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Test du Dyson WashG1, un premier laveur de sol attendu, aux résultats en demi-teinte

S’il y a bien un marché sur lequel on attendait Dyson, en tant que spécialiste de l’entretien des sols, c’est celui en pleine ébullition de l’aspirateur laveur. Il s’en est rapproché en lançant le WashG1 cet été, mais sans totalement y plonger puisque cet appareil, bien qu’il soit capable de collecter quelques saletés au passage, est un « simple » laveur de sols – pas un aspirateur laveur.

À l’issue de plusieurs semaines de test, voyons ce que Dyson nous a concocté pour que cet onéreux appareil monofonction (lancé à 649 euros) tire son épingle du jeu face à des concurrents plus polyvalents.

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Avant d’évoquer notre expérience avec ce WashG1, quelques explications s’imposent. Le marché tout récent de l’aspirateur laveur (ou wet and dry) est en pleine croissance. Et forcément, tout le monde veut sa part du gâteau. De plus, quand les consommateurs semblent attendre des appareils capables d’aspirer et laver leurs sols durs (prédominants en France) pour en assurer un entretien complet, difficile de ne pas répondre à cette attente quand on est une marque spécialiste du soin des sols – surtout aussi réputée que Dyson. Le fabricant a fait une première proposition avec l’aspirateur balai Dyson V15s Detect Submarine, vendu avec une brosse lavante. Mais voilà, cette brosse n’est pas compatible avec la version classique de l’aspirateur V15 (ni avec les autres générations, d’ailleurs). Il fallait donc bien proposer une solution aux possesseurs d’aspirateurs Dyson non compatibles qui souhaitent laver leurs sols après les avoir dépoussiérés. Cette solution, c’est le laveur WashG1, qui est aussi capable de collecter des liquides ou des salissures collantes, comme les aspirateurs wet and dry.

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Le lavage, mais sans aspiration

La principale promesse du WashG1 est d’assurer un lavage hygiénique, sans étaler de l’eau sale comme le ferait une simple serpillère. La tête est composée d’une brosse lavante à deux rouleaux. Chacun dispose de son propre moteur et tourne dans un sens (un vers l’avant, l’autre vers l’arrière) pour frotter les sols ; Dyson parle de rouleaux « contrarotatifs ». Une pompe les humidifie à travers 26 jets. Selon la description du fabricant, le WashG1 combine des « technologies d’humidification, d’absorption et d’extraction ». L’eau est absorbée par les rouleaux en microfibre qui sont raclés pour en faire sortir l’eau sale et d’éventuelles saletés.

Si le WashG1 n’aspire pas à proprement parler, il peut tout de même collecter quelques déchets secs ou humides grâce au mouvement des rouleaux (comme des poils d’animaux ou un bol de céréales qu’on aurait renversé, par exemple). Toutefois, il s’agit vraiment de ramassage d’appoint, pas plus, car les débris sont stockés sur une plaque filtrante toute fine, dans la brosse. On est vraiment très loin de la quantité de déchets que peut contenir un aspirateur.

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Lavage aussi performant que promis, mais sur des sols dépoussiérés

Vu son positionnement tarifaire, sachant que le WashG1 lave sans aspirer, on l’attendait au tournant sur son unique fonction. Très bon point : contrairement à la quasi-totalité des aspirateurs laveurs, qui peuvent soit être utilisés avec de l’eau pure, soit avec de l’eau mélangée au détergent de la marque exclusivement (parfois vendu à prix d’or et qu’on ne peut alors pas choisir en fonction de sa composition), le WashG1 accepte de nombreux produits d’entretien. En réalité, on peut utiliser n’importe lequel à l’exception de l’eau de Javel et à condition de le diluer, en respectant les proportions. À noter que s’il n’y a pas de limitation, Dyson pourrait bien un jour commercialiser un détergent spécifique dont il est question dans le mode d’emploi (« lorsque vous utilisez la solution de nettoyage Dyson, veuillez vous référer à la bouteille pour plus d’informations »).

Le WashG1 propose trois réglages d’humidité, qui modifient légèrement la vitesse de rotation de la brosse. En plus de ces modes, un bouton « max » permet d’enclencher le débit maximal ponctuellement, tant qu’on le garde pressé. C’est assez pratique si le sol n’est pas spécialement sale mais qu’on a une ou deux taches à éliminer.

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En matière de lavage, il tient ses promesses. Il n’a aucune difficulté à supprimer les traces du quotidien (comme des éclaboussures sur le carrelage blanc de notre cuisine). Les liquides sucrés (comme du jus de fruit), même épais (sauce soja) sont également éliminés sans problème. Enfin, les taches les plus incrustées et collantes (comme le ketchup séché) nécessitent certes le débit d’eau maximal et plusieurs passages mais il en vient à bout. Ses performances sont comparables à celles des meilleurs aspirateurs laveurs. Il est en outre appréciable que même utilisé avec de l’eau pure, le WashG1 ne laisse pas les sols gras ou collants.

