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Test : Dragon Quest Monsters Joker (DS)

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La série des Dragon Quest, saga phare au Japon au même titre que Final Fantasy, commence à se frayer un chemin chez nous depuis quelques temps….

La série des Dragon Quest, saga phare au Japon au même titre que Final Fantasy, commence à se frayer un chemin chez nous depuis quelques temps. Notamment avec la sortie de ce Dragon Quest Monsters : Joker. Il ne faut pas avoir peur de passer des heures à combattre pour apprécier ce nouveau jeu qui n’est autre qu’une chasse aux monstres façon Pokémon.

À première vue, DQM à des atouts à faire valoir. Le soft bénéficie d’une finition graphique rarement atteinte sur DS. Les fans de la série auront le plaisir de retrouver un univers retranscrit avec exactitude. Seul bémol, un manque de profondeur dans le scénario.

Après avoir fait jeter son fils en prison, le père du héros accepte finalement de le libérer.  À condition qu’il participe au Championnat des Dresseurs, pour le compte d’une organisation secrète. Il faudra alors parcourir différentes îles afin de dénicher la dizaine de cristaux de Darkonium nécessaire pour participer. Après cette courte introduction, le scénario s’arrête net. La place est alors faite à l’action et à la chasse. Un aspect du jeu plutôt réussi.

Dans la lignée d’un Pokémon, le joueur doit attrapper tous les monstres qu’il croise sur son chemin. Il se retrouve à la tête d’une petite armée de trois créatures chargées de combattre à sa place, et de nombreuses autres en réserve. Il est question de gestion et de combat au tour par tour. Il n’y a pas de combat aléatoire, puisque les monstres à affronter sont visibles sur la carte. Il est possible d’éviter leur contact si l’on ne veut pas se battre.

Au fil des victoires et des captures, vous pourrez laisser libre court à vos idées en fusionnant les monstres entre eux pour donner naissance à de nouvelles espèces ou les faire évoluer. Histoire de s’attacher un petit peu plus encore à ces créatures sauvages, il est même possible de leur donner un petit nom! Le système est un peu répétitif et limite l’intérêt du jeu. Finalement, le plaisir se trouve principalement dans la fidélité à l’univers et le character design très réussi d’Akira Toriyama (Dragon Ball).

La série des Dragon Quest, saga phare au Japon au même titre que Final Fantasy, commence à se frayer un chemin chez nous depuis quelques temps. Notamment avec la sortie de ce Dragon Quest Monsters : Joker. Il ne faut pas avoir peur de passer des heures à combattre pour apprécier ce nouveau jeu qui n’est autre qu’une chasse aux monstres façon Pokémon.

À première vue, DQM à des atouts à faire valoir. Le soft bénéficie d’une finition graphique rarement atteinte sur DS. Les fans de la série auront le plaisir de retrouver un univers retranscrit avec exactitude. Seul bémol, un manque de profondeur dans le scénario.

Après avoir fait jeter son fils en prison, le père du héros accepte finalement de le libérer.  À condition qu’il participe au Championnat des Dresseurs, pour le compte d’une organisation secrète. Il faudra alors parcourir différentes îles afin de dénicher la dizaine de cristaux de Darkonium nécessaire pour participer. Après cette courte introduction, le scénario s’arrête net. La place est alors faite à l’action et à la chasse. Un aspect du jeu plutôt réussi.

Dans la lignée d’un Pokémon, le joueur doit attrapper tous les monstres qu’il croise sur son chemin. Il se retrouve à la tête d’une petite armée de trois créatures chargées de combattre à sa place, et de nombreuses autres en réserve. Il est question de gestion et de combat au tour par tour. Il n’y a pas de combat aléatoire, puisque les monstres à affronter sont visibles sur la carte. Il est possible d’éviter leur contact si l’on ne veut pas se battre.

Au fil des victoires et des captures, vous pourrez laisser libre court à vos idées en fusionnant les monstres entre eux pour donner naissance à de nouvelles espèces ou les faire évoluer. Histoire de s’attacher un petit peu plus encore à ces créatures sauvages, il est même possible de leur donner un petit nom! Le système est un peu répétitif et limite l’intérêt du jeu. Finalement, le plaisir se trouve principalement dans la fidélité à l’univers et le character design très réussi d’Akira Toriyama (Dragon Ball).

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