Pour beaucoup de fans Playstation, Kratos et la série dont il est le héros God of war, représentent le best of du beat’em all… Alors que le troisième opus sera disponible la semaine prochaine, voici notre test de ce nouveau volet tant attendu… Réussira-t-il, avec la pression qu’il a sur les épaules, à répondre aux attentes des fans ? C’est ce que l’on va voir tout de suite !
Evidemment, on reprend en main Kratos alors qu’il s’apprête à “grimper” le long du mont Olympe pour aller foutre la branlée du siècle à son papounet d’amour (Zeus étant le père de tous les Grecs… ou presque ) avec ses potes les titans. Evidemment Zeus ne l’entend pas de cette oreille, et a lui aussi ses potes ! (En fait il a monté une équipe de Dieux) pour tenter de repousser le vil traître. Ainsi, le scénario dépeint les actions de Kratos qui essaye par tous les moyens (et avec toute la violence qui le caractérise) d’atteindre Zeus. Le scénario sans être “énorme”, reste bien écrit, avec tout de même pas mal de suspens. Mais bon le ton est donné dés le départ, et il n’y a pas vraiment de quoi partir dans une autre direction. C’est de la mythologie, version simple et efficace, à l’Hollywoodienne !
Si vous avez joué aux deux premiers opus, vous n’aurez pas énormément de surprises au niveau du level design. La quête est complètement linéaire, avec aucun embranchement dans les niveaux, malgré leurs tailles colossales. Les endroits inaccessibles s’ouvriront une fois que vous aurez récupérer le pouvoir qui va bien. Kratos est bien entendu équipé pour la guerre, et il récupérera au fur et à mesure des boss des armes spéciales qui pourront être améliorées via les orbes rouges que vous récupérez lors des combats. A la fin du jeu, vous aurez presqu’autant de mouvements que dans Ninja Gaiden, très largement orientés vers l‘offensif. La magie quant à elle a son propre réservoir de mana (bleu), qui se remplit via des orbes de la même couleur. La dernière jauge (jaune) servant pour les armes secondaires et les objets, elle, se rempli toute seule au fil du temps.
Le jeu est donc un mélange de beat’em all, avec des phases de plateformes, de puzzles assez simples, et de récupération d’items permettant de débloquer des zones ou des puzzles. Notons par exemple que parmi les objets à collectionner, vous trouverez par exemple la tête du dieu Hélios qui permet de s’éclairer de combattre les zombies… Et enfin il vous faudra, pour augmenter la capacité de vos jauges, récupérer des œils de gorgones, des plumes de phœnix et des cornes de minotaures. On ne plaisante pas… A côté de ça, on retrouve les combats avec les boss qui sont un peu une marque de fabrique de la franchise. Ils sont bien évidemment bourrés de QTE, mais il reste bien assez de combat classiques pour ne laisser poindre la moindre once de monotonie, où il faudra trouver la faiblesse de votre ennemi pour le vaincre.
Au niveau de la durée de vie maintenant, en admettant que vous ayez fini les deux premiers opus, vous devriez pouvoir vous sortir de God of War III en une dizaine d’heures. Mais le mode de difficulté Chaos devrait rajouter un peu de challenge. Le mode arène pourra lui aussi être utile pour affiner un peu vos techniques de combats. En fait, God of war III réussi le challenge de (d’aucuns diront malheureusement) conserver son gameplay d’origine, sans lorgner du côté des nouveaux venus que peuvent être Dante ou Bayonetta. Le jeu est définitivement porté vers l’offensif, et il vous faudra apprendre le rythme de chaque arme pour pouvoir en devenir le maître. Une fois les armes maitrisées, et que vous aurez le bon réflexe de rouler au moment où cela devient dangereux, vous n’aurez presque pas besoin des mouvements de défense et de contre…
Le choix des armes reste surtout une affaire de goût car elles sont assez équilibrées, a vous d’augmenter celle qui vous plaira le plus. Vous pourrez de toute façon en changer très rapidement via le pad directionnel. De toute façon, le massacre sanglant n’a qu’un but, atteindre le finish en QTE qui balancera encore plus de sang partout. Je vous recommande de faire le jeu au niveau de difficulté situé entre le mode normal et le mode chaos, car le mode normal ne représente qu’assez peu de challenge. Les parties plate-forme du titre sont une sinécure, surtout à cause de la caméra, qui est malheureusement fixe. Les passages sur les Titans sont à la hauteur de leur buzz marketing, mais si ces scènes resteront d’anthologie, elles ne sont pas les meilleurs passages du titre malgré tout. Comme le level design, le gameplay reste vraiment très proche de ce qui avait été fait dans les précédents opus.
