Acer a lancé il y a quelques mois son mini-projeteur K10. Il ne s’agit pas d’un pico projecteur comme nous avons pu en voir des dizaines durant ces derniers mois, mais plutôt un réel vidéoprojecteur bénéficiant d’un faible encombrement. Nous avons eu la chance de l’avoir pendant plusieurs jours, voici notre feedback.
Spécifications
Le K10 propose une résolution SVGA soit 800×600, une luminosité de 100 lumens, un taux de contraste de 1000:1, une double connectique VGA et RCA, une taille d’image allant jusqu’à 60″, le tout dans 127×122×48,5 mm pour un poids plume de 550g. Son prix est aux alentours de 400 euros.
Feedback
L’Acer K10 est vraiment tout petit comparé à un vidéoprojecteur classique, même s’il ne tient pas dans une poche, comme un picoprojecteur, son encombrement le fait tenir dans un sac sans aucun souci et on peut largement parler de vidéoprojecteur portable.
Il est livré avec un adaptateur secteur, un étui de transport, un câble vidéo composite, un VGA/Composant, un VGA et un CD + notice. À noter qu’il n’y a pas de télécommande, l’ensemble des contrôles s’effectue sur l’appareil.
L’appareil est vraiment compact, mais l’alimentation assez grosse malheureusement. Son design est très basique, il est en plastique noir, mais brillant ce qui à la fâcheuse tendance à prendre les traces de doigts.
Une fois branché au secteur et à une source, il n’y a pas de manipulation compliqué à faire, tout fonctionne automatiquement au bout d’une dizaine de secondes. Le K10 intègre un système de correction automatique du trapèze s’il est en dessous de l’écran, par contre, il ne dispose pas de correction horizontale ou verticale.
Il est possible de le fixer sur un trépied par exemple, mais l’appareil dispose également d’une petite béquille pour le régler en hauteur.
Pour faire les autres réglages, il suffit d’appuyer sur la touche «Menu » située dessus l’appareil. La navigation dans le menu s’effectue à l’aide du pavé directionnel.
Le menu Couleur permet de modifier le mode d’affichage pré-réglé (vidéo, standard, lumineux, utilisateur 1, utilisateur 2 et écran noir), de changer la luminosité, le contraste, la température des couleurs, l’intensité du rouge, du bleu ou du vert, le taux de saturation ou encore la teinte. Notez qu’un module d’autocalibration est également disponible…
Les autres menus permettent de modifier le sens de l’image projetée, les réglages de la disposition du menu ou encore la proportion de l’image projetée 16/9 ou 4/3.
Le Focus s’effectue quant à lui grâce à un gros bouton situé devant le pavé directionnel.
Nous avons utilisé le K10 dans deux situations :
- Pour regarder un film via entrée Composite, l’obscurité était donc totale. Le rendu est assez satisfaisant, mais la qualité de l’image n’est pas exceptionnelle, on voit les limites de l’appareil. Cependant, cela peut vraiment dépanner pour faire une petite séance ciné improvisée.
- Pour faire une présentation depuis un ordinateur (via entrée VGA). La qualité de l’image semble meilleure, cependant avec un peu de lumière, il faudra passer un peu de temps dans le réglage de l’image, car au final la luminosité du K10 n’est pas énorme. Notez que le vidéoprojecteur accepte des résolutions de 858×600 en natif et pouvant atteindre 1440×900.
Signalons qu’au bout d’un certain moment, l’appareil fait un peu de bruit et il vaut mieux être un peu loin de lui, car cela peut vite devenir embêtant…
Conclusion
L’Acer K10 est un bon petit vidéoprojecteur d’appoint et il ne lui manque pas grande chose pour être un concurrent aux vidéoprojecteurs classiques… Facilement transportable, facile d’utilisation, il s’avère idéal pour une présentation lors d’un rendez-vous ou une soirée ciné improvisée entre amis.
Galerie photo complète
Spécifications
Le K10 propose une résolution SVGA soit 800×600, une luminosité de 100 lumens, un taux de contraste de 1000:1, une double connectique VGA et RCA, une taille d’image allant jusqu’à 60″, le tout dans 127×122×48,5 mm pour un poids plume de 550g. Son prix est aux alentours de 400 euros.
