Après le convainquant Black Flag, Ubisoft propose à tous les non-possesseurs de PS Vita la possibilité de jouer à Assassin’s Creed: Liberation dans une version HD à 20 balles.
C’est presque triste de se relancer dans un Assassin’s Creed vanilla tant les extras de Black Flag étaient jouissifs. Je ne veux pas revenir là-dessus, mais au final, les phases de piraterie dans Black Flag étaient ce que le jeu avait de meilleur à offrir. Du coup, quand on joue à Assassin’s Creed: Liberation après avoir bouclé Assassin’s Creed IV: Black Flag, on passe de ça :
À ça :
Et je pense que tout ce qu’on peut ressentir quand on joue à Liberation HD est résumé dans la comparaison ci-dessus. On passe de la grande mer au bayou, des grandes figures charismatiques de la piraterie à l’insipidité crasse des colons français du XVIIIe et d’un vaste open world à deux petites zones de rien du tout. En somme, dans cet épisode, tout nous paraît petit.
Alors, très bien. Le jeu est le lissage HD d’un jeu portable, donc il faut mettre cette petitesse en perspective. Mais je ne pense pas une seule seconde que le possesseur de l’opus original ira acheter cet épisode. Il est donc destiné à des joueurs, principalement fans de la saga, qui veulent s’y essayer. Ces joueurs-là, vont tomber sur un titre dont les graphismes ne sont pas laids, mais pas beaux non plus. Un titre dont le scénario fadasse est mal servi par un gameplay vu, revu et re-revu. On plonge ainsi dans une douce torpeur dont rien ne semble nous tirer. Sauf peut-être le doublage français, affreux.
La licence Assassin’s Creed était fade et Black Flag a su donner une nouvelle impulsion à la saga grâce à ses phases en bateau. Liberation HD nous ramène dans tout ce qu’on ne voulait plus voir dans la licence. Tout est petit chez lui. Graphismes, jouabilité, intérêt… Tout, je vous dis, même son prix de 20 euros. D’ailleurs, c’est certainement sa qualité la plus grande.
Assassin’s Creed: Liberation HD est disponible au téléchargement sur Xbox 360, PS3 et PC au prix de 20 euros.
C’est presque triste de se relancer dans un Assassin’s Creed vanilla tant les extras de Black Flag étaient jouissifs. Je ne veux pas revenir là-dessus, mais au final, les phases de piraterie dans Black Flag étaient ce que le jeu avait de meilleur à offrir. Du coup, quand on joue à Assassin’s Creed: Liberation après avoir bouclé Assassin’s Creed IV: Black Flag, on passe de ça :
À ça :
Et je pense que tout ce qu’on peut ressentir quand on joue à Liberation HD est résumé dans la comparaison ci-dessus. On passe de la grande mer au bayou, des grandes figures charismatiques de la piraterie à l’insipidité crasse des colons français du XVIIIe et d’un vaste open world à deux petites zones de rien du tout. En somme, dans cet épisode, tout nous paraît petit.
Alors, très bien. Le jeu est le lissage HD d’un jeu portable, donc il faut mettre cette petitesse en perspective. Mais je ne pense pas une seule seconde que le possesseur de l’opus original ira acheter cet épisode. Il est donc destiné à des joueurs, principalement fans de la saga, qui veulent s’y essayer. Ces joueurs-là, vont tomber sur un titre dont les graphismes ne sont pas laids, mais pas beaux non plus. Un titre dont le scénario fadasse est mal servi par un gameplay vu, revu et re-revu. On plonge ainsi dans une douce torpeur dont rien ne semble nous tirer. Sauf peut-être le doublage français, affreux.
La licence Assassin’s Creed était fade et Black Flag a su donner une nouvelle impulsion à la saga grâce à ses phases en bateau. Liberation HD nous ramène dans tout ce qu’on ne voulait plus voir dans la licence. Tout est petit chez lui. Graphismes, jouabilité, intérêt… Tout, je vous dis, même son prix de 20 euros. D’ailleurs, c’est certainement sa qualité la plus grande.
Assassin’s Creed: Liberation HD est disponible au téléchargement sur Xbox 360, PS3 et PC au prix de 20 euros.
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