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Test flash : Bodycount

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Les gamers marqués par le FPS Black auraient pu se réjouir : Guildford Studio, soit l’entité derrière le titre suscité, s’est décidée à remettre le couvert avec…

Les gamers marqués par le FPS Black auraient pu se réjouir : Guildford Studio, soit l’entité derrière le titre suscité, s’est décidée à remettre le couvert avec un Bodycount multi plates-formes, annoncé comme hyper bourrin. Mais loin de réinventer le genre.



Vers une overdose de FPS ? Si le genre est pour sur bien représenté sur consoles et PC ces derniers temps, il n’en reste pas moins qu’il tend à placer chez les joueurs des attentes toujours plus hautes. Et ce n’est pas l’ambiance électrique entourant la sortie prochaine des Modern Warfare 3 et Battlefield 3 qui me fera mentir. Conscient de la situation à venir, Codemasters s’est décidé à lâcher son Bodycount au sein d’un mois de septembre plutôt calme en terme de sortie. Malheureusement, le soft peine à collectionner les bons points. Passons rapidement sur son scénario plat au possible, tirant vers une trame qu’on aurait empruntée à un mauvais téléfilm de seconde partie de soirée, pour se centrer sur son gameplay, qui s’il fut fondé sur de bonnes bases, arrive finalement à dérailler plus tôt que prévu. Loin de jouer la carte de la finesse, il pousse constamment le joueur à foncer dans le tas. Au mieux, à user de l’enchaînement “je me planque derrière un muret/je canarde”. Et ce ne sont pas ses quelques variantes qui viendront le sauver. Qu’importe s’il est possible d’enchaîner les meurtres à la suite pour faire grimper une barre débloquant quelques aides : l’I.A. est globalement assez dans les choux pour réussir à se faire canarder sans vous poser trop de problèmes. Et pour en rien arranger, on ne pourra pas non plus dire la réalisation graphique ou le level-design du soft viendront le sauver de ses misères. Même constat du coté de son mode multijoueur, trop fade dans l’ensemble pour sortir du lot (4 cartes, vous y croyez ?). Seule sa durée de vie l’empêche de finir au piquet. Capable de vous offrir une dizaine d’heure de jeu, elle se situe en fait dans une bonne moyenne. Et puis, il serait inexact d’affirmer que ce Bodycount enchaîne maladresses sur maladresses : il arbore tout de même quelques passages hauts en couleurs. Trop peu pour convaincre, c’est un fait…

Le verdict ?


Que signifie cette pastille ?

Les +
Pourrait rafler le titre du “FPS le plus bourrin de 2011”

Les –
Une I.A dans les fraises
Un multijoueur basique et peu visité
Assez linéaire dans sa globalité

Les gamers marqués par le FPS Black auraient pu se réjouir : Guildford Studio, soit l’entité derrière le titre suscité, s’est décidée à remettre le couvert avec un Bodycount multi plates-formes, annoncé comme hyper bourrin. Mais loin de réinventer le genre.



Vers une overdose de FPS ? Si le genre est pour sur bien représenté sur consoles et PC ces derniers temps, il n’en reste pas moins qu’il tend à placer chez les joueurs des attentes toujours plus hautes. Et ce n’est pas l’ambiance électrique entourant la sortie prochaine des Modern Warfare 3 et Battlefield 3 qui me fera mentir. Conscient de la situation à venir, Codemasters s’est décidé à lâcher son Bodycount au sein d’un mois de septembre plutôt calme en terme de sortie. Malheureusement, le soft peine à collectionner les bons points. Passons rapidement sur son scénario plat au possible, tirant vers une trame qu’on aurait empruntée à un mauvais téléfilm de seconde partie de soirée, pour se centrer sur son gameplay, qui s’il fut fondé sur de bonnes bases, arrive finalement à dérailler plus tôt que prévu. Loin de jouer la carte de la finesse, il pousse constamment le joueur à foncer dans le tas. Au mieux, à user de l’enchaînement “je me planque derrière un muret/je canarde”. Et ce ne sont pas ses quelques variantes qui viendront le sauver. Qu’importe s’il est possible d’enchaîner les meurtres à la suite pour faire grimper une barre débloquant quelques aides : l’I.A. est globalement assez dans les choux pour réussir à se faire canarder sans vous poser trop de problèmes. Et pour en rien arranger, on ne pourra pas non plus dire la réalisation graphique ou le level-design du soft viendront le sauver de ses misères. Même constat du coté de son mode multijoueur, trop fade dans l’ensemble pour sortir du lot (4 cartes, vous y croyez ?). Seule sa durée de vie l’empêche de finir au piquet. Capable de vous offrir une dizaine d’heure de jeu, elle se situe en fait dans une bonne moyenne. Et puis, il serait inexact d’affirmer que ce Bodycount enchaîne maladresses sur maladresses : il arbore tout de même quelques passages hauts en couleurs. Trop peu pour convaincre, c’est un fait…

Le verdict ?


Que signifie cette pastille ?

Les +
Pourrait rafler le titre du “FPS le plus bourrin de 2011”

Les –
Une I.A dans les fraises
Un multijoueur basique et peu visité
Assez linéaire dans sa globalité

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