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Test : Blur

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Le premier jeu Bizarre Creations depuis PGR4… Evidemment c’est un événement dans notre petit monde vidéoludique… Mais est ce que Blur réussi à donner tout ce…

Le premier jeu Bizarre Creations depuis PGR4… Evidemment c’est un événement dans notre petit monde vidéoludique… Mais est ce que Blur réussi à donner tout ce qu’il promet depuis son annonce ?

A savoir du fun, des courses débridées et pleins de power ups ? A vous de voir… Quelques pistes, dans la suite !

blur_screenshot_01_lrg

Annoncé comme un jeu qui laissera la part belle au multi, Blur n’est pour autant pas dénué de la classique carrière solo. En fait, elle se résume à obtenir le plus de “feux” et de “fans”, les feux s’obtiennent via votre position dans les courses, les fans s’obtiennent directement pendant les courses, en attaquant par exemple les autres coureurs et en réalisant des demandes de fans qui se présentent sous la forme d’icônes sur la piste. (passer entre des portes sur la route, attaquer avec une arme particulière, etc). Tout ça pour vous faire rapidement comprendre que le soft mise sur un gameplay agressif, et qu’il n’a en rien été inspiré par les productions précédentes des développeurs. Du coup, cette violence se retrouve dans 60 “courses” nichée au sein du mode carrière, séparé en 9 chapitres dans lesquels vous devrez en plus répondre aux challenges d’un conducteur “star”. Une fois les challenges menés à bien, vous pourrez (enfin) défier le conducteur en question sur la route. Votre victoire vous permettra d’obtenir sa voiture et ses modifications (un power up modifié en fait). A côté de ça, le jeu comprend des courses standards, mais aussi du time trial et différents autres modes dérivés des power ups. En tout, ce sont plus de 30 circuits, situés dans 14 villes différentes, de Los Angeles en passant par Tokyo et Barcelone, qui vous attendent. Et pour ne rien gâcher, ces circuits sont loin d’être monotones, et comportent souvent la plupart du temps des embranchements fourbes que vous aurez tout loisir de dénicher au fur et à mesure de votre avancée.

Comme je vous le disais plus haut, Blur dispose d’une partie online fournie. Ainsi, l’intégration PSN/Xbox Live est (très) complète et rudement bien menée : complètement séparée de la campagne solo, elle a donc sa propre logique de progression, mais aussi de déblocage de voiture et amélioration de power ups. Vous progresserez en rang un peu comme dans un FPS, et vous pourrez vous foutre sur la tôle en course (à 10 ou 20), dans des arènes (façon Destruction Derby) et même des courses sans power ups. Au fil de votre progression vous obtiendrez des modifications qui rendront votre voiture plus solide ou vous donneront une visée amélioré. A l’instar de la campagne solo vous pouvez appliquer des modifications à votre voiture, mais ici vous disposerez de 4 slots. Vous trouverez également des challenges a accomplir avec certains types de power ups et certains modèles de voitures. Vous pourrez également héberger vos propres courses en ligne, en concevant vous-même le contenu en power ups de votre course (en les gérant d’ailleurs individuellement). Vous voulez une course qu’avec la nitro ? C’est possible ! Et enfin il est possible également de jouer à quatre en écran splitté.

Maintenant, parlons un peu technique : concernant la partie audio, c’est du solide du point de vue des effets sonores. Par contre, la musique techno tape rapidement sur le système ! Visuellement, le titre est assez proche des anciennes productions de Bizarre créations, avec un look plus techno/neon et un motion blur parfois un peu trop présent. L’impression de vitesse est vraiment correcte… Aucun soucis donc du côté de la réalisation, et de la modélisation des 70 voitures, toutes sous licence ! Pour ce qui est du gameplay enfin, dites vous simplement que le titre a réussi à concocter une sorte de mélange entre un Mario Kart, doté d’une (petite) dose de conduite, d’une grosse dose de stratégie de course et d’une option de réparation…

Blur réussi son pari d’être le Mario Kart de l’ado/adulte en manque de sensation de courses arcade. Le seul point noir pourrait venir du côté un peu répétitif de la campagne solo, mais bien évidemment, le jeu est surtout jouissif, en multi… Donc je ne peux que le recommander d’une manière générale ! Rendez-vous sur la piste Choombah !

Le verdict ?


Que signifie cette pastille ?