C’est beau comme un temple grec cette histoire… La PS3 tient enfin son titre référence du point de vue de la réalisation. Uncharted 2 avait mis la barre haut, mais Kratos et son cortège de créatures hautes comme des immeubles en jettent encore plus pleins les yeux. Les titans, entièrement animés alors que nous continuons à nous battre sur un de leurs bras jouent clairement dans le jamais vu. La musique est elle aussi très réussie, et les effets sonores sont très bon, avec un petit plus pour le bruit des armes en général, qui, pour le peu que vous soyez équipés hi-fi, vous feront froid dans le dos… En plus de ça, les détails déployés dans les parties les plus gores (comme les giclées de sang) du titres sont infâmes de justesse, et cela joue beaucoup. La caméra reste le point le plus gênant du titre, ce qui ma foi reste également un des crédos de la série…
Pour conclure rapidement, oui, il est peut être un peu court, et pas vraiment novateur, et il s’affiche peut-être d’un level design sur rails et d’un gameplay qui ne bouge pas réellement, mais God of War III reste une production herculéenne. Certains passages sont tout simplement épiques, et resteront longtemps dans nos mémoires de gamers. Classique, mais (diablement) efficace…
Le verdict ?
Les +
– Une réalisation hors du commun
– Des passages épiques
Les –
– Pas très innovant
– La caméra fixe très fatigante
Evidemment, on reprend en main Kratos alors qu’il s’apprête à “grimper” le long du mont Olympe pour aller foutre la branlée du siècle à son papounet d’amour (Zeus étant le père de tous les Grecs… ou presque ) avec ses potes les titans. Evidemment Zeus ne l’entend pas de cette oreille, et a lui aussi ses potes ! (En fait il a monté une équipe de Dieux) pour tenter de repousser le vil traître. Ainsi, le scénario dépeint les actions de Kratos qui essaye par tous les moyens (et avec toute la violence qui le caractérise) d’atteindre Zeus. Le scénario sans être “énorme”, reste bien écrit, avec tout de même pas mal de suspens. Mais bon le ton est donné dés le départ, et il n’y a pas vraiment de quoi partir dans une autre direction. C’est de la mythologie, version simple et efficace, à l’Hollywoodienne !
Si vous avez joué aux deux premiers opus, vous n’aurez pas énormément de surprises au niveau du level design. La quête est complètement linéaire, avec aucun embranchement dans les niveaux, malgré leurs tailles colossales. Les endroits inaccessibles s’ouvriront une fois que vous aurez récupérer le pouvoir qui va bien. Kratos est bien entendu équipé pour la guerre, et il récupérera au fur et à mesure des boss des armes spéciales qui pourront être améliorées via les orbes rouges que vous récupérez lors des combats. A la fin du jeu, vous aurez presqu’autant de mouvements que dans Ninja Gaiden, très largement orientés vers l‘offensif. La magie quant à elle a son propre réservoir de mana (bleu), qui se remplit via des orbes de la même couleur. La dernière jauge (jaune) servant pour les armes secondaires et les objets, elle, se rempli toute seule au fil du temps.
