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Test flash : Dead Rising 2 : Off The Record

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Capcom nous a habitué avec le temps à développer des suites pour toutes ses licences. Depuis la génération de console actuelle, avec l’avènement du DLC, nous…

Capcom nous a habitué avec le temps à développer des suites pour toutes ses licences. Depuis la génération de console actuelle, avec l’avènement du DLC, nous sommes gratifiés pour chaque jeux d’éléments supplémentaires, costumes, scénarios, campagnes pour prolonger l’expérience de jeu. Il suffit d’attendre quelque temps après la sortie de ces DLC pour généralement avoir droit à une édition qui compile le jeu et ses DLC (l’exemple en tête : Resident Evil 5 Gold Edition). Dead Rising 2 n’a pourtant pas eu le droit à sa “Gold Edition”. Pourtant sorti il y a un an, on s’attendait à une compil avec les DLC Case West et Case Zero. Il n’en est rien, l’éditeur nous prend à contrepied avec un Dead Rising 2 : Off The Record. Au menu, une réinterprétation du scénario original, quelques nouveautés, le tout en boite pour 40€ chez votre revendeur favori. 1 an plus tard, le chef ressort sa recette et la modifie, mais depuis tout ce temps, le plat n’aurait-il pas un peu tourné ?


Zombrextraordinaire

Pour qu’on accepte de remettre le couvert, l’éditeur nous a préparé quelques changements pour le jeu. Au revoir Chuck Greene et sa fille, et bienvenue à Frank West. Ce dernier, héros de Dead Rising tombé un peu dans l’oubli depuis son coup d’éclat journalistique à Wilamette, se rend à Fortune City pour enquêter sur cette épidémie mystérieuse, bien conscient qu’on ne nous dit pas tout (pour changer.). Dès lors, si on a déjà exploré la cité du vice avec Chuck, aucune surprise ou presque ici. A part une petite zone supplémentaire “Uranus Park”, rien d’autre (le nom n’est d’ailleurs pas anodin, humour en dessous de la ceinture quand tu nous tiens !). Capcom a quand même fait un petit effort, en rajoutant à droite à gauche de nouveaux PNJ, pour le reste, le déroulement des missions et les bosses n’ont quasiment pas été modifiés (le chapitre 4 bon sang, c’est n’importe quoi). Nous ne sommes heureusement pas dans le registre “rien n’a changé” (comme chantaient les Poppys) mais on conserve la difficulté mal dosée de l’original, des animations un peu raides et quelques chutes de framerate. Enfin, pour fermer le bureau des plaintes, soulignons cette interface toujours aussi mal fichue lorsqu’il s’agit de sélectionner des objets dans l’inventaire.

On n'hésite pas à se salir les mains.

Journey to the “Franck” West

Dans le registre des améliorations notables, ce sont les temps de chargement qui ont été optimisés, nous avons le droit cette fois à des coupures vraiment minimes comparées à l’original (remarquez, c’était le bon plan pour boire une gorgée ou manger un granola). De plus, quelques améliorations de l’interface sont apparues : un message clignote si l’on s’éloigne trop d’un PNJ qu’on est en train de secourir. Un système de checkpoints a été implémenté afin d’aider les joueurs tête en l’air, fini les passages aux toilettes. Qui dit Franck West, dit reportage, avec le retour de l’appareil photo, même si le gain en PP sera peu intéressant comparé au sauvetage de PNJ. On passera sur les quelques nouvelles armes disponibles, vous avez déjà vu en vidéo le casque à rayon laser, et le DLC Cyborg, les ajouts dans le domaine sont correct sans plus. On termine par un mode “sandbox” dans lequel il sera possible d’arpenter librement Fortune City sans la limite de temps imposée dans l’histoire, un mode sympa qui rappelle celui du premier Dead Rising. Dans ce bac à sable, 30 missions solo et 30 missions en co-op vous attendent, avec la possibilité de gagner des PP afin d’améliorer votre personnage pour continuer le mode histoire.

DR2, c'est cirage de pompe à la cervelle de Zombie

Off The Raccord

Vous l’aurez déjà compris en lisant le test. Si vous avez fini Dead Rising 2 en long, en large et en travers et que vous connaissez Fortune City sur le bout des doigts, inutile de vous procurer Off The Record, tournez vous vers les DLC qui proposent un contenu tout à fait honorable pour un prix correct. En revanche, pour tous ceux qui avaient raté l’année dernière les pérégrinations de Chuck Greene, Capcom vous propose le choix avec une version pas tout à fait “1.5” mais au moins aussi fun que l’originale, avec quelques soucis techniques gommés et un Franck en pleine forme avec sa panoplie de coups et quelques costumes complètements loufoque, des nouvelles armes funs, et un mode bac à sable bien sympathique. Maintenant, d’un point de vue critique, on fronce un peu les sourcils devant le travail accompli et le prix de Dead Rising 2 : Off The Record, mais pour une fois qu’il ne s’agit pas d’un pack jeux + DLC, on ne va pas cracher dans la soupe, surtout qu’elle n’est pas si mauvaise que ça.

