Trois ans après Épée et Bouclier, il était temps que Pokémon renouvelle son jeu. La franchise culte avait déjà fait un premier pas en avant avec Légendes Pokémon Arceus, mais cette fois c’est la bonne. Monde ouvert, mécanismes inédits et nouvelle région à explorer, Paldea ambitionnait de révolutionner (enfin) une saga trop habituée à se reposer sur ses lauriers.
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Liberté, liberté chérie
Dès nos premiers pas à Paldea, l’immensité de la nouvelle région imaginée par Game Freak nous donne le vertige. Inspirés par la culture hispanique, Violet et Écarlate nous offrent enfin le monde ouvert que Légende Pokémon Arceus nous avait promis en début d’année. La carte s’étend à perte de vue, les paysages s’enchaînent mais ne se ressemblent pas, et les monstres qui viennent perturber notre aventure sont nombreux. Là où Hisui profitait d’un vide contemplatif cohérent avec le scénario, mais parfois trop marqué, Paldea regorge de vie et de couleurs, dans un univers riche et conséquent. Le monde est vaste pour un apprenti dresseur, et il est d’ailleurs facile de s’égarer en sortant des sentiers battus. En quittant la linéarité des opus précédents, Violet et Écarlate nous ouvrent les portes d’un univers entier, qui ne demande qu’à être exploré.
À cette liberté salutaire s’ajoutent aussi de nouveaux éléments de gameplay. Sans surprise, la licence ne tranche pas frontalement avec ses origines, mais apporte ça et là quelques nouveautés qui participent à rendre le jeu encore plus agréable. D’abord par l’absence de temps de chargement entre les différentes zones, qui offre une fluidité non négligeable au gameplay, mais qui se voit fatalement compensé par des latences plutôt conséquentes lorsqu’on entre dans les bâtiments. Pour remédier au problème, Game Freak a fait le choix de limiter au maximum les environnements intérieurs. N’espérez plus entrer comme bon vous semble chez les gens, il faudra désormais se contenter des arènes et des commerces.
Autre ajout hérité de Légendes Pokémon Arceus, l’apparition sauvage des monstres de poche se fait désormais en temps réel. Un avantage non négligeable pour la chasse aux shinys, désormais repérables à distance, mais plus généralement pour toute votre exploration. Côté nouveautés, les combats rapides changent la donne : non seulement il est désormais possible d’explorer la région aux côtés d’un membre de son équipe, mais en plus ce dernier peut prendre l’initiative de combattre seul les Pokémon sauvages à proximité. De quoi vous faire grappiller quelques points d’XP supplémentaires au fil de votre aventure.
Tous ces éléments apportent avec eux un sentiment de liberté grisant, presque paralysant au début du jeu. Il faut dire que par rapport aux générations précédentes, le grand-écart est là : à peine votre journée d’intégration terminée à l’Académie, votre personnage est livré à lui-même, avec pour seule règle de trouver son Trésor, comme une métaphore à peine voilée d’un passage à l’âge adulte qui tardait à venir.
Évidemment, la liberté n’est pas totale. Sous ses airs de vaste monde ouvert, Game Freak sait comment nous garder dans le droit chemin. Certaines zones par exemple, abriteront des Pokémon bien trop puissants pour s’y perdre dès le début de votre aventure. D’autres resteront inaccessibles jusqu’à ce que vous ayez débloqué certaines fonctionnalités liées à votre monture, en remportant des épreuves précises. Heureusement, cette ligne de conduite est loin de restreindre notre expérience de jeu.
Le monde ouvert qu’on attendait
Pour une région immense à explorer, Paldea compte moins d’une trentaine de centres Pokémon, désormais limités à de simples stands à ciel ouvert. C’est peu, d’autant plus que ces derniers sont souvent concentrés dans les espaces urbains. Heureusement, Nintendo a tout prévu, avec l’ajout des pique-niques, qui vous permettront de soigner vos alliés en leur préparant quelques sandwichs aux propriétés diverses. Sans révolutionner ce que proposaient déjà Épée et Bouclier avec ses currys, on a affaire à une fonctionnalité plutôt sympathique, et surtout bien utile si vous voulez vous lancer dans l’ascension du Mont Nappé.
