Sorti déjà depuis belle lurette au Japon (plus de 2 ans tout de même), OneChanbara : Bikini Samurai Squad, sorte de beat’em all de série B porté par un trio de donzelles très peu vêtues se décide finalement a débarquer dans nos contrées. On se demande encore pourquoi…
Difficile, impossible même de classer ce OneChanbara : Bikini Samurai Squad. Un beat’em all qui semble avoir emprunté les mécanismes d’un Dynasty Warriors où il vous faudra décimer du zombie à l’arme blanche… Vu comme ça, ça aurait pu être sympa. Mais voilà, une fois le pas en main, l’excitation fait place à la consternation. Ne serait-ce qu’à cause de la linéarité affligeante du titre, qui ne vous proposera en fait que d’avancer au sein de niveaux très courts, cloisonnés au possible, où votre seul but sera de découper du zombie à l’arme blanche en martelant le bouton X, encore et encore… Forcément, c’est tout de suite moins drôle. Pour ne rien arranger, vous remarquerez bien vite que vos “ennemis” sont complètement amorphes, et qu’ils ne représentent en fait aucun danger. Et que dire de cette caméra qui peine à se focaliser sur l’action, sur les animations, rigides comme des bambous, ou sur l’habillage graphique, totalement désuet (le fait que le jeu soit sorti en 2006 n’excuse rien…) Le plus triste dans cette histoire, c’est qu’on a plutôt l’impression que les développeurs ont passé plus de temps à trouver comment mettre les héroïnes en valeur (façon de parler), et à façonner des tenues déblocables (enfin, tenues… Vous m’avez compris) qu’à vouloir essayer de nous proposer un beat’em all correct. Et c’est peu dire…
Impossible de sauver ce nanard vidéoludique, qui n’arrive jamais à profiter de son concept totalement à l’ouest, pourtant sympathique sur le papier, mais sabordé par des défauts éliminatoires.
Le verdict ?
Les +
Les –
Difficile, impossible même de classer ce OneChanbara : Bikini Samurai Squad. Un beat’em all qui semble avoir emprunté les mécanismes d’un Dynasty Warriors où il vous faudra décimer du zombie à l’arme blanche… Vu comme ça, ça aurait pu être sympa. Mais voilà, une fois le pas en main, l’excitation fait place à la consternation. Ne serait-ce qu’à cause de la linéarité affligeante du titre, qui ne vous proposera en fait que d’avancer au sein de niveaux très courts, cloisonnés au possible, où votre seul but sera de découper du zombie à l’arme blanche en martelant le bouton X, encore et encore… Forcément, c’est tout de suite moins drôle. Pour ne rien arranger, vous remarquerez bien vite que vos “ennemis” sont complètement amorphes, et qu’ils ne représentent en fait aucun danger. Et que dire de cette caméra qui peine à se focaliser sur l’action, sur les animations, rigides comme des bambous, ou sur l’habillage graphique, totalement désuet (le fait que le jeu soit sorti en 2006 n’excuse rien…) Le plus triste dans cette histoire, c’est qu’on a plutôt l’impression que les développeurs ont passé plus de temps à trouver comment mettre les héroïnes en valeur (façon de parler), et à façonner des tenues déblocables (enfin, tenues… Vous m’avez compris) qu’à vouloir essayer de nous proposer un beat’em all correct. Et c’est peu dire…
Impossible de sauver ce nanard vidéoludique, qui n’arrive jamais à profiter de son concept totalement à l’ouest, pourtant sympathique sur le papier, mais sabordé par des défauts éliminatoires.
Le verdict ?
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