Après plusieurs années d’attente, voici qu’un Grand Theft Auto repointe le bout de son nez sur une console de Nintendo. Et au grand dam des possesseurs de Wii, c’est la DS qui accueille cet épisode… Episode qui plus est totalement inédit, qui nous plonge dans l’enfer de la mafia Chinoise implantée aux USA. Après un GTA IV magistral, Rockstar nous propose donc une nouvelle immersion dans Liberty City ! La recette prendra-elle ? Réponse plus que positive dans ce test !
Lorsque Huang Lee a quitté la Chine pour Liberty City il ne s’attendait pas à se prendre une balle en pleine tête dès sa descente d’avion. Et ne parlons pas du fait que ses agresseurs l’ont ensuite jeté à la flotte, enfermé dans une voiture…. Miraculeusement remis sur pied et délesté d’une épée familiale, Huang va donc rejoindre son oncle, membre important des Triades de Liberty City afin de tenter d’en savoir plus sur cette agression mais aussi sur l’assassinat de son père… Rockstar nous propose donc de prendre en main ce jeune Chinois, fils de bonne famille, qui va tenter de se faire une place dans la pègre locale. Inutile de vous spoiler plus : préparez vous à des missions variées, dans la pure tradition des épisodes précédents, et menées une fois de plus par une intrigue rondement menée !
Comme nous vous l’annoncions, GTA : Chinatown Wars est une pure claque graphique avec sa vue de dessus rappelant les premiers épisodes de la série, qui nous permet de nous immerger d’une bien belle façon au sein d’une mégapole toute en 3D quasiment aussi vaste que celle de GTA IV. Une véritable prouesse technique pour une console qu’on ne pensait pas capable de gérer une telle aire de jeu… C’est simple : une tonne de détails viennent agrémenter cette maestria technique : cycles jour/nuit, météo variable, passants qui déploient leur parapluie les jours de pluie, véhicules variées (voitures, camions, motos, bateaux) et moteur physique autorisant de splendides cascades lors de chocs violents. Et des chocs il va y en avoir ! Particulièrement avec les forces de l’ordre qui se feront un plaisir de vous poursuivre au moindre écart. Et comme dans tous les épisodes de la série, pour faire diminuer votre indice de recherche, outre le fait de vous planquer dans un endroit et attendre que ça se tasse, vous pourrez tenter de mener vos poursuivants à se crasher lamentablement contre les autres voitures ou les éléments du décor. Un véritable plaisir, tant la prise en main des véhicules est aisée ! (un peu plus arcade qu’à l’accoutumée, certes). Et pour ne rien gâcher, vous pourrez en plus mettre en ligne vos statistiques de jeu et de les comparer entre amis, via WiFi. Histoire de voir qui est vraiment le “most wanted”.
Autre nouveauté, l’utilisation des capacités tactiles de la console via une pléthore de mini-jeux. Ainsi, afin de désactiver l’alarme de certaines voitures, bidouiller leur démarreur, fouiller des poubelles, saboter le moteur du véhicule d’un rival, exercer le métier de tatoueur ou tenter votre chance en grattant un Millionnaire, vous devrez passer au préalable via une épreuve tactile d’une dizaine de secondes. Souvent courtes, ces phases sont toujours globalement réussies, même s’il est vrai que dans la précipitation d’une mission chronométrée, il est plutôt rageant de perdre du temps à désactiver l’alarme d’une voiture avant de la voler.
Nous vous parlions dans la preview de l’importance du commerce de drogues dans Liberty City. Très riche, cette phase du jeu, même si elle n’est pas indispensable, permet, une fois maitrisée, de se faire un bon petit pactole ! Il serait donc dommage de passer à côté de ces missions secondaires. Le dernier gros point fort de ce GTA : Chinatown Wars réside dans le PDA qui remplace le téléphone portable de GTA IV. Cet outil est une merveille car il regroupe toutes les informations de votre partie : e-mails, GPS, statistiques sur le commerce de drogues, connexion au Wifi et bien d’autres choses. Il y aurait encore beaucoup à dire sur ce GTA comme la conservation des différentes radios dans les véhicules (certes, seul des morceaux instrumentaux sont diffusés), les phases de dialogue et briefing intermédiaires façon BD, les petits messages vocaux aléatoires lorsque l’on ouvre et ferme le capot de la DS, les possibilités multi-joueurs… Mais inutile d’en dire plus : Rockstar Leeds a bel et bien réussi à nous proposer un GTA pur souche sur DS. Chapeau !
Alors que nous aurions pu craindre d’hériter d’un GTA au rabais, Rockstar Leeds nous prend à contre-pied en offrant un épisode carré, bourré d’innovations en tout genre. Techniquement incroyable et proposant des missions dans le plus pur esprit de la série (agrémentés de mini-jeux tirant partie de la DS) GTA : Chinatown Wars est une véritable leçon pour tous les éditeurs souhaitant porter leurs licences sur la portable de Nintendo. Un titre mature à ne pas mettre entre toutes les mains, mais qui s’inscrit dors et déjà au panthéon des jeux DS. Vous savez ce qu’il vous reste à faire…
Le verdict ?