Le jeu est donc un mélange de beat’em all, avec des phases de plateformes, de puzzles assez simples, et de récupération d’items permettant de débloquer des zones ou des puzzles. Notons par exemple que parmi les objets à collectionner, vous trouverez par exemple la tête du dieu Hélios qui permet de s’éclairer de combattre les zombies… Et enfin il vous faudra, pour augmenter la capacité de vos jauges, récupérer des œils de gorgones, des plumes de phœnix et des cornes de minotaures. On ne plaisante pas… A côté de ça, on retrouve les combats avec les boss qui sont un peu une marque de fabrique de la franchise. Ils sont bien évidemment bourrés de QTE, mais il reste bien assez de combat classiques pour ne laisser poindre la moindre once de monotonie, où il faudra trouver la faiblesse de votre ennemi pour le vaincre.
Au niveau de la durée de vie maintenant, en admettant que vous ayez fini les deux premiers opus, vous devriez pouvoir vous sortir de God of War III en une dizaine d’heures. Mais le mode de difficulté Chaos devrait rajouter un peu de challenge. Le mode arène pourra lui aussi être utile pour affiner un peu vos techniques de combats. En fait, God of war III réussi le challenge de (d’aucuns diront malheureusement) conserver son gameplay d’origine, sans lorgner du côté des nouveaux venus que peuvent être Dante ou Bayonetta. Le jeu est définitivement porté vers l’offensif, et il vous faudra apprendre le rythme de chaque arme pour pouvoir en devenir le maître. Une fois les armes maitrisées, et que vous aurez le bon réflexe de rouler au moment où cela devient dangereux, vous n’aurez presque pas besoin des mouvements de défense et de contre…
Le choix des armes reste surtout une affaire de goût car elles sont assez équilibrées, a vous d’augmenter celle qui vous plaira le plus. Vous pourrez de toute façon en changer très rapidement via le pad directionnel. De toute façon, le massacre sanglant n’a qu’un but, atteindre le finish en QTE qui balancera encore plus de sang partout. Je vous recommande de faire le jeu au niveau de difficulté situé entre le mode normal et le mode chaos, car le mode normal ne représente qu’assez peu de challenge. Les parties plate-forme du titre sont une sinécure, surtout à cause de la caméra, qui est malheureusement fixe. Les passages sur les Titans sont à la hauteur de leur buzz marketing, mais si ces scènes resteront d’anthologie, elles ne sont pas les meilleurs passages du titre malgré tout. Comme le level design, le gameplay reste vraiment très proche de ce qui avait été fait dans les précédents opus.
C’est beau comme un temple grec cette histoire… La PS3 tient enfin son titre référence du point de vue de la réalisation. Uncharted 2 avait mis la barre haut, mais Kratos et son cortège de créatures hautes comme des immeubles en jettent encore plus pleins les yeux. Les titans, entièrement animés alors que nous continuons à nous battre sur un de leurs bras jouent clairement dans le jamais vu. La musique est elle aussi très réussie, et les effets sonores sont très bon, avec un petit plus pour le bruit des armes en général, qui, pour le peu que vous soyez équipés hi-fi, vous feront froid dans le dos… En plus de ça, les détails déployés dans les parties les plus gores (comme les giclées de sang) du titres sont infâmes de justesse, et cela joue beaucoup. La caméra reste le point le plus gênant du titre, ce qui ma foi reste également un des crédos de la série…
Pour conclure rapidement, oui, il est peut être un peu court, et pas vraiment novateur, et il s’affiche peut-être d’un level design sur rails et d’un gameplay qui ne bouge pas réellement, mais God of War III reste une production herculéenne. Certains passages sont tout simplement épiques, et resteront longtemps dans nos mémoires de gamers. Classique, mais (diablement) efficace…
Le verdict ?
Les +
– Une réalisation hors du commun
– Des passages épiques
Les –
– Pas très innovant
– La caméra fixe très fatigante
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