Si le monde de Violet et Écarlate change la donne, c’est qu’il ne se contente plus de relier les villes par des tracés linéaires où le seul intérêt réside à agiter des herbes hautes à la recherche de la perle rare. Paldea alterne entre les étendues d’eau à perte de vue, les reliefs arides et inhospitaliers et les villes grouillantes de monde. En flânant à la recherche d’un raid téracristal ou d’un Pokémon sauvage, il est ainsi possible de perdre pendant plusieurs heures sans voir le temps passer. L’absence de chargement joue beaucoup sur le caractère immersif du jeu, et sur ce point, c’est une réussite totale. À ce prix, on regrette les temps de latence un poil conséquents sur les écrans de capture et les saccades de certaines animations pourtant pas si ambitieuses. En attendant un patch correctif digne de ce nom, pas de quoi délaisser sa console pour autant : on n’a pas boudé notre plaisir à jouer les apprentis explorateurs.
Une histoire pas piquée des Coiffeton
Il vous faudra du temps et pas mal d’investissement pour venir à bout du Pokédex de Paldea et de tous les défis que vous offre le vaste monde de Violet et Écarlate. En début de partie, le choix de notre chasse au trésor contribue à la liberté promue par le gameplay, mais on doit bien vite se rendre à l’évidence : pour compléter le jeu, notre héros va devoir jouer sur tous les fronts. Les compétences de votre monture devront être débloquées à la sueur de votre front, tandis que la course aux badges d’arènes rendra possible la capture de monstres de plus en plus puissants. Enfin, le démantèlement de la Team Star joue le rôle d’intrigue principale, avec un scénario convenu mais efficace autour d’un mystérieux personnage.
Ce n’est pas tant dans l’écriture de son scénario que Pokémon Violet et Écarlate révolutionne son jeu, mais plutôt dans la manière dont les joueurs et les joueuses peuvent désormais vivre leur aventure. En revoyant son système de dialogue avec les PNJ et en rendant les adversaires que vous croiserez moins agressifs (il faut désormais leur parler pour engager un combat), Nintendo offre un jeu beaucoup plus fluide, bien moins rébarbatif que ne pouvaient l’être ses prédécesseurs. Le tout perd évidemment de son charme originel, mais avouons-le, on ne s’en plaint pas.
À l’école des dresseurs
Le choix d’avoir ancré Violet et Écarlate dans un registre étudiant n’est sans doute pas un hasard. Depuis Harry Potter, la recette de l’étudiant en quête d’apprentissage est une valeur sûre, et Nintendo réussit habilement à jouer avec les codes offerts par l’Académie Raisin (ou Orange selon les versions). Évidemment, l’école n’est qu’un prétexte : passée votre journée d’intégration, vous n’aurez que peu d’occasions de retourner là-bas. Il sera toutefois possible de jouer les bons élèves, en participant aux cours dispensés par l’Académie. À travers toute une série de cinématiques — parfois un peu barbantes on en convient — poursuivre votre cursus scolaire vous assurera des connaissances pointues dans l’art du combat et de l’exploration. Une belle attention de la part de Nintendo, qui joue la carte du détail là où personne ne l’y attendait.
Sans dévoiler les tenants et les aboutissants de l’intrigue, on ajoutera que pour sa neuvième génération, Pokémon prend à contrepied la trame habituelle des épisodes de la saga sur la question des Légendaires. Un choix étonnant, qui apporte un vent de fraîcheur sur une saga qu’on pensait connaître par cœur.
Visuellement, la mauvaise note
Avec son gameplay ouvert, Pokémon Violet et Écarlate réalise le rêve de tous les dresseurs en herbe des années 1990, en proposant un jeu ambitieux, enfin à la hauteur de nos espérances. Dommage, la saga évolue mais redouble sur la question des graphismes. En améliorant drastiquement son jeu, le titre ne fait que pointer du doigt ses faiblesses visuelles, et avouons-le, elles piquent. C’est d’autant plus frustrant que quelques efforts sont faits sur les textures, notamment des vêtements. En combat et pendant les phases de captures notamment, les latences et les saccades sont trop nombreuses pour passer inaperçues. Pendant notre voyage, le clipping s’avère lui aussi un peu frustrant. Game Freak a fait son choix, et transformer graphiquement son univers n’était visiblement pas la priorité.
