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Test: Ghost Recon Advanced Warfighter 2 (X360)

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Pratiquement un an jour pour jour après la sortie du premier épisode next-gen, à  grands renforts de boum et autres tacatacatac, voici qu’arrive la cuvée 2007. Si peu de temps entre les 2 épisodes, en règle générale à§a en laisse assez peu aux développeurs pour trouver de bonnes idées. Pourtant ce 2ème épisode d’une des licences au nom le plus long recèle quelques innovations bienvenues par rapport à  son aà®né. Est-ce suffisant sur la durée, ce titre vaut-il les 70€ affichés sur l’étiquette? Montez vite dans le Blackhawk, on va vérifier in situ!

Pratiquement un an jour pour jour après la sortie du premier épisode next-gen, à  grands renforts de boum et autres tacatacatac, voici qu’arrive la cuvée 2007. Si peu de temps entre les 2 épisodes, en règle générale à§a en laisse assez peu aux développeurs pour trouver de bonnes idées. Pourtant ce 2ème épisode d’une des licences au nom le plus long recèle quelques innovations bienvenues par rapport à  son aà®né.

Est-ce suffisant sur la durée, ce titre vaut-il les 70€ affichés sur l’étiquette? Montez vite dans le Blackhawk, on va vérifier in situ!

C’est officiel, la série des Ghost Recon n’a plus grand chose à  voir avec la quintessence de la tactique et les séances de rampement, ramping, rampation? bref, d’avancée à  plat ventre sur 4km du premier opus. Pour le coup, c’est Tom Clancy qui doit se retourner dans sa tombe.

Encore faudrait-il qu’il soit mort.

Certes. Néanmoins, cet abandon du cà´té tactique pour réorienter le jeu vers le grand public et subséquemment le grand spectacle n’est pas pour déplaire. De toute faà§on pour l’aspect « tactique pure et assauts synchronisés réglés au poil de zgegue près », il reste la série des Rainbow Six qui, elle, peut se targ… Ben non, c’est vrai. Rainbow Six aussi s’est dit qu’une mise en scène plus punchy relancerait les ventes. Foutu capitalisme,tiens.

Le bon goût de la campagne

Ce Ghost Recon Advanced Warfighter 2 serait donc d’après mon almanach des franchises, Ghost Recon 4. Je ne compte pas les différents add-ons, sinon Ubisoft finirait par mettre les années en guise d’épisode.

Ghost Recon 2007 vous remet donc dans la peau du Cpt Mitchell, victime consentante du stakhanovisme militaire des Etats-Unis d’Amérique et d’Ubisoft. Après avoir sauvé le Mexique et plus largement le continent américain, le bon capitaine est envoyé sur la frontière, à  Juarez, pour finir le travail avec ces rebelles qui décidément ne respectent rien.

A vous les missions de soutien, d’infiltration, d’élimination et d’Operation Wolf pour les passages dits de « Tir au conanards » à  bord du Blackhawk qui vous sert de véhicule de fonction.

On ne change pas une recette de winners.

Autant le dire tout de suite, le premier GRAW m’avait surpris par sa fin –un peu- abrupte (on tire sur tout ce qui bouge et paf, générique, merci, au revoir, on ferme). Eh bien à  première vue, celle de GRAW 2 devrait être du même tonneau (je suppute, j’ai pas encore fini).

Là  encore les missions s’enchaà®nent sans discontinuer (le seul répit est l’écran de sélection des armes), et vous propose de vous promener dans l’arrière-pays américano-mexicain, épaulé par vos coéquipiers Ghosts, votre drone de compagnie et tout les véhicules que le gouvernement voudra bien mettre à  votre disposition (TT Stryker, hélicoptère Apache…)

Et sinon, quoi de neuf ?

Et là  intervient le premier changement : à  certains moments, les forces locales mettront à  votre disposition leurs soldats, locaux donc. Charge à  vous de les guider au mieux à  travers les maps. Il arrivera même que ces soldats se joignent à  votre escouade Ghost, permettant alors de gérer deux escouades en parallèle, offrant un délicieux parfum de Ghost Recon, le seul, le vrai, l’unique.

Le path-finding déjà  assez réussi du premier opus est encore amélioré et vos coéquipiers ne resteront plus comme des à¢nes au milieu d’une avenue lors d’un échange musclé avec l’opposition.

Petit plus : les commentaires alliés vous renseignent sur l’opposition et il est très plaisant d’entendre un « Capitaine, un, non, deux ennemis près du taxi ! ». D’autant que ces informations dynamiques arrivent vraiment dans les temps.

