où il bénéficie d’un mode Carrière original (et bien foutu, c’est un fait) et d’une compatibilité avec les 4 instruments amenés avec Guitar Hero World. Non, car il ne reprend en fait que des pistes déjà inclues dans les volets précédents. D’où l’appellation “Greatest Hits”, oui. Un greatest hits qui dans tous les cas a réussi l’exploit de se rapprocher dangeureusement du sans faute (je vous laisse consulter la tracklist ici), puisqu’il s’est débarrassé des vilaines reprises (oubliées les reprises catastrophiques e Nirvana et de RATM pour ne citer que ces 2 groupes, qui rendent bien mieux dans leurs version originales…), mais finalement assez cheap, puisque limité à 48 titres (une paille en comparaison de la totalité des morceaux disponibles…)
A côté de ça, ce volet, au passage vendu en stand-alone, comprenez, sans le moindre instrument, reprend grosso modo le squelette posé par World Tour, aussi bien au niveau des modes (on retrouvera même le studio permettant d’y aller de ses propres compositions ainsi que la possibilité de créer sa rock star) que du gameplay. Et au passage, les bourrins en herbe seront d’ailleurs ravis d’apprendre que le mode Expert+, nécessitant 2 pédales de batterie à été inclus. Maintenant, la véritable question à se poser c’est “que pourront-ils apporter de plus avec Guitar Hero 5 ?”, prévu en fin d’année ?. Parce que là, franchement, on a comme l’impression que la boucle est bouclée, et que le genre a été essoré… En attendant DJ Hero ?
Difficile, que dis-je, impossible pour tout amateur du genre de passer à côté de cette compil’ ultime, affichant une tracklist aux petits oignons (mais qu’on aurait aimé plus fournie, c’est un fait), tout en s’offrant le luxe de nous proposer une pléthore d’options et de modes de jeux . En résumé, Neversoft a su compiler d’une bien jolie façon l’essence même de la série. Indispensable, on vous dit !
Le verdict ?
Les +
Les –
Les mauvaises langues ne se gêneront certainement pas pour lancer un “Encore un nouveau Guitar Hero ?”. Oui et non serions nous tentés de dire. Oui, dans le sens où il bénéficie d’un mode Carrière original (et bien foutu, c’est un fait) et d’une compatibilité avec les 4 instruments amenés avec Guitar Hero World. Non, car il ne reprend en fait que des pistes déjà inclues dans les volets précédents. D’où l’appellation “Greatest Hits”, oui. Un greatest hits qui dans tous les cas a réussi l’exploit de se rapprocher dangeureusement du sans faute (je vous laisse consulter la tracklist ici), puisqu’il s’est débarrassé des vilaines reprises (oubliées les reprises catastrophiques e Nirvana et de RATM pour ne citer que ces 2 groupes, qui rendent bien mieux dans leurs version originales…), mais finalement assez cheap, puisque limité à 48 titres (une paille en comparaison de la totalité des morceaux disponibles…)
A côté de ça, ce volet, au passage vendu en stand-alone, comprenez, sans le moindre instrument, reprend grosso modo le squelette posé par World Tour, aussi bien au niveau des modes (on retrouvera même le studio permettant d’y aller de ses propres compositions ainsi que la possibilité de créer sa rock star) que du gameplay. Et au passage, les bourrins en herbe seront d’ailleurs ravis d’apprendre que le mode Expert+, nécessitant 2 pédales de batterie à été inclus. Maintenant, la véritable question à se poser c’est “que pourront-ils apporter de plus avec Guitar Hero 5 ?”, prévu en fin d’année ?. Parce que là, franchement, on a comme l’impression que la boucle est bouclée, et que le genre a été essoré… En attendant DJ Hero ?
Difficile, que dis-je, impossible pour tout amateur du genre de passer à côté de cette compil’ ultime, affichant une tracklist aux petits oignons (mais qu’on aurait aimé plus fournie, c’est un fait), tout en s’offrant le luxe de nous proposer une pléthore d’options et de modes de jeux . En résumé, Neversoft a su compiler d’une bien jolie façon l’essence même de la série. Indispensable, on vous dit !
Le verdict ?
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