Les +
Du fun en solo, mais surtout en multi
Un gameplay à tout épreuves

Les –
Une musique un peu répétitive
Un motion blur trop présent par moment

Jeu testé sur Xbox 360

Le premier jeu Bizarre Creations depuis PGR4… Evidemment c’est un événement dans notre petit monde vidéoludique… Mais est ce que Blur réussi à donner tout ce qu’il promet depuis son annonce ?

A savoir du fun, des courses débridées et pleins de power ups ? A vous de voir… Quelques pistes, dans la suite !

blur_screenshot_01_lrg

Annoncé comme un jeu qui laissera la part belle au multi, Blur n’est pour autant pas dénué de la classique carrière solo. En fait, elle se résume à obtenir le plus de “feux” et de “fans”, les feux s’obtiennent via votre position dans les courses, les fans s’obtiennent directement pendant les courses, en attaquant par exemple les autres coureurs et en réalisant des demandes de fans qui se présentent sous la forme d’icônes sur la piste. (passer entre des portes sur la route, attaquer avec une arme particulière, etc). Tout ça pour vous faire rapidement comprendre que le soft mise sur un gameplay agressif, et qu’il n’a en rien été inspiré par les productions précédentes des développeurs. Du coup, cette violence se retrouve dans 60 “courses” nichée au sein du mode carrière, séparé en 9 chapitres dans lesquels vous devrez en plus répondre aux challenges d’un conducteur “star”. Une fois les challenges menés à bien, vous pourrez (enfin) défier le conducteur en question sur la route. Votre victoire vous permettra d’obtenir sa voiture et ses modifications (un power up modifié en fait). A côté de ça, le jeu comprend des courses standards, mais aussi du time trial et différents autres modes dérivés des power ups. En tout, ce sont plus de 30 circuits, situés dans 14 villes différentes, de Los Angeles en passant par Tokyo et Barcelone, qui vous attendent. Et pour ne rien gâcher, ces circuits sont loin d’être monotones, et comportent souvent la plupart du temps des embranchements fourbes que vous aurez tout loisir de dénicher au fur et à mesure de votre avancée.

Comme je vous le disais plus haut, Blur dispose d’une partie online fournie. Ainsi, l’intégration PSN/Xbox Live est (très) complète et rudement bien menée : complètement séparée de la campagne solo, elle a donc sa propre logique de progression, mais aussi de déblocage de voiture et amélioration de power ups. Vous progresserez en rang un peu comme dans un FPS, et vous pourrez vous foutre sur la tôle en course (à 10 ou 20), dans des arènes (façon Destruction Derby) et même des courses sans power ups. Au fil de votre progression vous obtiendrez des modifications qui rendront votre voiture plus solide ou vous donneront une visée amélioré. A l’instar de la campagne solo vous pouvez appliquer des modifications à votre voiture, mais ici vous disposerez de 4 slots. Vous trouverez également des challenges a accomplir avec certains types de power ups et certains modèles de voitures. Vous pourrez également héberger vos propres courses en ligne, en concevant vous-même le contenu en power ups de votre course (en les gérant d’ailleurs individuellement). Vous voulez une course qu’avec la nitro ? C’est possible ! Et enfin il est possible également de jouer à quatre en écran splitté.

Maintenant, parlons un peu technique : concernant la partie audio, c’est du solide du point de vue des effets sonores. Par contre, la musique techno tape rapidement sur le système ! Visuellement, le titre est assez proche des anciennes productions de Bizarre créations, avec un look plus techno/neon et un motion blur parfois un peu trop présent. L’impression de vitesse est vraiment correcte… Aucun soucis donc du côté de la réalisation, et de la modélisation des 70 voitures, toutes sous licence ! Pour ce qui est du gameplay enfin, dites vous simplement que le titre a réussi à concocter une sorte de mélange entre un Mario Kart, doté d’une (petite) dose de conduite, d’une grosse dose de stratégie de course et d’une option de réparation…

Blur réussi son pari d’être le Mario Kart de l’ado/adulte en manque de sensation de courses arcade. Le seul point noir pourrait venir du côté un peu répétitif de la campagne solo, mais bien évidemment, le jeu est surtout jouissif, en multi… Donc je ne peux que le recommander d’une manière générale ! Rendez-vous sur la piste Choombah !

Le verdict ?


Que signifie cette pastille ?

Les +
Du fun en solo, mais surtout en multi
Un gameplay à tout épreuves

Les –
Une musique un peu répétitive
Un motion blur trop présent par moment

Jeu testé sur Xbox 360

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