C’est d’autant plus vrai pour la nouvelle génération de Pokémon qui peuple Paldea : peu de monstres de poche trouvent grâce à nos yeux. Les starters comme les légendaires n’ont plus leur flamme d’antan. Heureusement, Nintendo frappe très fort pour compenser ce défaut, avec un Pokédex titanesque, sans compter les formes alternatives. Plus que jamais, tous les attraper constitue la colonne vertébrale du jeu, et fera le bonheur des complétistes.
D’autant plus que si Violet et Écarlate s’avèrent un peu décevants graphiquement, tout n’est pas à jeter, loin de là : certains monstres inédits promettent déjà de rester dans les annales, tandis que d’autres jouent un rôle intéressant dans le scénario principal. L’aspect le plus réussi du jeu réside peut-être dans le nouvel affichage du Pokédex, qui constitue un véritable coup de maître tant sur le plan graphique que purement pratique.
Ingame, Nintendo fait aussi des efforts sur certains aspects du jeu, à commencer par la taille des Pokémon sauvages. Tout l’intérêt de croiser les monstres de poche dans la nature était de jouer sur leur différence, et force est de constater que c’est une belle réussite. La taille imposante d’un Leviator le rendra encore plus menaçant, tandis que les Pokémon insectes seront presque impossibles à distinguer des hautes herbes. Même au sein d’une seule espèce, les différences de gabarit permettent d’apporter un peu de diversité visuelle, et c’est tant mieux.
Pokémon évolue
Derrière toutes ces évolutions plus ou moins marquées, Pokémon Violet et Écarlate conservent les mêmes mécanismes de combat, et tous les ingrédients qui ont su faire le succès de la franchise culte. Entre deux combats sauvages, le gameplay se veut pourtant moins répétitif, tandis que les orbes téracristal apportent la fantaisie convenue mais agréable aux affrontements les plus exigeants. Depuis les Méga évolutions de la sixième génération, on commence fatalement à être habitués à l’exercice, mais Nintendo réussit cette fois à y apporter un peu d’enjeux, en dotant tous les Pokémon d’un type téracristal aléatoire. De quoi compliquer encore un peu la tâche aux joueurs en quête des stats parfaites.
Du côté du jeu en ligne, nous n’avons pu le tester que très brièvement pendant une session de preview encadrée par Pokémon. Ce dernier semble toutefois plutôt réussi, avec la possibilité de vivre pleinement son aventure en coopération avec des amis via une connexion Wi-Fi.
Prix et disponibilité
Disponible depuis le 18 novembre, Pokémon Violet et Écarlate est proposé en version dématérialisée ou physique, à partir de 44€, uniquement sur Nintendo Switch. Pour l’occasion, Game Freak propose aussi un Pack Duo avec les deux jeux réunis dans un steelbook, et même une version OLED spéciale de la console, décorée à l’image de la licence.
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Merci pour le test, il y a juste une erreur au tout début par rapport à Épée/Bouclier qui ne date pas d’1 an mais d’au moins 3 ans, il me semble qu’il est sortis en 2019.
et un test objectif ça donne quoi ?
Woaw c’est triste ce que vous faites… Vous devriez avoir honte…
C’est dommage de mentir aux consommateurs, ce n’est absolument pas professionnel, il faut prévenir le public que le jeu est une honte et une insulte envers les fans de Pokémon.
Fuyez, si vous achetez ce jeu, c’est que vous soutenez les jeux pas finis. Vous mettrez 8/10 a une voiture qui n’as pas de roue ? Vous mettrez 8/10 a un ordinateur sans carte graphique ??
La réelle note pour ce jeu est environ 4/10 en étant généreux.