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Quand c’est possible, mieux vaut privilégier le degré d’humidité le plus faible, car à partir du débit moyen, on sent que le Dyson WashG1 absorbe sans aspirer : la brosse a tendance à laisser de l’eau dans les joints de carrelage, par exemple, qui ne sont certes pas détrempés mais mettent plus de temps à sécher.

Contrairement à certains aspirateurs laveurs haut de gamme récents, qui nettoient bord à bord, le WashG1 longe correctement les bordures seulement d’un côté de sa brosse (du côté droit). De l’autre, il n’est pas possible de parfaitement laver jusqu’aux plinthes ou jusqu’aux meubles, la brosse laissant un espace non couvert d’environ 2 cm. Au vu de son prix, là encore, on aurait pu espérer que Dyson aille plus loin.

Pour obtenir de bons résultats, mieux vaut aussi avoir bien aspiré les sols juste avant de passer le WashG1. En effet, s’il ne rencontre aucun problème avec les détritus épais solides (céréales, litière minérale pour chat, boue, morceaux de croquettes…), il a plus de mal à ramasser nos cheveux longs. Dès qu’ils sont humides, ils collent au carrelage et le laveur peine à les en détacher ; il faut vraiment s’y reprendre à plusieurs fois. Pour les poils d’animaux, c’est moins compliqué mais pas parfait. En effet, si on en récolte beaucoup, le Dyson WashG1 a tendance à les « tricoter », les transformant en petites pelotes qu’il rejette sur le sol. C’est bien dommage car comme le petit aspirateur acrobate Dyson Omni-glide, grâce à ses rouleaux contrarotatifs, il peut collecter des saletés quand on le pousse vers l’avant ou quand on le tire vers l’arrière.

Une bonne endurance et une batterie amovible

Le choix de mode fait surtout varier le débit d’eau. La vitesse de rotation de la brosse, elle, varie très peu. L’incidence sur l’autonomie de la batterie, qui s’élève à une quarantaine de minutes quel que soit le réglage, est minime.

En revanche, le choix du débit d’eau a un impact sur la vitesse à laquelle se vide le réservoir, d’une contenance d’un litre. Selon Dyson, cela permettrait de nettoyer jusqu’à 290 m2… Pas avec le débit d’eau maximum alors, dans lequel le réservoir se vide à vitesse grand V, nécessitant de faire des pauses fréquentes pour le remplir (quasiment toutes les 10 min). Si le sol n’est pas trop encrassé, nous conseillons d’opter pour le débit minimum quitte à jouer du bouton « max » si des taches retorses se présentent.

Concernant ce laveur sans fil, on apprécie aussi que sa batterie soit détachable, ce qui permet de la changer facilement si elle montre des signes de faiblesse. C’est un bon point et ça n’est pas systématique sur les aspirateurs laveurs.

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Un design typique de Dyson mais une ergonomie immature

Dès le premier coup d’œil, on reconnaît la griffe esthétique de Dyson ; à n’en pas douter, le design contemporain du WashG1 plaira aux afficionados de la marque britannique. Il ne ressemble à aucun aspirateur laveur du marché, ni par sa forme, ni par sa couleur. Rien à signaler concernant la mise en service puisqu’il suffit de clipser le manche pour que l’appareil soit prêt. La base, elle aussi, est livrée en deux parties à assembler. Compacte et très légère, elle est dotée de petites ventouses qui stabilisent l’ensemble pendant la charge – même si le Dyson WashG1 propose déjà une position de parking bien assurée.

Ses réservoirs d’eau sont superposés, à l’avant : eau propre sur le dessus (1 L), eau sale dessous (0,8 L). Première surprise, on ne peut pas détacher les réservoirs indépendamment. Pour ajouter de l’eau propre ou vider l’eau sale, il faut forcément détacher tout le bloc puis décrocher le réservoir dont on a besoin. Cela n’est pas forcément complexe mais pas d’une grande logique ; on a aussi deux manipulations à faire au lieu d’une.

La forme des réservoirs facilite le remplissage (et la vidange) puisque leur ouverture est très large. Mais leur couvercle ne peut pas être vissé dans toutes les positions ; il faut parfois tâtonner pour trouver la bonne.