Concernant le reste, ce GRAW 2 est un habile mix entre GRAW X360 et GRAW PC sorti l’année dernière. Ainsi, en maintenant RB, il est désormais possible (comme sur PC) de passer la vue de vos coéquipiers/drones/autres en vue plein écran, plus pratique pour comprendre ce qui se passe et donner les ordres qui vont bien.

Dans le même ordre d’idée, vous pouvez assigner une cible à  vos coéquipiers/drones/autres afin qu’ils la tuent/suive/tuent, ce qui s’avère particulièrement pratique.

Le M.U.L.E. a fait son entrée : ce véhicule terrestre n’est finalement rien de plus qu’un conteneur d’armes mobile. Ce qui sous-entend qu’en fonction de l’opposition, vous serez amené à  changer d’arsenal en plein milieu d’une map. Bon, il est censé pouvoir faire de la reconnaissance mais bizarrement les ennemis qui le croisent cherchent à  le détruire, je ne m’explique pas pourquoi.

En dehors de ces quelques points, qui sont plus des ajustements, c’est morne plaine. Ah tiens, parlons-en des plaines, justement : Les devs se sont rendus compte qu’un jeu entier en milieu urbain, à§a laissait planer un goût de claustrophobie alors ils ont prévu des maps un peu plus ouvertes, aussi bien en termes d’environnements que de chemins de progression pour laisser s’exprimer votre créativité guerrière.

Ajoutez à  cela un meilleur rendu des explosions, la gestion réaliste des fumées en tout genre et un semblant de cycle jour-nuit et vous aurez toutes les nouveautés apportées par ce GRAW 2.

Cake au GRAW Live.

Heureusement que cette campagne solo est rattrapée par un mode Multi à  la hauteur. C’est tout simple : ce mode s’avère excellent.

Première chose à  noter : cette fois-ci le mode multi n’est pas une repompe améliorée du moteur graphique de GR2. Là  on joue en multi avec le même moteur que la campagne Solo, et à§a se voit.

Les modes de jeu sont pléthore, les serveurs un peu moins mais gageons que cela devrait s’étoffer au fur et à  mesure.

La gestion des classes est présente et permet aux joueurs de gagner des points bonus en fonction des prérogatives propres à  leur classe (un fusilier gagne des points en restant en mouvement en permanence, un médecin en soignant, etc…)

Le mode agonie est présent et parfois un tir vous blessera sans vous tuer, permettant à  vos coéquipiers de vous remettre sur pieds, à  condition toutefois que l’adversaire ne se charge pas de vous achever (ce qui arrive tout le temps, d’ailleurs).

La sélection des armes se fait avant chaque respawn, vous permettant d’affiner votre choix en fonction de la map et il est enfin tout à  fait possible de dézinguer un sniper en mode camping à  200m avec un fusil d’assaut réglé au coup par coup, à´ joie.

En conclusion

Que penser de ce GRAW 2… Le jeu, bien que réussi et apportant pourtant quelques nouveautés, n’est finalement qu’un GRAW 1.5 ou plutà´t ce que GRAW aurait dû être si les développeurs avaient eu le temps d’aller jusqu’au bout. Si vous êtes des habitués du JDGa, vous savez ce que je pense des jeux en kit, à  plus forte raison lorsque l’add-on se paye 70€. Heureusement que le mode multi-joueurs rattrape la sauce. Encore faut-il avoir accès au Live.

Le coin du techos

Graphismes : pas de surprise, GRAW 2 est encore plus beau que son prédécesseur, la physique à  été améliorée, les effets de fumée, d’explosion, l’alternance jour-nuit, tout y est. Il subsiste des textures parfois grossières et la modélisation est perfectible par endroits mais on s’y fait.

Animations : rien à  dire, le jeu ne saccade qu’en de rares occasions, les mouvements des Ghosts est impeccable, RAS.

Jouabilité : passé les premiers instants, le maniement du perso principal mais aussi de tout son attirail (drone, mule, PNJ…) devient presque naturel. Je dis presque parce que je trouve à§a énervant de devoir faire un appui long + BMD pour changer la cadence de tir.

Sons : du tout bon, musiques en phase avec l’action, héroà¯ques juste quand il faut, commentaires alliés dans le ton, et guérilleros qui ont tous fait un stage au Cuba Compagnie, on en redemande.

Durée de vie : la campagne solo ne devrait pas résister longtemps aux assauts des joueurs (comme l’épisode précédent finalement) mais le mode Multi risque d’occuper pas mal après coup, d’autant que le nombre de maps et de modes de jeu est plus qu’honorable.

