Dans Far Cry 3 vous pensiez être arrivé au paradis, vous voilà en enfer. Capturé par des pirates alors que vous passiez des vacances de rêve avec vos amis, il vous faudra trouver en vous les ressources nécessaires à votre survie.
Vous ne pourrez compter que sur vous-même au cours de cette aventure, qui vous demandera de délivrer chacun des vacanciers désormais menacés de se retrouver réduit en esclavage dans l’attente d’une hypothétique rançon.
Le jeu vous lance dans la jungle des îles Rook sans vous laisser le temps de prendre la mesure de votre situation, mais un secours bienvenu vous permettra rapidement de mesurer l’ampleur de votre tâche. L’archipel tout entier se trouve aux mains des pirates, et son peuple d’origine, les Rakyats, compte sur vous pour lui rendre ses terres.
Libre à vous de partir explorer l’île sans vous soucier outre mesure de la quête principale : à la manière d’Assassin’s Creed, escalader les tours radios réparties sur l’archipel repoussera peu à peu le brouillard qui encombre votre carte et vous permettra de profiter d’armes gratuites chez les marchands. La conquête de fortins défendus par les pirates éliminera quant à elle la présence ennemie dans la zone qui l’entoure tout en vous fournissant de nombreuses quêtes à accomplir.
Assez variées, celles-ci vous demanderont de chasser de dangereux prédateurs, de secourir la veuve et l’orphelin ou bien encore d’acheminer des kits de soin à bon port. Somme toute classiques, elles sont surtout prétexte à vous faire découvrir l’incroyable ambiance de l’archipel.
Entre les animaux qui se promènent sur leur territoire (baissez la musique dans les options sous peine de ne pas entendre venir les tigres dans votre dos), les pirates qui effectuent des rondes régulières dans les régions encore non libérées et les Rakyats qui mènent leur petite vie en ne manquant pas de vous remercier pour votre aide, la vie est omniprésente.
Une véritable invitation à flâner, vos balades étant récompensées par la présence de valises contenant des objets à revendre aux boutiques. L’argent n’est jamais un problème dans Far Cry 3, l’ensemble de votre sac pouvant être marchandé, sans parler de la possibilité de fouiller les corps des ennemis pour ramasser quelques dollars supplémentaires.
Mais l’argent n’achète pas tout, et il vous faudra chasser par vous-même pour améliorer vos holsters, votre sac, votre portefeuille ou votre porte-seringues. Les ingrédients nécessaires à la confection de ces dernières poussent sur l’ensemble de l’archipel, et autant dire qu’entre celles de soin, de chasse et de combat c’est une véritable droguerie portative que vous aurez en permanence sous la main.
Néanmoins, toutes les armes, drogues et peau d’ours du monde ne feront pas de vous un homme. Comme se plaît à vous le répéter Dennis, votre mentor, votre corps forgera votre esprit. Jason peu en effet acquérir les compétences du héron, de l’araignée et du requin qui lui permettront de se déplacer dans la jungle et de venir à bout de ses ennemis plus facilement.
Chaque quête effectué vous rapporte des points d’expérience vous permettant de choisir une capacité à chaque niveau supplémentaire gagné. Traîner les corps ennemis, recharger en sprintant, nager plus rapidement… toutes les compétences ont leur utilité et se traduise par la progression du tatouage sur votre bras gauche.
Le développement de votre corps vous aidera à progresser dans l’histoire pour libérer vos amis au cours de missions variées qui vous amèneront à rencontrer une galerie de personnages plus délirants les uns que les autres, Vaas survolant malgré tout l’ensemble du casting avec une insolente facilité.
Si la progression du scénario, finalement assez basique, n’atteint jamais des sommets, l’alternance entre la quête principale et la libre progression sur l’archipel de Rook est en revanche une véritable réussite qui prouve qu’il est tout à fait possible de réussir un FPS en monde ouvert.
Il y aurait encore beaucoup à dire sur ce Far Cry 3, les nombreux écueils qui empêchaient de profiter de Far Cry 2 ayant été effacés. Ubisoft a décidé de se racheter auprès des fans et nous livre un titre soigné qu’on a du mal à lâcher une fois commencé. L’ambiance et la liberté sont servies par une progression et un gameplay calibré pour nous donner l’envie de continuer à parcourir les îles Rook encore et encore, embrassant la folie promise à bras-le-corps.
