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Test : Souris Epic Gear MeduZa

Une fois n’est pas coutume(cynisme), c’est une souris pour joueurs que nous testons pour vous cette fois-ci à la rédaction. Entendons-nous bien, il y a bien…

Une fois n’est pas coutume(cynisme), c’est une souris pour joueurs que nous testons pour vous cette fois-ci à la rédaction. Entendons-nous bien, il y a bien longtemps que nous n’avons pas pu apprécier de réelles évolutions technologiques sur ce marché déjà extrêmement concurrentiel. C’est donc avec notre lot d’idées reçues que nous avons reçu il y a de cela deux semaines la première souris du jeune constructeur Epic Gear.

Enfin jeune, pas vraiment. Epic Gear est en réalité une nouvelle filiale du groupe taïwanais GEIL ( Golden Emperor International Limited). Ce groupe s’est déjà fait remarquer par le passé pour ses blocs d’alimentation de très bonne facture ainsi que divers produits de l’univers high-tech.

C’est donc avec des bases certaines en constructeur de composants reconnu que la marque nous propose ce jour sa MeduZa, une souris pour le moins atypique puisqu’elle n’embarque pas un, mais deux capteurs. Plus question donc de choisir entre optique ou laser, la MeduZa peut au choix tirer profit de la stabilité du capteur optique ou au contraire la rapidité du laser. Comme vous le verrez tout au long de ce test, la MeduZa apporte à la fois du neuf dans le secteur, mais traîne aussi quelques défauts qu’on saura lui pardonner (ou non).

La surface "soft touch" est agréable


Design & ergonomie

La MeduZa ne détone pas particulièrement vis-à-vis de son design. Ceci n’est pas en soi une mauvaise chose puisque la souris ne tombe ni dans l’excès ni dans le banal: elle sais se faire remarquer ne serait-ce que grâce à sa base rouge vif. Couleur que l’on regrette certainement et qui contribue à l’aspect “cheap” du plastique utilisé pourtant de bonne facture.
Amis gauchers, passez une nouvelle fois votre chemin, car cette MeduZa ne s’amusera (ha!) qu’avec les droitiers. Les boutons étant d’ailleurs judicieusement placés pour ceux que la nature aime encore et ne nécessite pas un ré-apprentissage comme sur d’autres modèles. On regrette cependant la sensation de relative fragilité de ces mêmes boutons. On en dénombre 7 (en comptant les deux clics gauche/droite). Trois sous le pouce : suivant/précédent et changement de profil, et un à l’arrière de la molette pour le changement de DPI.

Le logo ainsi que les indicateurs de sensibilité s’illuminent d’un rouge quant à lui du plus bel effet surtout en pénombre. La molette de la souris s’illumine quant à elle dans 5 couleurs différentes en fonction du profil sélectionné, elle sait rester ferme et les crans sont réguliers. Les pilotes (nous y reviendrons) ne permettent cependant pas de contrôler finement la couleur des différents éléments en fonction d’un profil donné, mais je chipote.

Pilotes et technique

LA grande attraction de la MeduZa reste avant tout son double capteur breveté HDST pour Hybrid Dual Sensor Technology. Même les non-anglophones l’auront deviné, le constructeur a eu l’idée de placer sur un seul périphérique de pointage une solution hybride à base de capteur optique et laser. J’utilise actuellement cette souris afin de rédiger ce test et l’intérêt est flagrant : entre mes sessions de procrastination sur Battlefield ou Diablo III pour ensuite retourner à ce test, le fait de pouvoir changer de capteur à la volée est un vrai plus.

En mode Laser, les à coups de souris se font plus vifs, idéal sur un jeu tel que Battlefield 3 où chaque frame gagné est synonyme davantage sur l’adversaire. Toujours sur ce titre, pouvoir basculer en mode optique lors de sessions de tirs à longue distance représente un confort supplémentaire, indéniablement aidé par la précision de cedit capteur à basse vitesse. On se plaît donc à basculer entre les différents modes en fonction de ses exigences. On regrette cependant que le dispositif de sélection de mode soit à activer par le dessous de la souris, il y avait mieux à faire de ce côté là.
Le câble de la MeduZa est d’excellente facture, protégé par une gaine tressée noire/orange, il mesure 2 mètres et se révèle suffisamment léger pour ne pas entraver vos mouvements.