Le verdict ?


Que signifie cette pastille ?

Capcom nous a habitué avec le temps à développer des suites pour toutes ses licences. Depuis la génération de console actuelle, avec l’avènement du DLC, nous sommes gratifiés pour chaque jeux d’éléments supplémentaires, costumes, scénarios, campagnes pour prolonger l’expérience de jeu. Il suffit d’attendre quelque temps après la sortie de ces DLC pour généralement avoir droit à une édition qui compile le jeu et ses DLC (l’exemple en tête : Resident Evil 5 Gold Edition). Dead Rising 2 n’a pourtant pas eu le droit à sa “Gold Edition”. Pourtant sorti il y a un an, on s’attendait à une compil avec les DLC Case West et Case Zero. Il n’en est rien, l’éditeur nous prend à contrepied avec un Dead Rising 2 : Off The Record. Au menu, une réinterprétation du scénario original, quelques nouveautés, le tout en boite pour 40€ chez votre revendeur favori. 1 an plus tard, le chef ressort sa recette et la modifie, mais depuis tout ce temps, le plat n’aurait-il pas un peu tourné ?


Zombrextraordinaire

Pour qu’on accepte de remettre le couvert, l’éditeur nous a préparé quelques changements pour le jeu. Au revoir Chuck Greene et sa fille, et bienvenue à Frank West. Ce dernier, héros de Dead Rising tombé un peu dans l’oubli depuis son coup d’éclat journalistique à Wilamette, se rend à Fortune City pour enquêter sur cette épidémie mystérieuse, bien conscient qu’on ne nous dit pas tout (pour changer.). Dès lors, si on a déjà exploré la cité du vice avec Chuck, aucune surprise ou presque ici. A part une petite zone supplémentaire “Uranus Park”, rien d’autre (le nom n’est d’ailleurs pas anodin, humour en dessous de la ceinture quand tu nous tiens !). Capcom a quand même fait un petit effort, en rajoutant à droite à gauche de nouveaux PNJ, pour le reste, le déroulement des missions et les bosses n’ont quasiment pas été modifiés (le chapitre 4 bon sang, c’est n’importe quoi). Nous ne sommes heureusement pas dans le registre “rien n’a changé” (comme chantaient les Poppys) mais on conserve la difficulté mal dosée de l’original, des animations un peu raides et quelques chutes de framerate. Enfin, pour fermer le bureau des plaintes, soulignons cette interface toujours aussi mal fichue lorsqu’il s’agit de sélectionner des objets dans l’inventaire.

On n'hésite pas à se salir les mains.

Journey to the “Franck” West

Dans le registre des améliorations notables, ce sont les temps de chargement qui ont été optimisés, nous avons le droit cette fois à des coupures vraiment minimes comparées à l’original (remarquez, c’était le bon plan pour boire une gorgée ou manger un granola). De plus, quelques améliorations de l’interface sont apparues : un message clignote si l’on s’éloigne trop d’un PNJ qu’on est en train de secourir. Un système de checkpoints a été implémenté afin d’aider les joueurs tête en l’air, fini les passages aux toilettes. Qui dit Franck West, dit reportage, avec le retour de l’appareil photo, même si le gain en PP sera peu intéressant comparé au sauvetage de PNJ. On passera sur les quelques nouvelles armes disponibles, vous avez déjà vu en vidéo le casque à rayon laser, et le DLC Cyborg, les ajouts dans le domaine sont correct sans plus. On termine par un mode “sandbox” dans lequel il sera possible d’arpenter librement Fortune City sans la limite de temps imposée dans l’histoire, un mode sympa qui rappelle celui du premier Dead Rising. Dans ce bac à sable, 30 missions solo et 30 missions en co-op vous attendent, avec la possibilité de gagner des PP afin d’améliorer votre personnage pour continuer le mode histoire.

DR2, c'est cirage de pompe à la cervelle de Zombie

Off The Raccord

Vous l’aurez déjà compris en lisant le test. Si vous avez fini Dead Rising 2 en long, en large et en travers et que vous connaissez Fortune City sur le bout des doigts, inutile de vous procurer Off The Record, tournez vous vers les DLC qui proposent un contenu tout à fait honorable pour un prix correct. En revanche, pour tous ceux qui avaient raté l’année dernière les pérégrinations de Chuck Greene, Capcom vous propose le choix avec une version pas tout à fait “1.5” mais au moins aussi fun que l’originale, avec quelques soucis techniques gommés et un Franck en pleine forme avec sa panoplie de coups et quelques costumes complètements loufoque, des nouvelles armes funs, et un mode bac à sable bien sympathique. Maintenant, d’un point de vue critique, on fronce un peu les sourcils devant le travail accompli et le prix de Dead Rising 2 : Off The Record, mais pour une fois qu’il ne s’agit pas d’un pack jeux + DLC, on ne va pas cracher dans la soupe, surtout qu’elle n’est pas si mauvaise que ça.

Le verdict ?


Que signifie cette pastille ?

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