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Pour les fonctions de base, le panneau de commande est assez intuitif. Il se compose d’un écran circulaire en couleur et de trois boutons, auxquels on accède facilement avec le pouce. Grâce au manche courbé, l’écran est incliné face à l’utilisateur et donc bien visible. Il indique le débit d’eau choisi (une, deux ou trois gouttes d’eau) et l’autonomie restante (en minutes et secondes). Il affiche aussi des alertes quand une manipulation est nécessaire comme vider l’eau sale ou ajouter de l’eau propre. Des animations défilent également pour aider aux gestes d’entretien. Notez que l’affichage s’adapte et « se tourne » pour être toujours dans le bon sens, par exemple quand le WashG1 est en position de parking et qu’on le regarde de face.

Concernant les commandes, un bouton (rouge) sert à démarrer/arrêter l’appareil, un autre (au niveau de l’écran) sert à changer le débit d’eau et enfin, le bouton « max » maintient la puissance maximale tant qu’on le presse. Ce sont les mêmes commandes qui permettent de lancer l’autonettoyage lorsque l’appareil est sur sa base ou de naviguer dans des menus, par des appuis brefs (pour faire défiler) ou prolongés (pour entrer dans les menus). On peut alors régler la langue, consulter le numéro de série, modifier la sensibilité d’hydratation des rouleaux et vérifier leur durée de vie. Là, c’est moins intuitif ; il y a un petit coup de main à prendre.

La poignée en fer à cheval, dans le prolongement du manche courbé, est assez surprenante mais participe au confort d’utilisation général. Le WashG1 n’est pas vraiment léger. Avec son réservoir d’eau rempli, il pèse presque 6 kg. Toutefois, ce poids est plutôt bien réparti et les rouleaux motorisés facilitent les mouvements, quand on pousse le WashG1 vers l’avant ou qu’on le tire vers soi. Même lorsque la séance de ménage se prolonge, il ne pèse pas trop. De plus, même si la tête de lavage est assez large et surtout profonde avec ses deux rouleaux, elle est assez souple et maniable, par exemple quand on veut atteindre les coins ou nettoyer le long des murs.

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En revanche, on sent largement le poids de l’appareil quand on doit le porter. Car contrairement à la quasi-totalité des aspirateurs laveurs du marché, le WashG1 est dépourvu de roulettes à l’arrière de sa tête de lavage. Vous venez de finir votre séance de ménage et vous devez traverser tout votre logement pour déposer le WashG1 sur sa station ? En l’absence de roues, ne comptez pas le mettre en position de parking, le basculer et le traîner. Il faut soit le porter, soit le pousser avec ses rouleaux mouillés au sol… À notre sens, ce défaut ergonomique est difficilement compréhensible.

Dyson a aussi prévu la possibilité de coucher son laveur pour pouvoir nettoyer sous les meubles. Comme on le remarque souvent avec les aspirateurs laveurs, pour passer sous un lit ou sous un canapé, on peut toutefois se retrouver bloqué par le réservoir d’eau qui descend assez bas sur le manche. En outre, le WashG1 n’est pas assez souple pour être totalement allongé au sol. Pour preuve : Dyson a prévu une petite roulette à l’arrière du manche mais si on couche l’appareil suffisamment pour qu’elle adhère au sol, la tête de lavage s’en soulève. Là encore, cela nous a surpris de la part de Dyson…

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Autre petite bizarrerie pendant le fonctionnement : lorsqu’on relève le WashG1 en position de parking, il s’arrête mais il ne redémarre pas automatiquement quand on l’incline à nouveau ; il faut le relancer avec le bouton on/off.

Enfin, sur l’unité que nous avons testée, il n’y avait pas de véritable clapet pour refermer le réservoir d’eau sale. Si on retourne ou qu’on couche le collecteur d’eau sale ou bien le bloc comprenant les deux réservoirs, l’eau sale s’échappe. Il faut donc bien le garder la « tête en bas » quand on le transporte pour le vider.

Il s’autonettoie sans se sécher

On peut encore pardonner au WashG1 de laver sans aspirer, d’autant qu’il lave plutôt bien. Mais quand on aborde la question de l’entretien, ça se gâte. D’abord, en ce qui concerne l’autonettoyage des rouleaux, le laveur de Dyson se contente d’un lavage à l’eau froide. Pour un tarif identique, certains aspirateurs laveurs autonettoient leurs rouleaux à l’eau chaude puis les sèchent. Interrogé sur ce point, Dyson assure ne pas avoir identifié de problème engendré par un séchage naturel – ni de risque d’odeurs ni de développement de bactéries évoqués par d’autres fabricants.