Passons maintenant à l’un des points noirs de cette souris : les pilotes.
Avant que vous ne me jetiez la pierre, sachez que dans l’absolu, ces pilotes remplissent presque entièrement leur office. La manière dont vous y parviendrez en revanche ressemblera au mieux à un léger contre temps et au pire à un véritable parcours du combattant.

D’emblée, au lancement du logiciel accompagnant les pilotes vous serez accueilli par une animation Flash en plein écran. Oubliez cet e-mail qu’il ne vous restait plus qu’à envoyer avant que la curiosité ne vous pousse à cliquer sur l’icône, s’en suit une animation un peu longuette qui signe le début de votre prise de contrôle de l’usine à gaz (du moins, c’est le sentiment qui en ressort).

Après cette introduction haute en couleur, place aux réglages et là, les pilotes de la MeduZa ne se montrent en rien avares. Réglages de chacun des boutons, même les clics droits et gauches peuvent être paramétrés différemment. En fonction du capteur, différents curseurs s’offrent à moi, les intitulés des réglages sont clairs et explicites.

Seulement voilà, entre chaque onglet, vous aurez droit à une animation accompagnée d’un effet sonore dont vous auriez pu vous passer. Si vous souhaitez ajuster une macro ingame, vous devrez repasser par le menu en plein écran et passer animations après animations pour modifier une simple macro… Non ce n’est pas si simple, il vous sera impossible de modifier une macro enregistrée si elle s’avère défaillante en jeu, il faudra tout recommencer.
En ce qui concerne les capteurs, ils apportent un vrai plus à la MeduZa, elle dispose même d’un troisième mode alternatif où les deux capteurs sont actifs ensembles afin d’offrir “le meilleur des deux mondes en somme “. On retrouve la précision de l’optique tout en tirant profit de la rapidité du capteur laser (en fonction du DPI choisi pour ce dernier).



Ci-dessus, une vidéo (en allemand) de la fenêtre plein écran des pilotes.

A l’utilisation

La MeduZa est une souris robuste qui est faite pour durer. Passée l’appréhension des premières heures, ce périphérique a su se montrer à la hauteur de mes exigences. Elle est d’ailleurs disponible avec un tapis de souris Hybrid Pad for HDST sensé faire briller la souris dans son domaine de prédilection. La glisse sur ce tapis est fluide, pas autant toutefois que celle de la Cyborg M.M.O 7 et le tapis Razer Goliathus qui l’accompagne. Les patins de la MeduZa auraient pu se montrer plus travaillés mais ils font le travail. Passons aux jeux.

Diablo III

Passage obligé désormais de ce titre dans nos tests de souris. Ce titre nous a rappelé ses origines Hack n’ Slash (pas de polémique) en sollicitant nos souris plus que de raison. Dans le feu de l’action, la MeduZa n’est jamais prise en défaut. Les clics se font sans forcer et la souris sait se montrer silencieuse malgré les actions répétées.

Call Of Duty : Modern Warfare II

Second titre de ce test, COD se rapproche de ce qui se fait de plus nerveux en matière de FPS à l’heure actuelle. Inutile d’être précis ici, l’essentiel est d’être le plus rapide et à ce jeu, la MeduZa réponds présente. Son capteur laser associé à un tapis Hybrid Pad de taille plus que respectable (légèrement plus large que le respectable Goliathus de Razer), permet de réaliser des rotations à 180 degrés sans l’ombre d’un pépin. Le mode hybride en revanche à tendance à trop “lisser ” les mouvements lorsqu’ils sont rapides. On lui préférera l’un des deux modes en fonction des situations.

Battlefield III

Même qualités et même reproches en ce qui concerne Battlefield. La souris se comporte bien et les trois boutons permettent d’aller à l’essentiel rapidement.

