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Test flash : The King of Fighters ’98 : Ultimate Match

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23 juillet 1998. The King of Fighters ’98 débarque dans les salles d’arcade Japonaises. SNK est au sommet de son art. 11 ans plus tard, après…

23 juillet 1998. The King of Fighters ’98 débarque dans les salles d’arcade Japonaises. SNK est au sommet de son art. 11 ans plus tard, après être passé sur de nombreux supports, le jeu s’invite sur Xbox Live Arcade dans une version Ultimate Match, complète. Très complète. Et c’est rien de le dire…

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Oubliez The King of Fighters ’98 et louez les louanges de cette version Ultimate Match, bien plus complète sur de nombreux plans. Voyez plutôt : 64 personnages (dont certains sensés être morts dans les volets précédents de la série, mais The King of Fighters ’98 affichant la particularité d’être un DreamMatch, il fait fi des scénarios posés précédemment…), des stages bonus en pseudo 3D (pas franchement réussie, mais on ne peut pas tout avoir), du jeu en ligne et surtout un mode Ultimate, qui mixe grosso modo les possibilités offertes avec les modes Advance et Extra. Une nouvelle façon de jouer ? Possible, surtout si vous en étiez restés au KOF ’98 original (mais si ça vous dérange vraiment, vous pourrez de toute façon rejouer au KOF ’98 dans sa version MVS, présent au sein de cette version Ultimate…) Ah, on ne vous a jamais dit qu’il allait être facile d’approcher ce mastodonte de la baston 2D.

Car même si le jeu affiche plus de 10 piges au compteur, difficile de faire la liste des soft ayant pu se vanter de marcher sur ses plates bandes et à l’égaler. Aussi bien au niveau du contenu que du gameplay. Et c’est sur ce dernier qu’on va d’ailleurs s’attarder. Car tous ceux qui ont déjà frôlé ce KOF ’98 du stick vous le diront : SNK a su insuffler au jeu un feeling jamais vu ailleurs, impossible à véritablement décrire avec des mots, mais joussif comme jamais. Maîtriser ne serait-ce qu’un personnage demande des heures et des heures de jeu (au stick, parce que franchement, jouer au pad à ce jeu, c’est un peu comme se balader en R14 sur le circuit des 24h du Mans, sans vouloir être élitiste…) On est loin d’un Street Fighter IV et de sa (relative) accessibilité, c’est un fait.

Véritable révolution au moment de sa sortie, The King of Fighters ’98 s’affiche encore à l’heure actuelle comme une valeure sûre qu’il sera décidément difficile d’égaler. On ne perd pas espoir avec l’arrivée de The King of Fighters XII… (parce qu’on est jamais à l’abri d’une bonne surprise) En attendant, si vous n’avez jamais goûté à ce joyau de la baston 2D, c’est le moment de vous lancer !

Le verdict ?


Que signifie cette pastille ?

Les +

  • Gameplay qui frôle la perfection
  • 64 combattants !
  • La présence d’un mode de jeu en ligne (parce qu’en 98, c’était pas ça le jeu en ligne…)
  • Les –

  • Difficile d’accès
  • 23 juillet 1998. The King of Fighters ’98 débarque dans les salles d’arcade Japonaises. SNK est au sommet de son art. 11 ans plus tard, après être passé sur de nombreux supports, le jeu s’invite sur Xbox Live Arcade dans une version Ultimate Match, complète. Très complète. Et c’est rien de le dire…

    test_kof_98_um_1

    Oubliez The King of Fighters ’98 et louez les louanges de cette version Ultimate Match, bien plus complète sur de nombreux plans. Voyez plutôt : 64 personnages (dont certains sensés être morts dans les volets précédents de la série, mais The King of Fighters ’98 affichant la particularité d’être un DreamMatch, il fait fi des scénarios posés précédemment…), des stages bonus en pseudo 3D (pas franchement réussie, mais on ne peut pas tout avoir), du jeu en ligne et surtout un mode Ultimate, qui mixe grosso modo les possibilités offertes avec les modes Advance et Extra. Une nouvelle façon de jouer ? Possible, surtout si vous en étiez restés au KOF ’98 original (mais si ça vous dérange vraiment, vous pourrez de toute façon rejouer au KOF ’98 dans sa version MVS, présent au sein de cette version Ultimate…) Ah, on ne vous a jamais dit qu’il allait être facile d’approcher ce mastodonte de la baston 2D.

    Car même si le jeu affiche plus de 10 piges au compteur, difficile de faire la liste des soft ayant pu se vanter de marcher sur ses plates bandes et à l’égaler. Aussi bien au niveau du contenu que du gameplay. Et c’est sur ce dernier qu’on va d’ailleurs s’attarder. Car tous ceux qui ont déjà frôlé ce KOF ’98 du stick vous le diront : SNK a su insuffler au jeu un feeling jamais vu ailleurs, impossible à véritablement décrire avec des mots, mais joussif comme jamais. Maîtriser ne serait-ce qu’un personnage demande des heures et des heures de jeu (au stick, parce que franchement, jouer au pad à ce jeu, c’est un peu comme se balader en R14 sur le circuit des 24h du Mans, sans vouloir être élitiste…) On est loin d’un Street Fighter IV et de sa (relative) accessibilité, c’est un fait.

    Véritable révolution au moment de sa sortie, The King of Fighters ’98 s’affiche encore à l’heure actuelle comme une valeure sûre qu’il sera décidément difficile d’égaler. On ne perd pas espoir avec l’arrivée de The King of Fighters XII… (parce qu’on est jamais à l’abri d’une bonne surprise) En attendant, si vous n’avez jamais goûté à ce joyau de la baston 2D, c’est le moment de vous lancer !

    Le verdict ?


    Que signifie cette pastille ?

    Les +

  • Gameplay qui frôle la perfection
  • 64 combattants !
  • La présence d’un mode de jeu en ligne (parce qu’en 98, c’était pas ça le jeu en ligne…)
  • Les –

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