Vous ne pourrez compter que sur vous-même au cours de cette aventure, qui vous demandera de délivrer chacun des vacanciers désormais menacés de se retrouver réduit en esclavage dans l’attente d’une hypothétique rançon.
Le jeu vous lance dans la jungle des îles Rook sans vous laisser le temps de prendre la mesure de votre situation, mais un secours bienvenu vous permettra rapidement de mesurer l’ampleur de votre tâche. L’archipel tout entier se trouve aux mains des pirates, et son peuple d’origine, les Rakyats, compte sur vous pour lui rendre ses terres.
Libre à vous de partir explorer l’île sans vous soucier outre mesure de la quête principale : à la manière d’Assassin’s Creed, escalader les tours radios réparties sur l’archipel repoussera peu à peu le brouillard qui encombre votre carte et vous permettra de profiter d’armes gratuites chez les marchands. La conquête de fortins défendus par les pirates éliminera quant à elle la présence ennemie dans la zone qui l’entoure tout en vous fournissant de nombreuses quêtes à accomplir.
Assez variées, celles-ci vous demanderont de chasser de dangereux prédateurs, de secourir la veuve et l’orphelin ou bien encore d’acheminer des kits de soin à bon port. Somme toute classiques, elles sont surtout prétexte à vous faire découvrir l’incroyable ambiance de l’archipel.
Entre les animaux qui se promènent sur leur territoire (baissez la musique dans les options sous peine de ne pas entendre venir les tigres dans votre dos), les pirates qui effectuent des rondes régulières dans les régions encore non libérées et les Rakyats qui mènent leur petite vie en ne manquant pas de vous remercier pour votre aide, la vie est omniprésente.
Une véritable invitation à flâner, vos balades étant récompensées par la présence de valises contenant des objets à revendre aux boutiques. L’argent n’est jamais un problème dans Far Cry 3, l’ensemble de votre sac pouvant être marchandé, sans parler de la possibilité de fouiller les corps des ennemis pour ramasser quelques dollars supplémentaires.
Mais l’argent n’achète pas tout, et il vous faudra chasser par vous-même pour améliorer vos holsters, votre sac, votre portefeuille ou votre porte-seringues. Les ingrédients nécessaires à la confection de ces dernières poussent sur l’ensemble de l’archipel, et autant dire qu’entre celles de soin, de chasse et de combat c’est une véritable droguerie portative que vous aurez en permanence sous la main.
Néanmoins, toutes les armes, drogues et peau d’ours du monde ne feront pas de vous un homme. Comme se plaît à vous le répéter Dennis, votre mentor, votre corps forgera votre esprit. Jason peu en effet acquérir les compétences du héron, de l’araignée et du requin qui lui permettront de se déplacer dans la jungle et de venir à bout de ses ennemis plus facilement.
Chaque quête effectué vous rapporte des points d’expérience vous permettant de choisir une capacité à chaque niveau supplémentaire gagné. Traîner les corps ennemis, recharger en sprintant, nager plus rapidement… toutes les compétences ont leur utilité et se traduise par la progression du tatouage sur votre bras gauche.
Le développement de votre corps vous aidera à progresser dans l’histoire pour libérer vos amis au cours de missions variées qui vous amèneront à rencontrer une galerie de personnages plus délirants les uns que les autres, Vaas survolant malgré tout l’ensemble du casting avec une insolente facilité.
Si la progression du scénario, finalement assez basique, n’atteint jamais des sommets, l’alternance entre la quête principale et la libre progression sur l’archipel de Rook est en revanche une véritable réussite qui prouve qu’il est tout à fait possible de réussir un FPS en monde ouvert.
Il y aurait encore beaucoup à dire sur ce Far Cry 3, les nombreux écueils qui empêchaient de profiter de Far Cry 2 ayant été effacés. Ubisoft a décidé de se racheter auprès des fans et nous livre un titre soigné qu’on a du mal à lâcher une fois commencé. L’ambiance et la liberté sont servies par une progression et un gameplay calibré pour nous donner l’envie de continuer à parcourir les îles Rook encore et encore, embrassant la folie promise à bras-le-corps.
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