Conclusion :

Epic Gear signe là une très bonne surprise qui a le mérite de nous changer des habituels “refresh” de produits déjà connus. On salue donc l’initiative d’offrir aux joueurs l’opportunité de choisir le capteur qui leur sied mieux. On aime également le côté “sans fioritures” de la MeduZa qui reste concise quant à son nombre de boutons. S’il devait y avoir un seul point noir, ce serait certainement l’ergonomie des pilotes à revoir ainsi qu’une éventuelle meilleure accessibilité de l’interrupteur de changement de capteur.

La MeduZa d’Epic Gear représente une solution atypique à conseiller aux joueurs avides de nouvelles sensations. Passé les premières heures à pester contre les pilotes, on prend plaisir à constater que la souris fait le job et c’est tout ce qu’on lui demande. Seulement voilà, à 79 euros (tapis de souris inclus) la MeduZa entre en concurrence frontale avec des ténors du marché tels que la Logitech G9X, la Razer Lachesis ou encore la ROCCAT Kone. Certes, le double capteur représente un plus non négligeable par rapport à la concurrence, mais nous aurions toutefois aimé une offre moins chère en faisant l’impasse, peut-être, sur l’Hybrid Pad.

En définitive, si pour vous la précision de ce type de périphérique à une importance capitale, la MeduZa saura vous convaincre. Pour un coup d’essai, c’est un produit fini que nous livre le constructeur et nous avons hâte de voir les produits à venir de la marque.

Une fois n’est pas coutume(cynisme), c’est une souris pour joueurs que nous testons pour vous cette fois-ci à la rédaction. Entendons-nous bien, il y a bien longtemps que nous n’avons pas pu apprécier de réelles évolutions technologiques sur ce marché déjà extrêmement concurrentiel. C’est donc avec notre lot d’idées reçues que nous avons reçu il y a de cela deux semaines la première souris du jeune constructeur Epic Gear.

Enfin jeune, pas vraiment. Epic Gear est en réalité une nouvelle filiale du groupe taïwanais GEIL ( Golden Emperor International Limited). Ce groupe s’est déjà fait remarquer par le passé pour ses blocs d’alimentation de très bonne facture ainsi que divers produits de l’univers high-tech.

C’est donc avec des bases certaines en constructeur de composants reconnu que la marque nous propose ce jour sa MeduZa, une souris pour le moins atypique puisqu’elle n’embarque pas un, mais deux capteurs. Plus question donc de choisir entre optique ou laser, la MeduZa peut au choix tirer profit de la stabilité du capteur optique ou au contraire la rapidité du laser. Comme vous le verrez tout au long de ce test, la MeduZa apporte à la fois du neuf dans le secteur, mais traîne aussi quelques défauts qu’on saura lui pardonner (ou non).

La surface "soft touch" est agréable


Design & ergonomie

La MeduZa ne détone pas particulièrement vis-à-vis de son design. Ceci n’est pas en soi une mauvaise chose puisque la souris ne tombe ni dans l’excès ni dans le banal: elle sais se faire remarquer ne serait-ce que grâce à sa base rouge vif. Couleur que l’on regrette certainement et qui contribue à l’aspect “cheap” du plastique utilisé pourtant de bonne facture.
Amis gauchers, passez une nouvelle fois votre chemin, car cette MeduZa ne s’amusera (ha!) qu’avec les droitiers. Les boutons étant d’ailleurs judicieusement placés pour ceux que la nature aime encore et ne nécessite pas un ré-apprentissage comme sur d’autres modèles. On regrette cependant la sensation de relative fragilité de ces mêmes boutons. On en dénombre 7 (en comptant les deux clics gauche/droite). Trois sous le pouce : suivant/précédent et changement de profil, et un à l’arrière de la molette pour le changement de DPI.

Le logo ainsi que les indicateurs de sensibilité s’illuminent d’un rouge quant à lui du plus bel effet surtout en pénombre. La molette de la souris s’illumine quant à elle dans 5 couleurs différentes en fonction du profil sélectionné, elle sait rester ferme et les crans sont réguliers. Les pilotes (nous y reviendrons) ne permettent cependant pas de contrôler finement la couleur des différents éléments en fonction d’un profil donné, mais je chipote.