Note : 7/10 pour les joueurs sans compte XBox Live Gold

8/10 pour les joueurs connectés et qui n’ont pas peur.

Nos gamertags pour les plus fortunés intrépides d’entre vous:

Daz JDGa
Jump360
NeoAngel JDG

Pratiquement un an jour pour jour après la sortie du premier épisode next-gen, à  grands renforts de boum et autres tacatacatac, voici qu’arrive la cuvée 2007. Si peu de temps entre les 2 épisodes, en règle générale à§a en laisse assez peu aux développeurs pour trouver de bonnes idées. Pourtant ce 2ème épisode d’une des licences au nom le plus long recèle quelques innovations bienvenues par rapport à  son aà®né.

Est-ce suffisant sur la durée, ce titre vaut-il les 70€ affichés sur l’étiquette? Montez vite dans le Blackhawk, on va vérifier in situ!

C’est officiel, la série des Ghost Recon n’a plus grand chose à  voir avec la quintessence de la tactique et les séances de rampement, ramping, rampation? bref, d’avancée à  plat ventre sur 4km du premier opus. Pour le coup, c’est Tom Clancy qui doit se retourner dans sa tombe.

Encore faudrait-il qu’il soit mort.

Certes. Néanmoins, cet abandon du cà´té tactique pour réorienter le jeu vers le grand public et subséquemment le grand spectacle n’est pas pour déplaire. De toute faà§on pour l’aspect « tactique pure et assauts synchronisés réglés au poil de zgegue près », il reste la série des Rainbow Six qui, elle, peut se targ… Ben non, c’est vrai. Rainbow Six aussi s’est dit qu’une mise en scène plus punchy relancerait les ventes. Foutu capitalisme,tiens.

Le bon goût de la campagne

Ce Ghost Recon Advanced Warfighter 2 serait donc d’après mon almanach des franchises, Ghost Recon 4. Je ne compte pas les différents add-ons, sinon Ubisoft finirait par mettre les années en guise d’épisode.

Ghost Recon 2007 vous remet donc dans la peau du Cpt Mitchell, victime consentante du stakhanovisme militaire des Etats-Unis d’Amérique et d’Ubisoft. Après avoir sauvé le Mexique et plus largement le continent américain, le bon capitaine est envoyé sur la frontière, à  Juarez, pour finir le travail avec ces rebelles qui décidément ne respectent rien.

A vous les missions de soutien, d’infiltration, d’élimination et d’Operation Wolf pour les passages dits de « Tir au conanards » à  bord du Blackhawk qui vous sert de véhicule de fonction.

On ne change pas une recette de winners.

Autant le dire tout de suite, le premier GRAW m’avait surpris par sa fin –un peu- abrupte (on tire sur tout ce qui bouge et paf, générique, merci, au revoir, on ferme). Eh bien à  première vue, celle de GRAW 2 devrait être du même tonneau (je suppute, j’ai pas encore fini).

Là  encore les missions s’enchaà®nent sans discontinuer (le seul répit est l’écran de sélection des armes), et vous propose de vous promener dans l’arrière-pays américano-mexicain, épaulé par vos coéquipiers Ghosts, votre drone de compagnie et tout les véhicules que le gouvernement voudra bien mettre à  votre disposition (TT Stryker, hélicoptère Apache…)

Et sinon, quoi de neuf ?

Et là  intervient le premier changement : à  certains moments, les forces locales mettront à  votre disposition leurs soldats, locaux donc. Charge à  vous de les guider au mieux à  travers les maps. Il arrivera même que ces soldats se joignent à  votre escouade Ghost, permettant alors de gérer deux escouades en parallèle, offrant un délicieux parfum de Ghost Recon, le seul, le vrai, l’unique.

Le path-finding déjà  assez réussi du premier opus est encore amélioré et vos coéquipiers ne resteront plus comme des à¢nes au milieu d’une avenue lors d’un échange musclé avec l’opposition.

Petit plus : les commentaires alliés vous renseignent sur l’opposition et il est très plaisant d’entendre un « Capitaine, un, non, deux ennemis près du taxi ! ». D’autant que ces informations dynamiques arrivent vraiment dans les temps.

Concernant le reste, ce GRAW 2 est un habile mix entre GRAW X360 et GRAW PC sorti l’année dernière. Ainsi, en maintenant RB, il est désormais possible (comme sur PC) de passer la vue de vos coéquipiers/drones/autres en vue plein écran, plus pratique pour comprendre ce qui se passe et donner les ordres qui vont bien.