Je suis un grand fan de Pokemon depuis la Gen1 et autant je défendais Arceus de toute accusation sur les graphismes autant Écarlate et Violet sont une honte et il faut le dire… Je force pour avancer dans le jeu car j’ai pris les deux versions avec ma compagne mais il est presque injouable tant il saccade, il est visuellement affreux, les dialogues et personnages sont d’un vide intersidéral, les décors et villes sont fade et manquent de la touche graphique Pokémon…
Et que dire de ces nouveaux Pokemon justement… Je me fixe comme objectif d’avoir UNIQUEMENT des nouveaux Pokemon dans mon équipe mais même mon starter me donne envie de pleurer depuis son évolution tant ils sont laids et manquent même de la patte Pokemon… Les Fakemon de fans sont bien meilleurs…. La Téracristallisation affreuse enfonce le clou.
Je pense qu’il est assez mauvais pour même retuer la hype Pokemon qui s’était réveillée
Ceux sont des choses qui m’ont toujours fascinés depuis mon enfance
Certain commentaires sont juste fascinants. On en est à un stade où certains demandent à un test d’être objectif.
C’est pas le test technique d’une voiture ou d’un ordinateur là, mais celui d’une oeuvre vidéo-ludique ce qui a strictement RIEN à voir. Certains devraient grandir un peu je trouve.
Cela étant dit, cet opus est pour ma part celui de la réconciliation avec la licence, qui ne m’avait plus jamais fait envie depuis la génération Perle/Rubis (un sacré bail donc). Critiquer le manque d’ambition de Pokémon était devenu un sport national au fils des opus, surtout dans un pays de râleurs. Forcé de constater qu’on a ENFIN un jeu Pokémon qui se remet en question est propose quelque chose d’ambitieux, un monde ouvert intéressant, cohérent et avec des missions novatrices (le truc qu’on attend depuis 20 ans).
Je pense qu’il faut savoir reconnaître l’effort et personnellement, j’allume ma console avec plaisir chaque soir pour relever mon prochain défi sur le jeu. Donc le contrat est rempli pour moi. Les textures et l’aliasing sont un enfer mais la mise en scène est bien fichue, les modèles de Pokémon sont détaillés, certains designs sont bien cool, la cristallisation est parfaite (simple a utiliser, jolie visuellement, stratégique, ni trop faible, ni trop forte).
La licence est sur la bonne voie, espérons que la prochaine génération de console de Nintendo lui permette d’avoir enfin un niveau technique acceptable. Parce que soyons réalistes : le rythme de sortie des jeux pokémon ne leur permettera jamais d’avoir le niveau de peaufinage technique d’un Zelda. Regardez le.nombre d’années qui va falloir à BOTW2 pour voir le jour. J’espère bien qu’il tournera correctement après tout ce temps….
Certains commentaires sont juste fascinants. On en est arrivé à un stade où il est explicitement demandé à un test d’être objectif.
Ce n’est pas le test technique d’une voiture ou d’un ordinateur là, mais celui d’une oeuvre vidéo-ludique, ce qui a strictement RIEN à voir. Certains devraient grandir un peu je trouve.
Cela étant dit, cet opus est pour ma part celui de la réconciliation avec la licence, qui ne m’avait plus jamais fait envie depuis la génération Perle/Rubis (un sacré bail donc). Critiquer le manque d’ambition de Pokémon était devenu un sport national au fils des opus, surtout dans un pays de râleurs. Forcé de constater qu’on a ENFIN un jeu Pokémon qui se remet en question est propose quelque chose d’ambitieux, un monde ouvert intéressant, cohérent et avec des missions novatrices (le truc qu’on attend depuis 20 ans).
Je pense qu’il faut savoir reconnaître l’effort et personnellement, j’allume ma console avec plaisir chaque soir pour relever mon prochain défi sur le jeu. Donc le contrat est rempli pour moi. Certes, les textures et l’aliasing sont un enfer mais la mise en scène est bien fichue, l’histoire se laisse suivre est donne envie de voir la suite (la dernière chose que j’attends d’un Pokémon ! Très bonne surprise la dessus), les modèles de Pokémon sont détaillés, certains designs sont bien cool et la cristallisation est parfaite (simple a utiliser, jolie visuellement, stratégique, ni trop faible, ni trop forte).