Pilotes et technique

LA grande attraction de la MeduZa reste avant tout son double capteur breveté HDST pour Hybrid Dual Sensor Technology. Même les non-anglophones l’auront deviné, le constructeur a eu l’idée de placer sur un seul périphérique de pointage une solution hybride à base de capteur optique et laser. J’utilise actuellement cette souris afin de rédiger ce test et l’intérêt est flagrant : entre mes sessions de procrastination sur Battlefield ou Diablo III pour ensuite retourner à ce test, le fait de pouvoir changer de capteur à la volée est un vrai plus.

En mode Laser, les à coups de souris se font plus vifs, idéal sur un jeu tel que Battlefield 3 où chaque frame gagné est synonyme davantage sur l’adversaire. Toujours sur ce titre, pouvoir basculer en mode optique lors de sessions de tirs à longue distance représente un confort supplémentaire, indéniablement aidé par la précision de cedit capteur à basse vitesse. On se plaît donc à basculer entre les différents modes en fonction de ses exigences. On regrette cependant que le dispositif de sélection de mode soit à activer par le dessous de la souris, il y avait mieux à faire de ce côté là.
Le câble de la MeduZa est d’excellente facture, protégé par une gaine tressée noire/orange, il mesure 2 mètres et se révèle suffisamment léger pour ne pas entraver vos mouvements.

Passons maintenant à l’un des points noirs de cette souris : les pilotes.
Avant que vous ne me jetiez la pierre, sachez que dans l’absolu, ces pilotes remplissent presque entièrement leur office. La manière dont vous y parviendrez en revanche ressemblera au mieux à un léger contre temps et au pire à un véritable parcours du combattant.

D’emblée, au lancement du logiciel accompagnant les pilotes vous serez accueilli par une animation Flash en plein écran. Oubliez cet e-mail qu’il ne vous restait plus qu’à envoyer avant que la curiosité ne vous pousse à cliquer sur l’icône, s’en suit une animation un peu longuette qui signe le début de votre prise de contrôle de l’usine à gaz (du moins, c’est le sentiment qui en ressort).

Après cette introduction haute en couleur, place aux réglages et là, les pilotes de la MeduZa ne se montrent en rien avares. Réglages de chacun des boutons, même les clics droits et gauches peuvent être paramétrés différemment. En fonction du capteur, différents curseurs s’offrent à moi, les intitulés des réglages sont clairs et explicites.

Seulement voilà, entre chaque onglet, vous aurez droit à une animation accompagnée d’un effet sonore dont vous auriez pu vous passer. Si vous souhaitez ajuster une macro ingame, vous devrez repasser par le menu en plein écran et passer animations après animations pour modifier une simple macro… Non ce n’est pas si simple, il vous sera impossible de modifier une macro enregistrée si elle s’avère défaillante en jeu, il faudra tout recommencer.
En ce qui concerne les capteurs, ils apportent un vrai plus à la MeduZa, elle dispose même d’un troisième mode alternatif où les deux capteurs sont actifs ensembles afin d’offrir “le meilleur des deux mondes en somme “. On retrouve la précision de l’optique tout en tirant profit de la rapidité du capteur laser (en fonction du DPI choisi pour ce dernier).



Ci-dessus, une vidéo (en allemand) de la fenêtre plein écran des pilotes.

A l’utilisation

La MeduZa est une souris robuste qui est faite pour durer. Passée l’appréhension des premières heures, ce périphérique a su se montrer à la hauteur de mes exigences. Elle est d’ailleurs disponible avec un tapis de souris Hybrid Pad for HDST sensé faire briller la souris dans son domaine de prédilection. La glisse sur ce tapis est fluide, pas autant toutefois que celle de la Cyborg M.M.O 7 et le tapis Razer Goliathus qui l’accompagne. Les patins de la MeduZa auraient pu se montrer plus travaillés mais ils font le travail. Passons aux jeux.

Diablo III

Passage obligé désormais de ce titre dans nos tests de souris. Ce titre nous a rappelé ses origines Hack n’ Slash (pas de polémique) en sollicitant nos souris plus que de raison. Dans le feu de l’action, la MeduZa n’est jamais prise en défaut. Les clics se font sans forcer et la souris sait se montrer silencieuse malgré les actions répétées.

