La fin de l’année est chargée pour le hérisson. Chargée, mais pas forcément des plus réussie. La preuve avec le piètre Sonic Free Riders ne faisant pas franchement honneur aux possibilités de Kinect. Las, Sonic a par contre plus de chances de nous séduire avec un nouvel épisode Colours laissant la part belle à la 2D. Sans doute le territoire ou il brille encore le plus à l’heure actuelle !
Sans vouloir absolument enfoncer le hérisson bleu, on pourra dire que l’épisode I de Sonic the Hedgehog 4 aura fait naître beaucoup d’attente pour pas grand chose. Jouissant d’une bonne réalisation, il se calquait cependant sur un schéma bien trop classique pour étonner, respirant à des kilomètres le déjà joué/déjà-vu. Alors, doit-on craindre le même syndrome pour ce Sonic Colours ? Et bien non ! Les développeurs de la Sonic Team (de ce qu’il en reste dirons les mauvaises langues…) ont au contraire décidé de prendre des risques, en permettant au hérisson de disposer d’une palette de nouveaux pouvoirs ouvrant sur une approche des niveaux totalement différente, pour peu qu’on se donne un peu la peine. Pas complètement différente, certes, mais déjà assez originale pour permettre au jeu de trouver un rythme soutenu évitant les temps morts. Comprenez par là que vous pourrez au fur et à mesure de votre progression muter le hérisson bleu en laser, en fusée, ect. Novateur, mais malheureusement peut-être pas assez mis en avant, dans le sens où il est tout à fait possible de terminer la plupart du temps les niveaux sans à avoir recours au pouvoirs suscités. Même s’il serait bête de s’en priver ! Néanmoins, si on peut saluer cette prise de risques, on pourra pester une fois n’est pas coutume sur les parties des niveaux embrassant le format de la 3D. Sans surprises, ces passages sont très rapides (un peu trop ?) et reprennent grosso-modo les squelettes des épisodes Sonic 3D précédents. On cavale, on tente d’éviter les ennemis, et au pire des cas on saute et on les écrase à la chaîne grâce au lock automatique. Ce n’est pas catastrophique en soi, mais on reste au final bien plus demandeurs des phases 2D, plus tempérées d’une manière générale. Reste tout de même que ce nouvel épisode réussi finalement à marier habilement les phases 2D/3D tout en offrant un affichage fluide à chaque instant et un contenu riche, ce qui se traduit bien évidemment par une durée de vie plutôt conséquente pour un jeu Sonic. En bref, ce Sonic Colours pose clairement de nouvelles bases solides, et il paraît évident que le futur de Sonic en 2D semble promis à un très bel avenir…
Le verdict ?
Les +
L’introduction des pouvoirs
Aussi fluide que rapide
Les –
Les passages 3D un peu trop rapides
On aurait aimé que les pouvoirs soient plus indispensables
Sans vouloir absolument enfoncer le hérisson bleu, on pourra dire que l’épisode I de Sonic the Hedgehog 4 aura fait naître beaucoup d’attente pour pas grand chose. Jouissant d’une bonne réalisation, il se calquait cependant sur un schéma bien trop classique pour étonner, respirant à des kilomètres le déjà joué/déjà-vu. Alors, doit-on craindre le même syndrome pour ce Sonic Colours ? Et bien non ! Les développeurs de la Sonic Team (de ce qu’il en reste dirons les mauvaises langues…) ont au contraire décidé de prendre des risques, en permettant au hérisson de disposer d’une palette de nouveaux pouvoirs ouvrant sur une approche des niveaux totalement différente, pour peu qu’on se donne un peu la peine. Pas complètement différente, certes, mais déjà assez originale pour permettre au jeu de trouver un rythme soutenu évitant les temps morts. Comprenez par là que vous pourrez au fur et à mesure de votre progression muter le hérisson bleu en laser, en fusée, ect. Novateur, mais malheureusement peut-être pas assez mis en avant, dans le sens où il est tout à fait possible de terminer la plupart du temps les niveaux sans à avoir recours au pouvoirs suscités. Même s’il serait bête de s’en priver ! Néanmoins, si on peut saluer cette prise de risques, on pourra pester une fois n’est pas coutume sur les parties des niveaux embrassant le format de la 3D. Sans surprises, ces passages sont très rapides (un peu trop ?) et reprennent grosso-modo les squelettes des épisodes Sonic 3D précédents. On cavale, on tente d’éviter les ennemis, et au pire des cas on saute et on les écrase à la chaîne grâce au lock automatique. Ce n’est pas catastrophique en soi, mais on reste au final bien plus demandeurs des phases 2D, plus tempérées d’une manière générale. Reste tout de même que ce nouvel épisode réussi finalement à marier habilement les phases 2D/3D tout en offrant un affichage fluide à chaque instant et un contenu riche, ce qui se traduit bien évidemment par une durée de vie plutôt conséquente pour un jeu Sonic. En bref, ce Sonic Colours pose clairement de nouvelles bases solides, et il paraît évident que le futur de Sonic en 2D semble promis à un très bel avenir…
Le verdict ?
Les +
L’introduction des pouvoirs
Aussi fluide que rapide
Les –
Les passages 3D un peu trop rapides
On aurait aimé que les pouvoirs soient plus indispensables
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