La licence est sur la bonne voie, espérons que la prochaine génération de console de Nintendo lui permette d’avoir enfin un niveau technique acceptable. Parce que soyons réalistes : le rythme de sortie des jeux pokémon ne leur permettera jamais d’avoir le niveau de peaufinage technique d’un Zelda. Regardez le nombre d’années qui va falloir à BOTW2 pour voir le jour. J’espère bien qu’il tournera correctement après tout ce temps…
Fascinants ? Très bien, on va partir dans l’objectivité alors. Je cite un test effectué sur JV com
On va commencer par énumérer les points positifs vu qu’ils sont peu nombreux :
– Les objets pour les EV disponible des le début.
– La liberté d’exploration de l’open world.
– Les combats automatique où vous envoyez un pokémon se battre seul.
– Certain pokémons se camouflent comme zorua ou metamorph.
Et c’est tout !
Maintenant le gros du sujet c’est les points négatifs :
– Le jeu tourne a 17 fps en moyenne, avec des baisses régulières en dessous.
– Le clipping est omniprésent, ainsi que l’aliasing, des textures qui disparaissent, des flash lumineux, les ombres qui disparaissent, des freezes et des crashs.
– Les pnj ainsi que les pokémon perdent des images a mesure que vous vous éloignez d’eux.
– Dans l’ensemble c’est très très moche, les textures sont du même niveau que PLA.
– Les animations durant les cinématiques sont affligeante, en plus d’être recyclé à de multiples reprises dans le jeu.
– Les design des pokémons est questionnable.
– Le multi exp non désactivable, l’impossibilité de choisir son style de combat, ni de désactiver les animations de combats.
– Pas de méga-évolution, ni de z-moves, ni de gigamax, mais un énième gimmick à la place.
– L’open world pas exploité, car pas de scalling, et il y as quand même un ordre prédéfini, bonjour la liberté d’action.
– Les bâtiments sont une honte absolue de flemme, vous avez des restaurant et des cafés copié collé partout, et les bâtiments de personnalisation on été séparé en plusieurs pour l’illusion de contenu.
– Ce sont d’ailleurs les seuls bâtiments dans lequel vous pouvez entrer, tout le reste est fermé, du coup on se retrouve avec des villes ou y’a rien a y faire dedans.
– Toutes les arènes sont identique pas de thématiques ici, juste des tours en béton sans identité que vous retrouverez partout.
– Les combat d’arènes et la ligue fonctionnent tous sur le même principe, vous affrontez le dresseur, et quand arrive son dernier pokémon, il utilise la teracristalisation.
– Idem pour les combats contre la team de “méchant” du jeu, c’est la même boucle du début a la fin.
– Ils sont d’ailleurs bien pire que la team de soleil et lune, ici on as droit a 5 boss qui se sont fait bully à l’école et qui on décidé à de faire de même, mais en fait ils sont gentil … (aucun enjeu, aucune menace, aucun intérêt)
– L’histoire est inexistante, elle tient sur un quart de post-it : ballade toi et gagne.
– La ligue est enfantine, et vous soigne carrément avant votre combat final contre le dernier champion, il est aussi impossible de les réaffronter.
– Le post game est lui aussi inexistant, on vous fait aller dans la zone centrale de la map cliquer sur 4 boutons et ensuite affrontez un boss et c’est finit.
– La personnalisation as été revue complètement à la baisse, il y as 4 uniformes et impossible de porter autre chose, les gants chaussette chapeau chaussure lunette et sac a dos sont aussi très très limités.
– Pour la difficulté, j’ai fait dans le désordre pour affronter des arènes plus dure en étant en dessous du niveau, mais le jeu s’est révélé quand même beaucoup trop simple.
– Le pokédex a encore prit un énorme cut, avec très très peu de disponibilités, alors que cette fois ci l’excuse de “le gigamax ça prend du temps à animer” ne tient pas.
– Il n’y as pas de tour combat ou quoi que ce soit en post game, à part un tournoi scolaire ou vous spammez des dresseurs level 65 qui filent de la thune, rien d’autre.