Call Of Duty : Modern Warfare II

Second titre de ce test, COD se rapproche de ce qui se fait de plus nerveux en matière de FPS à l’heure actuelle. Inutile d’être précis ici, l’essentiel est d’être le plus rapide et à ce jeu, la MeduZa réponds présente. Son capteur laser associé à un tapis Hybrid Pad de taille plus que respectable (légèrement plus large que le respectable Goliathus de Razer), permet de réaliser des rotations à 180 degrés sans l’ombre d’un pépin. Le mode hybride en revanche à tendance à trop “lisser ” les mouvements lorsqu’ils sont rapides. On lui préférera l’un des deux modes en fonction des situations.

Battlefield III

Même qualités et même reproches en ce qui concerne Battlefield. La souris se comporte bien et les trois boutons permettent d’aller à l’essentiel rapidement.

Conclusion :

Epic Gear signe là une très bonne surprise qui a le mérite de nous changer des habituels “refresh” de produits déjà connus. On salue donc l’initiative d’offrir aux joueurs l’opportunité de choisir le capteur qui leur sied mieux. On aime également le côté “sans fioritures” de la MeduZa qui reste concise quant à son nombre de boutons. S’il devait y avoir un seul point noir, ce serait certainement l’ergonomie des pilotes à revoir ainsi qu’une éventuelle meilleure accessibilité de l’interrupteur de changement de capteur.

La MeduZa d’Epic Gear représente une solution atypique à conseiller aux joueurs avides de nouvelles sensations. Passé les premières heures à pester contre les pilotes, on prend plaisir à constater que la souris fait le job et c’est tout ce qu’on lui demande. Seulement voilà, à 79 euros (tapis de souris inclus) la MeduZa entre en concurrence frontale avec des ténors du marché tels que la Logitech G9X, la Razer Lachesis ou encore la ROCCAT Kone. Certes, le double capteur représente un plus non négligeable par rapport à la concurrence, mais nous aurions toutefois aimé une offre moins chère en faisant l’impasse, peut-être, sur l’Hybrid Pad.

En définitive, si pour vous la précision de ce type de périphérique à une importance capitale, la MeduZa saura vous convaincre. Pour un coup d’essai, c’est un produit fini que nous livre le constructeur et nous avons hâte de voir les produits à venir de la marque.

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24 commentaires
  1. Si je venais pas d’avoir acheté ma Razer Orochi je pense que j’aurais pris celle-la 🙂

  2. oula moi qui vient de me rendre compte que j’étais en train d’achever ma souris sur D3 je vais peut être me laisser tenter

  3. Un fournisseur m’a filé un sample de cette souris avec le tapis 🙂
    Je l’utilise au boulot depuis plusieurs mois et je la changerais difficilement, très très confortable! Je l’utilise en mode hybride, je trouve l’effet de”lissage” de ce mode plutôt agréable en bureautique. Je l’ai testé en jeu aussi mais la je préfère ma RAT.

  4. Le design ressemble énormément à une razer imperator… mise à part ça, j’aime clairement le petit logiciel de gestion à l’esthétique “starcraft” 🙂

  5. J’aurais bien aimé avoir la dimension du tapis autrement qu’en “nombre d’iPhone”. D’accord Apple est populaire, mais pas au point que l’iPhone soit devenu une mesure étalon en terme de dimensions….

  6. @Poulet “J’aurai plutôt aimé entendre quelle est l’incidence des capteurs excentrés,”

    J’ai cessé de lire là.

  7. Pas du tout convaincu par le test :

    1. Une technologie qui sent bon la shadockerie “s’il y a une solution, c’est qu’il y avait un problème”…Et n’a jamais tenu sur le long terme.
    2. Une absence de comparaison directe avec un modèle récent de gamme équivalente chez un autre constructeur.
    3. La question des capteurs excentrés n’est pas anodine, beaucoup moins que la technologie des capteurs de cette souris pour son efficacité dans les jeux. En passant, une souris à 10 euros permet de faire un 180° sur Bfield 3…
    4. Comme l’a fait remarquer un commentateur, le poids est clairement excessif pour une souris de joueur (public visé).

    5. Bon point sur la présentation du test et le chapitre des drivers.

  8. @necroproject “Une technologie qui sent bon la shadockerie” Avis personnel pas de problème là dessus.

