Non, on ne reviendra pas sur le film, véritable navet en puissance, qui broie tous les codes d’une série mythique en moins d’une heure trente. Pour le coup, focalisons-nous sur l’adaptation de cette production déjà “culte” sur PSP…
On aurait pu logiquement croire que cette adaptation aurait pu tutoyer la médiocrité. Pas tout à fait en fait. Mais presque. La raison ? Le jeu est reprend (grossièrement, il faut bien le dire) les bases posées par les 2 volets Shin Budokai. Forcément, vu comme ça, ça ne peut que donner envie aux amateurs de Dragon Ball… Oui, mais en fait non : car si le gameplay arrive plus ou moins à faire bonne figure les premières minutes de jeu, en creusant un peu, on a rapidement l’impression de se trouver face à une coquille vide. La faute en premier lieu à une brochette de personnages peu attirante, touchée par le kitsch (Yamacha a désormais tout de la tête d’ampoule de base, Goku affiche un charisme proche du néant, et on pourrait y aller de notre petit commentaire désobligeant sur chacun des protagonistes…), et dotée de coups spéciaux nettement moins spectaculaires que ce à quoi nous étions habitués lorsque nous nous retrouvons face à la licence de Toriyama. Certes, ça frappe sec, mais le côté grandiose des combats d’antan n’est palpable une seule seconde. Et que dire de ce mode Story sensé reprendre le scénario déjà pitoyable du film, qui se paie le luxe de se boucler en une heure montre en main, obligeant en plus le joueur à se coltiner des cut-scènes à se rouler par terre. Et ce ne sont pas les quelques modes de jeu annexes, tout aussi vite bouclés qui viendront rattraper la sauce. Non vraiment, à moins d’avoir adoré le film (et dans ce cas, c’est grave…), inutile de vous attarder sur cette production de bas étage. Et dire qu’une suite pourrait être en préparation…
Le verdict ?
Les +
Les –
On aurait pu logiquement croire que cette adaptation aurait pu tutoyer la médiocrité. Pas tout à fait en fait. Mais presque. La raison ? Le jeu est reprend (grossièrement, il faut bien le dire) les bases posées par les 2 volets Shin Budokai. Forcément, vu comme ça, ça ne peut que donner envie aux amateurs de Dragon Ball… Oui, mais en fait non : car si le gameplay arrive plus ou moins à faire bonne figure les premières minutes de jeu, en creusant un peu, on a rapidement l’impression de se trouver face à une coquille vide. La faute en premier lieu à une brochette de personnages peu attirante, touchée par le kitsch (Yamacha a désormais tout de la tête d’ampoule de base, Goku affiche un charisme proche du néant, et on pourrait y aller de notre petit commentaire désobligeant sur chacun des protagonistes…), et dotée de coups spéciaux nettement moins spectaculaires que ce à quoi nous étions habitués lorsque nous nous retrouvons face à la licence de Toriyama. Certes, ça frappe sec, mais le côté grandiose des combats d’antan n’est palpable une seule seconde. Et que dire de ce mode Story sensé reprendre le scénario déjà pitoyable du film, qui se paie le luxe de se boucler en une heure montre en main, obligeant en plus le joueur à se coltiner des cut-scènes à se rouler par terre. Et ce ne sont pas les quelques modes de jeu annexes, tout aussi vite bouclés qui viendront rattraper la sauce. Non vraiment, à moins d’avoir adoré le film (et dans ce cas, c’est grave…), inutile de vous attarder sur cette production de bas étage. Et dire qu’une suite pourrait être en préparation…
Le verdict ?
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