Dans le même ordre d’idée, vous pouvez assigner une cible à  vos coéquipiers/drones/autres afin qu’ils la tuent/suive/tuent, ce qui s’avère particulièrement pratique.

Le M.U.L.E. a fait son entrée : ce véhicule terrestre n’est finalement rien de plus qu’un conteneur d’armes mobile. Ce qui sous-entend qu’en fonction de l’opposition, vous serez amené à  changer d’arsenal en plein milieu d’une map. Bon, il est censé pouvoir faire de la reconnaissance mais bizarrement les ennemis qui le croisent cherchent à  le détruire, je ne m’explique pas pourquoi.

En dehors de ces quelques points, qui sont plus des ajustements, c’est morne plaine. Ah tiens, parlons-en des plaines, justement : Les devs se sont rendus compte qu’un jeu entier en milieu urbain, à§a laissait planer un goût de claustrophobie alors ils ont prévu des maps un peu plus ouvertes, aussi bien en termes d’environnements que de chemins de progression pour laisser s’exprimer votre créativité guerrière.

Ajoutez à  cela un meilleur rendu des explosions, la gestion réaliste des fumées en tout genre et un semblant de cycle jour-nuit et vous aurez toutes les nouveautés apportées par ce GRAW 2.

Cake au GRAW Live.

Heureusement que cette campagne solo est rattrapée par un mode Multi à  la hauteur. C’est tout simple : ce mode s’avère excellent.

Première chose à  noter : cette fois-ci le mode multi n’est pas une repompe améliorée du moteur graphique de GR2. Là  on joue en multi avec le même moteur que la campagne Solo, et à§a se voit.

Les modes de jeu sont pléthore, les serveurs un peu moins mais gageons que cela devrait s’étoffer au fur et à  mesure.

La gestion des classes est présente et permet aux joueurs de gagner des points bonus en fonction des prérogatives propres à  leur classe (un fusilier gagne des points en restant en mouvement en permanence, un médecin en soignant, etc…)

Le mode agonie est présent et parfois un tir vous blessera sans vous tuer, permettant à  vos coéquipiers de vous remettre sur pieds, à  condition toutefois que l’adversaire ne se charge pas de vous achever (ce qui arrive tout le temps, d’ailleurs).

La sélection des armes se fait avant chaque respawn, vous permettant d’affiner votre choix en fonction de la map et il est enfin tout à  fait possible de dézinguer un sniper en mode camping à  200m avec un fusil d’assaut réglé au coup par coup, à´ joie.

En conclusion

Que penser de ce GRAW 2… Le jeu, bien que réussi et apportant pourtant quelques nouveautés, n’est finalement qu’un GRAW 1.5 ou plutà´t ce que GRAW aurait dû être si les développeurs avaient eu le temps d’aller jusqu’au bout. Si vous êtes des habitués du JDGa, vous savez ce que je pense des jeux en kit, à  plus forte raison lorsque l’add-on se paye 70€. Heureusement que le mode multi-joueurs rattrape la sauce. Encore faut-il avoir accès au Live.

Le coin du techos

Graphismes : pas de surprise, GRAW 2 est encore plus beau que son prédécesseur, la physique à  été améliorée, les effets de fumée, d’explosion, l’alternance jour-nuit, tout y est. Il subsiste des textures parfois grossières et la modélisation est perfectible par endroits mais on s’y fait.

Animations : rien à  dire, le jeu ne saccade qu’en de rares occasions, les mouvements des Ghosts est impeccable, RAS.

Jouabilité : passé les premiers instants, le maniement du perso principal mais aussi de tout son attirail (drone, mule, PNJ…) devient presque naturel. Je dis presque parce que je trouve à§a énervant de devoir faire un appui long + BMD pour changer la cadence de tir.

Sons : du tout bon, musiques en phase avec l’action, héroà¯ques juste quand il faut, commentaires alliés dans le ton, et guérilleros qui ont tous fait un stage au Cuba Compagnie, on en redemande.

Durée de vie : la campagne solo ne devrait pas résister longtemps aux assauts des joueurs (comme l’épisode précédent finalement) mais le mode Multi risque d’occuper pas mal après coup, d’autant que le nombre de maps et de modes de jeu est plus qu’honorable.

Note : 7/10 pour les joueurs sans compte XBox Live Gold

8/10 pour les joueurs connectés et qui n’ont pas peur.

Nos gamertags pour les plus fortunés intrépides d’entre vous:

Daz JDGa
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