    “Une absence de comparaison directe avec un modèle récent de gamme équivalente chez un autre constructeur”

    Nous avons un comparatif dans les cartons chaque choses à sa place 🙂

    “La question des capteurs excentrés n’est pas anodine, beaucoup moins que la technologie des capteurs de cette souris pour son efficacité dans les jeux. En passant, une souris à 10 euros permet de faire un 180° sur Bfield 3…”

    Si les capteurs sont excentrés, sache que cette particularité ne la distingue aucunement d’autres souris du marché, si cela avait été le cas j’en aurais fait mention. Et en ce qui concerne le 180° sur Battlefield, une souris à 10 euros avec les patins qu’on lui connait et le temps de réponse USB vers CPU te feront certainement déchanter.

    “Comme l’a fait remarquer un commentateur, le poids est clairement excessif pour une souris de joueur (public visé).” Excessif oui et non, la souris aurait mérité un système de gestion de poids c’est un fait. En revanche, pour ceux qui possèdent un tapis très large, le poids posera sans doute moins de problèmes (et inversement).

    Quoiqu’il en soit, merci pour le retour Necroproject. Ces commentaires permettent à la fois aux constructeurs mais aussi à nous, testeurs de prendre en compte les attentes des utilisateurs.

  9. Merci de ne pas avoir trop mal pris mon commentaire, un peu sec je le reconnais.

    La critique visait d’abord le discours marketing car en allant sur la page du constructeur on peut lire qu’un capteur laser peut générer un effet de jitter, des problèmes d’accélération etc. Je n’ai jamais lu aucune personne équipée d’une souris laser haut de gamme se plaindre de tels désagréments.

    Ma conviction est qu’en matière de produits pointus, a fortiori si l’on n’a pas la possibilité de pallier par des mesures objectives, l’auto suggestion est un biais malheureusement rédhibitoire.

    Je suis donc très heureux d’apprendre que vous ferez prochainement un comparatif.

    Sur la position des capteurs, chez Razer, ils sont la plupart du temps placés exactement au niveau de l’axe longitudinal de la souris et proches de l’axe transversal, ce qui, dans l’absolu, permet un gain en précision. Idem chez la gamme joueur logitech, steelseries etc.

    La question du poids n’est pas liée à la taille du tapis de souris. C’est à la fois une question d’inertie et de fatigue physique (chez les joueurs intensifs). Ce que ne peuvent compenser les meilleurs patins du monde. Sur ce point, voir edit.

    Encore une fois, ces remarques sont rapport au public visé par la souris (les joueurs). Pour de la bureautique, elles sont sans objet…et inutiles car cette souris, dans ce cas, est éliminée d’office par son rapport prix-prestations. Si elle se vendait 30-40 euros, je ne dis pas…

    Edit : un test sur cowcotland mesure le poids à 121g, C’est moins qu’une souris Razer et rehausse de beaucoup l’intérêt de la souris.

  10. Bonjour,

    C’est moi ou le dessous de la souris ressemble à un SMILEY?

    YEUX
    NEZ
    SOURIRE (BOUCHE)

    😛 😀

  11. Ok, le design, le packaging, la police d’écriture du nom et même la disposition des stickers en dessous… mais serait-ce un pompage total des produits Razer ? Mais oui on dirait bien !

  12. Elle a l’air un peu cheap quand même avec tout ce plastique. Moi j’ai une rat 9 et j’en suis très content. Pas le même budget aussi. Bon test les gars.

  13. Elle trop cool mais je voudrais l’acheté mais je ne trouve pas le prix es ce-que quelqu’un pourrais me dire le prix s’il-vous-plaît .
    Merci d’avance ! =)

  14. @hugo désolé de la réponse tardive, elle doit être entre les 65 – 70 euros si je me trompe pas. 🙂

  15. Cool je viens de l’acheté sur Amaz**, mais je ne voie pas comment avoir cette sourie avec le tapis, le tapis dee sourie n’est pas vendu avec je crois sur d’autre sites, mais peut-on acheté ce tapis de sourie sur Le Journal du Geek ?

    Merci de votre compréension, Cordialement
    CyanoGeek

Les commentaires sont fermés.

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