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Néanmoins, l’absence de séchage nous a laissés perplexe. En effet, le cycle d’autonettoyage s’achève par un essorage des rouleaux à grande vitesse (par force centrifuge). Mais à l’issue de cette opération, les rouleaux restent très humides. Étant donné qu’ils sont totalement enfermés dans la brosse (sur les côtés) et que cette dernière est recouverte par la station de charge (à l’avant et à l’arrière), ils « respirent » peu. Chez nous, au bout de plusieurs jours, ils n’étaient toujours pas secs ; nous avons fini par sortir tout le bloc (rouleaux et brosses) pour le laisser sécher à l’air libre pour ne pas prendre le risque qu’ils sentent mauvais.

Un nettoyage moins aisé qu’espéré

Ça c’est pour l’autonettoyage – en outre assez efficace au niveau des rouleaux, qui demeurent globalement propres et débarrassés des poussières, cheveux ou poils d’animaux. Reste la partie nettoyage « manuel », que Dyson promet simple et hygiénique… En pratique, c’est moins idyllique. Rien à signaler concernant le collecteur d’eau sale. Avec sa large ouverture et son intérieur lisse, il se vide, se rince et s’essuie très facilement. D’autant que la séparation de l’eau sale et des déchets est vraiment efficace. On peut donc vider l’eau sale dans l’évier ou dans les toilettes sans craindre de les boucher. Pour le reste, ça se complique.

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Contrairement aux aspirateurs laveurs, où les déchets sont séparés du liquide directement dans le réservoir, ici, la séparation s’effectue avant, au niveau de la brosse. Les débris sont séparés de l’eau grâce à ce que Dyson nomme des « plaques d’extraction », complétées par des « brosses secondaires ». Ces dernières sont placées à l’intérieur de la tête, contre les rouleaux pour les frotter constamment. L’accès aux plaques, ainsi qu’aux rouleaux et aux brosses, se fait par le côté. C’est moins pratique que sur la plupart des aspirateurs laveurs, qui permettent un accès par le dessus de la tête. Ensuite, leur nettoyage est vraiment fastidieux. Dans la vidéo tuto de Dyson, on a l’impression qu’il suffit de sortir les plaques, de prendre celle du dessus (la rouge, qui sert de tamis) et de la secouer au-dessus de la poubelle avant de la rincer. Mais sur le terrain, les salissures mouillées collent et on n’a pas d’autre choix que d’y mettre les mains pour tout enlever avant le rinçage. Quant à la plaque inférieure (grise), la poussière, les cheveux et les poils d’animaux s’agglutinent sur les côtés. L’opération est d’autant plus pénible que de l’eau sale a tendance à rester dans ces deux éléments, en particulier dans la plaque inférieure qui sert de réservoir plat. Nous l’avons même renversé plusieurs fois en sortant l’ensemble.

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Les affichages dynamiques qui apparaissent à l’écran indiquent de vider les débris avant l’autonettoyage. Nous recommandons plutôt de le faire après pour éviter de devoir se livrer deux fois à cette opération pénible – avant et après l’entretien.

Cette vidange des débris n’est pas la seule mauvaise surprise. Pour accéder aux deux rouleaux, il faut sortir tout le bloc comprenant aussi les deux « brosses secondaires ». Constituées de poils rigides, elles nettoient bien les rouleaux mais les poussières, fibres, poils d’animaux ou cheveux s’y incrustent et restent piégés dedans. Lors du séchage, ce sont d’ailleurs ces brosses plus que les rouleaux qui ont tendance à prendre une odeur désagréable.

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Notez qu’il faut prévoir de changer les rouleaux toutes les 25 h (environ tous les 6 mois selon les évaluations de Dyson) – leur durée de vie est indiquée dans les menus du WashG1. Ils coûtent 49 euros la paire.

Le WashG1 n’est pas connecté. Mais en plus des alertes et des animations qui apparaissent sur son écran, l’application MyDyson fournit des conseils, astuces et vidéos tuto d’aide à l’entretien.

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Où l’acheter ?

Le Dyson WashG1 est disponible au prix de 649 euros chez de nombreux commerçants.

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Notre avis

Adoptant un positionnement premium et affublé d’un design coloré caractéristique, de prime abord, le WashG1 a tout du produit Dyson « pur jus ». Mais quand on creuse et qu’on le teste, on a un peu l’impression qu’il n’est pas tout à fait mûr et qu’il aurait pu être amélioré avant d’être commercialisé. On a notamment du mal à comprendre l’absence de roues pour déplacer l’appareil de pièce en pièce, la position allongée incertaine avec une roulette inutile, voire les deux réservoirs en un bloc… Ensuite, l’entretien est loin d’être pratique. Pour finir, même si le WashG1 lave efficacement les sols préalablement dépoussiérés et qu’il est plutôt confortable à utiliser, son positionnement tarifaire est difficilement justifiable face à des aspirateurs laveurs à la fois plus polyvalents et aussi plus complets dans leurs fonctions.
Note : 7  /  10
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