Feedback
L’Acer K10 est vraiment tout petit comparé à un vidéoprojecteur classique, même s’il ne tient pas dans une poche, comme un picoprojecteur, son encombrement le fait tenir dans un sac sans aucun souci et on peut largement parler de vidéoprojecteur portable.
Il est livré avec un adaptateur secteur, un étui de transport, un câble vidéo composite, un VGA/Composant, un VGA et un CD + notice. À noter qu’il n’y a pas de télécommande, l’ensemble des contrôles s’effectue sur l’appareil.
L’appareil est vraiment compact, mais l’alimentation assez grosse malheureusement. Son design est très basique, il est en plastique noir, mais brillant ce qui à la fâcheuse tendance à prendre les traces de doigts.
Une fois branché au secteur et à une source, il n’y a pas de manipulation compliqué à faire, tout fonctionne automatiquement au bout d’une dizaine de secondes. Le K10 intègre un système de correction automatique du trapèze s’il est en dessous de l’écran, par contre, il ne dispose pas de correction horizontale ou verticale.
Il est possible de le fixer sur un trépied par exemple, mais l’appareil dispose également d’une petite béquille pour le régler en hauteur.
Pour faire les autres réglages, il suffit d’appuyer sur la touche «Menu » située dessus l’appareil. La navigation dans le menu s’effectue à l’aide du pavé directionnel.
Le menu Couleur permet de modifier le mode d’affichage pré-réglé (vidéo, standard, lumineux, utilisateur 1, utilisateur 2 et écran noir), de changer la luminosité, le contraste, la température des couleurs, l’intensité du rouge, du bleu ou du vert, le taux de saturation ou encore la teinte. Notez qu’un module d’autocalibration est également disponible…
Les autres menus permettent de modifier le sens de l’image projetée, les réglages de la disposition du menu ou encore la proportion de l’image projetée 16/9 ou 4/3.
Le Focus s’effectue quant à lui grâce à un gros bouton situé devant le pavé directionnel.
Nous avons utilisé le K10 dans deux situations :
- Pour regarder un film via entrée Composite, l’obscurité était donc totale. Le rendu est assez satisfaisant, mais la qualité de l’image n’est pas exceptionnelle, on voit les limites de l’appareil. Cependant, cela peut vraiment dépanner pour faire une petite séance ciné improvisée.
- Pour faire une présentation depuis un ordinateur (via entrée VGA). La qualité de l’image semble meilleure, cependant avec un peu de lumière, il faudra passer un peu de temps dans le réglage de l’image, car au final la luminosité du K10 n’est pas énorme. Notez que le vidéoprojecteur accepte des résolutions de 858×600 en natif et pouvant atteindre 1440×900.
Signalons qu’au bout d’un certain moment, l’appareil fait un peu de bruit et il vaut mieux être un peu loin de lui, car cela peut vite devenir embêtant…
Conclusion
L’Acer K10 est un bon petit vidéoprojecteur d’appoint et il ne lui manque pas grande chose pour être un concurrent aux vidéoprojecteurs classiques… Facilement transportable, facile d’utilisation, il s’avère idéal pour une présentation lors d’un rendez-vous ou une soirée ciné improvisée entre amis.
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Merci pour ce retour d’opinion (je ne sais pas si cela se dit…).
On dit plutôt “Merci pour ce retour” ou plus simplement “merci pour ce test”
😉
“100 lumens” => en fait il éclaire pas?
Si si, 100 lumens c’est bien suffisant, il suffi de se mettre dans le noir complet. Je parle en connaissance de cause, je l’ai acheté il y a un mois de ça, et j’en suis très content, je ne regrette pas mon achat, ce petit projo est impeccable pour son utilisation : c’est a dire , le nomade. Ajoutez-lui un Eee-PC ou un MSI et c’est le parfait duo pour des soirée ciné. 8)
Et la lampe coute? vivement les version diode à 100 lumens 😛
cela me parait une bonne alternative (certes un peu plus gros) aux picoprojecteurs qui ont moins de luminosité