Reprenant une nouvelle fois la recette efficace du mix FPS/stratégie, ce troisième volet de la série Brothers in Arms, qui a au passage pris son temps pour débarquer, semble avoir fort à faire pour s’affirmer face à une concurrence déjà bien en place…
Les développeurs de Gearbox l’ont bien compris : le marché du FPS estampillé seconde guerre mondiale est saturé. Et plutôt que de nous proposer de revivre quelques opérations en solitaire et d’axer son scénario sur un pan de l’histoire, ce Hell’s Highway s’étend une fois de plus sur le relationnel entre les troupes. Certes, c’est très souvent cliché, mais ça change… Dommage que le doublage Français peine à convaincre, aussi bien dans le ton que dans la synchronisation labiale des personnages…
Sans surprise également, vous aurez une fois de plus quelques troupes sous votre commandement afin de vous épauler dans vos objectifs. Inutile d’espérer triompher en fonçant dans le tas comme un bourrin, ici, il faudra diriger vos escouades de façon efficace, afin de pousser l’ennemi dans ses derniers retranchements. Impossible en tout cas de ne pas penser à Gears of War une fois le pad en main. C’est bien simple, on passe son temps à tirer à couvert avant de pouvoir avancer de nouveau de quelques mètres, jusqu’à la prochaine vague d’ennemis… C’est d’ailleurs étonnamment simple pour peu que vous soyez patient : l’I.A n’a en effet pas vraiment l’esprit d’initiative, et se retranche très facilement, plutôt que d’opter pour quelques coups fourrés qui auraient pourtant pimentés l’action. Ce défaut renforce sans doute le sentiment de lassitude qui flotte dans les derniers chapitres qui n’arrivent plus à renouveler l’action efficacement…
Pourtant, ce Hell’s Highway n’est pas exempt d’initiatives. On pourra citer son côté gore clairement assumé (les membres volent et les headshot se matérialisent par un joli ralenti), implanté dans un souci de fidélité. Difficile de trancher face à une telle prise de parti, mais ça change clairement de ce à quoi les jeux estampillées WWII nous avaient habitués jusque là. Dommage que la partie graphique ait autant de mal à suivre… On passera par contre sur la partie online du titre, classique, et loin d’être aussi efficace que les ténors du genre.
Reste que si les précédents volets de la saga vous ont charmés, il est fort probable que vous preniez votre pied dans cette nouvelle itération. Mais il y a fort à parier que les plus bourrins d’entre vous se lassent rapidement du système de jeu… On vous aura prévenu.
Le verdict ?
Les +
Les –
Les développeurs de Gearbox l’ont bien compris : le marché du FPS estampillé seconde guerre mondiale est saturé. Et plutôt que de nous proposer de revivre quelques opérations en solitaire et d’axer son scénario sur un pan de l’histoire, ce Hell’s Highway s’étend une fois de plus sur le relationnel entre les troupes. Certes, c’est très souvent cliché, mais ça change… Dommage que le doublage Français peine à convaincre, aussi bien dans le ton que dans la synchronisation labiale des personnages…
Sans surprise également, vous aurez une fois de plus quelques troupes sous votre commandement afin de vous épauler dans vos objectifs. Inutile d’espérer triompher en fonçant dans le tas comme un bourrin, ici, il faudra diriger vos escouades de façon efficace, afin de pousser l’ennemi dans ses derniers retranchements. Impossible en tout cas de ne pas penser à Gears of War une fois le pad en main. C’est bien simple, on passe son temps à tirer à couvert avant de pouvoir avancer de nouveau de quelques mètres, jusqu’à la prochaine vague d’ennemis… C’est d’ailleurs étonnamment simple pour peu que vous soyez patient : l’I.A n’a en effet pas vraiment l’esprit d’initiative, et se retranche très facilement, plutôt que d’opter pour quelques coups fourrés qui auraient pourtant pimentés l’action. Ce défaut renforce sans doute le sentiment de lassitude qui flotte dans les derniers chapitres qui n’arrivent plus à renouveler l’action efficacement…
Pourtant, ce Hell’s Highway n’est pas exempt d’initiatives. On pourra citer son côté gore clairement assumé (les membres volent et les headshot se matérialisent par un joli ralenti), implanté dans un souci de fidélité. Difficile de trancher face à une telle prise de parti, mais ça change clairement de ce à quoi les jeux estampillées WWII nous avaient habitués jusque là. Dommage que la partie graphique ait autant de mal à suivre… On passera par contre sur la partie online du titre, classique, et loin d’être aussi efficace que les ténors du genre.
Reste que si les précédents volets de la saga vous ont charmés, il est fort probable que vous preniez votre pied dans cette nouvelle itération. Mais il y a fort à parier que les plus bourrins d’entre vous se lassent rapidement du système de jeu… On vous aura prévenu.
Le verdict ?
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