Les +
Les –
Lorsque Huang Lee a quitté la Chine pour Liberty City il ne s’attendait pas à se prendre une balle en pleine tête dès sa descente d’avion. Et ne parlons pas du fait que ses agresseurs l’ont ensuite jeté à la flotte, enfermé dans une voiture…. Miraculeusement remis sur pied et délesté d’une épée familiale, Huang va donc rejoindre son oncle, membre important des Triades de Liberty City afin de tenter d’en savoir plus sur cette agression mais aussi sur l’assassinat de son père… Rockstar nous propose donc de prendre en main ce jeune Chinois, fils de bonne famille, qui va tenter de se faire une place dans la pègre locale. Inutile de vous spoiler plus : préparez vous à des missions variées, dans la pure tradition des épisodes précédents, et menées une fois de plus par une intrigue rondement menée !
Comme nous vous l’annoncions, GTA : Chinatown Wars est une pure claque graphique avec sa vue de dessus rappelant les premiers épisodes de la série, qui nous permet de nous immerger d’une bien belle façon au sein d’une mégapole toute en 3D quasiment aussi vaste que celle de GTA IV. Une véritable prouesse technique pour une console qu’on ne pensait pas capable de gérer une telle aire de jeu… C’est simple : une tonne de détails viennent agrémenter cette maestria technique : cycles jour/nuit, météo variable, passants qui déploient leur parapluie les jours de pluie, véhicules variées (voitures, camions, motos, bateaux) et moteur physique autorisant de splendides cascades lors de chocs violents. Et des chocs il va y en avoir ! Particulièrement avec les forces de l’ordre qui se feront un plaisir de vous poursuivre au moindre écart. Et comme dans tous les épisodes de la série, pour faire diminuer votre indice de recherche, outre le fait de vous planquer dans un endroit et attendre que ça se tasse, vous pourrez tenter de mener vos poursuivants à se crasher lamentablement contre les autres voitures ou les éléments du décor. Un véritable plaisir, tant la prise en main des véhicules est aisée ! (un peu plus arcade qu’à l’accoutumée, certes). Et pour ne rien gâcher, vous pourrez en plus mettre en ligne vos statistiques de jeu et de les comparer entre amis, via WiFi. Histoire de voir qui est vraiment le “most wanted”.
Autre nouveauté, l’utilisation des capacités tactiles de la console via une pléthore de mini-jeux. Ainsi, afin de désactiver l’alarme de certaines voitures, bidouiller leur démarreur, fouiller des poubelles, saboter le moteur du véhicule d’un rival, exercer le métier de tatoueur ou tenter votre chance en grattant un Millionnaire, vous devrez passer au préalable via une épreuve tactile d’une dizaine de secondes. Souvent courtes, ces phases sont toujours globalement réussies, même s’il est vrai que dans la précipitation d’une mission chronométrée, il est plutôt rageant de perdre du temps à désactiver l’alarme d’une voiture avant de la voler.
Nous vous parlions dans la preview de l’importance du commerce de drogues dans Liberty City. Très riche, cette phase du jeu, même si elle n’est pas indispensable, permet, une fois maitrisée, de se faire un bon petit pactole ! Il serait donc dommage de passer à côté de ces missions secondaires. Le dernier gros point fort de ce GTA : Chinatown Wars réside dans le PDA qui remplace le téléphone portable de GTA IV. Cet outil est une merveille car il regroupe toutes les informations de votre partie : e-mails, GPS, statistiques sur le commerce de drogues, connexion au Wifi et bien d’autres choses. Il y aurait encore beaucoup à dire sur ce GTA comme la conservation des différentes radios dans les véhicules (certes, seul des morceaux instrumentaux sont diffusés), les phases de dialogue et briefing intermédiaires façon BD, les petits messages vocaux aléatoires lorsque l’on ouvre et ferme le capot de la DS, les possibilités multi-joueurs… Mais inutile d’en dire plus : Rockstar Leeds a bel et bien réussi à nous proposer un GTA pur souche sur DS. Chapeau !
Alors que nous aurions pu craindre d’hériter d’un GTA au rabais, Rockstar Leeds nous prend à contre-pied en offrant un épisode carré, bourré d’innovations en tout genre. Techniquement incroyable et proposant des missions dans le plus pur esprit de la série (agrémentés de mini-jeux tirant partie de la DS) GTA : Chinatown Wars est une véritable leçon pour tous les éditeurs souhaitant porter leurs licences sur la portable de Nintendo. Un titre mature à ne pas mettre entre toutes les mains, mais qui s’inscrit dors et déjà au panthéon des jeux DS. Vous savez ce qu’il vous reste à faire…
Le verdict ?
Les +
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