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Test : Facebreaker

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Port étendard de la nouvelle gamme Freestyle d’EA, ce Facebreaker voudrait renouer le genre de la boxe arcade. Pari difficile, tant un dosage maladroit dans le…

Port étendard de la nouvelle gamme Freestyle d’EA, ce Facebreaker voudrait renouer le genre de la boxe arcade. Pari difficile, tant un dosage maladroit dans le gameplay peut vous flanquer en l’air le résultat final le plus simplement du monde…

Inutile de tergiverser des heures autour du pot. Non, Facebreaker n’arrive a aucun moment à s’afficher comme une nouvelle alternative à la série Ready 2 Rumble, et encore moins au mythique Punch Out ! Pourtant, on peut dire que les choses avaient bien commencées : le jeu affiche en effet un enrobage des plus léchés, misant sur un côté fun et parodique qui fait mouche. Et pourtant, une fois le pad en main, on se rend compte que le gameplay dévoile ses limites bien trop rapidement. Ce dernier est en effet basés sur une approche très (trop) arcade, et laisse une trop grande part à la chance. Car pour gagner, il suffit en fait de marteler sauvagement les touches du pad, en espérant être plus rapide que l’adversaire. De la même façon, le processus d’esquive, le seul moyen d’éviter le K.O en moins de 10 secondes est vraiment trop douteux. Difficile dans ce cas d’éviter la crampe au bout de quelques rounds…

Reste le fameux Facebreaker, qui permet d’assommer l’adversaire en un seul et unique coup, et qui se déclenche après avoir asséné une vague de combos sans s’être fait contrer. Mais là encore, le tout se révèle être trop aléatoire pour convaincre. Le résultat est donc décevant, bien trop difficile pour le joueur moyen, du fait d’une I.A. nerveuse qui frappe sans aucun répit, et limite abrutissant, tant l’action est rapide (rapide, mais simpliste, et les animations pêchent clairement par leur manque de diversité) On saluera par contre l’éditeur de personnage sympathique, qui autorise même à partager ses créations. Libre à vous donc de télécharger (gratuitement, cela va de soi) les sosies d’Obama, de Steve Urkel ou de Peter Moore. Mais c’est tout de même bien trop maigre pour espérer sauver les meubles. Difficile en fait de revenir à la boxe virtuelle après la droite assenée par Fight Night : Round 3…

Le verdict ?


Que signifie cette pastille ?

Les +

  • L’enrobage graphique réussi
  • L’éditeur de personnages
  • Les –

  • Gameplay bancal
  • Bien trop difficile
  • Palette d’animations bien maigre
  • Port étendard de la nouvelle gamme Freestyle d’EA, ce Facebreaker voudrait renouer le genre de la boxe arcade. Pari difficile, tant un dosage maladroit dans le gameplay peut vous flanquer en l’air le résultat final le plus simplement du monde…

    Inutile de tergiverser des heures autour du pot. Non, Facebreaker n’arrive a aucun moment à s’afficher comme une nouvelle alternative à la série Ready 2 Rumble, et encore moins au mythique Punch Out ! Pourtant, on peut dire que les choses avaient bien commencées : le jeu affiche en effet un enrobage des plus léchés, misant sur un côté fun et parodique qui fait mouche. Et pourtant, une fois le pad en main, on se rend compte que le gameplay dévoile ses limites bien trop rapidement. Ce dernier est en effet basés sur une approche très (trop) arcade, et laisse une trop grande part à la chance. Car pour gagner, il suffit en fait de marteler sauvagement les touches du pad, en espérant être plus rapide que l’adversaire. De la même façon, le processus d’esquive, le seul moyen d’éviter le K.O en moins de 10 secondes est vraiment trop douteux. Difficile dans ce cas d’éviter la crampe au bout de quelques rounds…

    Reste le fameux Facebreaker, qui permet d’assommer l’adversaire en un seul et unique coup, et qui se déclenche après avoir asséné une vague de combos sans s’être fait contrer. Mais là encore, le tout se révèle être trop aléatoire pour convaincre. Le résultat est donc décevant, bien trop difficile pour le joueur moyen, du fait d’une I.A. nerveuse qui frappe sans aucun répit, et limite abrutissant, tant l’action est rapide (rapide, mais simpliste, et les animations pêchent clairement par leur manque de diversité) On saluera par contre l’éditeur de personnage sympathique, qui autorise même à partager ses créations. Libre à vous donc de télécharger (gratuitement, cela va de soi) les sosies d’Obama, de Steve Urkel ou de Peter Moore. Mais c’est tout de même bien trop maigre pour espérer sauver les meubles. Difficile en fait de revenir à la boxe virtuelle après la droite assenée par Fight Night : Round 3…

    Le verdict ?


    Que signifie cette pastille ?

    Les +

  • L’enrobage graphique réussi
  • L’éditeur de personnages
  • Les –

  • Gameplay bancal
  • Bien trop difficile
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