– Le breed a été purement et simplement détruit, je me suis peu attardé dessus, mais en gros vous prenez les deux pokémons, vous posez un picnic, vous faites un sandwich pour booster les œufs, et ensuite vous posez votre console et revenez dans 1 à 2 heures pour collecter 4 a 7 œufs (si vous avez de la chance), Gamefreak a détruit une mécanique de jeu qui fonctionnait parfaitement.
– Pour l’open world il n’y as quasiment aucune grotte, et quand il y en as c’est juste un cul de sac de deux mètres par deux.
– Les dresseurs dans la nature ne vous affrontent pas si vous ne leurs parlez pas et sont peu nombreux.
– Les raids sont la même chose que dans épée et bouclier, marrant a découvrir, très chiant a farmer car vous observerez les même cinématiques en boucle, et lorsque le pokémon adverse active son bouclier vous devrez activer votre gimmick cette gen en vous tapant sa cinématique qui n’arête pas le chrono en plus d’être longue
Voila pour les grandes lignes, ce jeu est la quintessence de ce que Gamefreak peut faire de pire, du recyclage et du copié collé de partout, en se permettant le luxe de supprimer de plus en plus de choses sans raison valable, le tout dans un open world peu inspiré et moche, qui s’applique aussi a son bestiaire.
Sachez aussi que ça me désole de voir ce que sont devenus les jeux de la licence et que je ne prend aucun plaisir à “basher” le jeu, j’aurais au contraire préféré n’avoir à en dire que du bien.
Je dis justement qu’un test n’a pas à être objectif. Arrêtez avec votre objectivité illusoire ça fera du bien à tout le monde. Les gens mettent la note qu’ils veulent en fonction de leur ressenti du jeu et de leur sensibilité propre à tel ou tel paramètre.
Et quand ça parle d’objectivité pour ensuite caser “le design des Pokémon est questionable”, disons que c’est drôle.
Il y a tout un tas de point sur lesquels je ne ne suis pas d’accord. Les animations sont très sympas et nombreuses, je trouve le jeu difficile (avant on roulait littéralement sur l’histoire principale jusqu’à la ligue, ce n’est absolument pas le cas ici). La cristallisation est le premier gommick qui trouve le juste milieu entre “complètement pété” (coucou le gigamax) et pas totalement inutile. Elle apporte une vrai strate stratégique en plus, pas juste un power UP fumé et inutilisable la majorité des cas (coucou la méga évolution).
L’histoire se laisse apprécier et reste infiniment plus complète que d’habitude : si ça tient sur un quart de post it, avant ça tenait sur un quart de timbre.
Techniquement c’est honteux mais jouable. Oui on aurait apprécié des villes plus élaborées mais on est pas sur des problématiques qui entachent le fin et le coeur du jeu, pour moi en tous cas.
Je peux comprendre qu’on desteste le jeu. J’imagine que tu peux comprendre qu’on puisse l’apprécier.
https://www.journaldugeek.com/2022/11/23/pokemon-violet-et-ecarlate-des-joueurs-commencent-a-se-faire-rembourser/
HAHAHAHA vous êtes nul.
Ok alors toi t’es complètement matrixé…
tiens regarde ça : https://www.journaldugeek.com/2022/11/23/pokemon-violet-et-ecarlate-des-joueurs-commencent-a-se-faire-rembourser/
Faut arrêter d’excuser des choses qui ne peuvent l’être. Ce test c’est du pognon récupéré. C’est n’importe quoi, c’est honteux et c’est tout, il n’y a rien d’autre. Woaw tu m’as repris sur 2 argument parmi le reste. OUI, soit objectif et réfléchis un peu. Les gens en ont marre d’être pris comme de la … Comme avec ce test qui est une infamie.
“un test n’a pas a étre objectif” … bin si.. c’est le principe d’un test…. dire ce qui va et ce qui ne va pas de façon objective et factuelle…. Sinon c’est pas un test c’est un avis
Tu n’as rien compris au principe d’un “test” qui test un jeu et non juste le gameplay ou le plaisir ressenti mais TOUT….
Affolant de voir que des gens ne savent meme pas ce qu’est un “test”. :s