Une fois ceci dit, tout emballage marketing ingénieux qui soit, ça ne fait pas un casque à la sublime sonorité. Ainsi, j’avais hâte de tester le TMA-2, pour savoir de quoi il en retourne, et comment il se défend face à la concurrence.
[nextpage title=”Déballage, design et ergonomie”]
Design et ergonomie
Le look du TMA-2 est assez unique. La première chose qui frappe est son absence totale de marque. Ici, pas de référence à une marque, pas de couleurs flashy, de design néo rétro. Son design unique tient à son absence de superflu. Tels les meilleurs casque de DJ, on sent clairement que le TMA-2 a été conçu pour être résistant et durable.
Le câble du casque amovible, qui s’insère dans la partie inférieure de l’écouteur gauche ou droit, est robuste, résistant à l’enchevêtrement et procure une sensation de grip, l’empêchant ainsi de glisser, ce qui est très agréable.
Le casque lui, est entièrement noir mat avec une texture antidérapante qui donne une sensation d’élégance et de robustesse. Elle semble également totalement insensible aux traces de doigts et aux rayures. Ce qui c’est avéré être le cas lors d’un crash test involontaire sur un trottoir. Le TMA-2, n’avait aucune trace de ma maladresse.
Les coussinets quant à eux, sont souples, doux et très bien rembourrés et isolent bien de l’extérieur. Vos oreilles résisteront parfaitement bien à de longues séances d’écoutes. Les coussinets se clipsent facilement sur les écouteurs, vous pourrez ainsi aisément les changer lorsqu’ils seront usés, ou si vous préférez opter pour un autre format (tour d’oreille ou sur l’oreille).
Les deux écouteurs sont reliés par un cordon spiralé gainé d’un plastique mat semblant robuste. Les écouteurs eux, sont des pilotes de 40mm, suffisamment grands pour produire des basses significatives.
Le tour de tête m’a semblé bien rembourré et confortable. A noter qu’une fois les écouteurs assemblés au tour de tête, ils sont fixes et ne peuvent donc être mis à plat ou repliés. Si toutefois on souhaite gagner de la place pour les ranger, on peut toujours les désolidariser du tour de tête.
[nextpage title=”Prise en main”]
Je branche le Aiaiai TMA-2 sur mon iphone, playlist de test en mode aléatoire, et c’est parti pour l’écoute. Et pour être totalement franc avec vous, il y a bien longtemps qu’un casque n’avait pas réussi à me mettre aussi rapidement d’accord. Et 20 heures d’écoute plus tard, l’impression restait la même.
Alors pourquoi ? Eh bien tout d’abord la basse est remarquablement punchy. La réponse de milieu de gamme n’est pas en reste, elle est luxuriante, fluide, et très dynamique. Le chant regorge de textures, les caisses claires vous colleront une gifle par leur attaque remarquablement réaliste. Et les hautes fréquences ? Eh bien non, elles sont parfaitement maîtrisées, les cuivres sonnaient remarquablement précis. Il fallait pousser à fond le TMA-2 pour lui reconnaître un léger fléchissement de précision dans les hautes fréquences. Néanmoins, au vu de la dynamique de ce casque, vous ne tiendrez pas plus d’une chanson à ce volume.
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Wahou…….c’est génial de faire un test d’un casque que j’ai depuis…..1 an……
1 an que tu attends pour poster ce message quoi…
Et sinon, ça aurait été pas mal de préciser quelle(s) combinaison(s) a (ont) été testée(s).
Il est précisé au début de l’article qu’il y a 4 speakers et 7 coussinets, ce qui fait déjà 28 combinaisons possibles pour le son et l’isolation et la version reçue en contient 2 de chaque…
Ok, on arrive à voir quelques références sur les photos mais dans la conclusion, impossible de savoir ce qui a été testé.
Bref, ça manque de rigueur (sans vouloir offenser l’auteur de l’article)…
Mon précédent commentaire a été dépublié, pourquoi ?
Je réinsiste : l’article n’est pas complet, car il ne précise pas quelle combinaison a été testée (et donc sur quoi porte l’appréciation finale).
Or les combinaisons ont un impact variable sur :
1. le son
2. l’isolation
3. le confort
(et j’oublie probablement des choses)